Simon

  • "Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n'y seront plus".

Faudrait voir à vous secouer les fesses avant de commencer à plumer ceux qui vous ont permis d'exister.
Alors foncez ! Vous avez votre avenir à construire, pas de temps à perdre à démolir ceux qui vous ont précédés.
Les retraites c'est pas vous qui les avez édifiées.

    Faites vous une raison : baisser son pantalon est plus facile que de baisser la dépense publique.

    [supprimé]

    Et puis les réformes structurelles que vous réclamez, si elles sont nécessaires, ne peuvent produire leurs effets que sur le long terme.

    Par exemple, pour supprimer des postes dans la fonction publique, si on ne supprime pas l'emploi à vie des fonctionnaires, il faut attendre les départs en retraite des fonctionnaires concernés. Départs en retraite que, par ailleurs, vous voulez retarder...

    Donc tout ceci prend du temps. Or il y a une certaine urgence à réaliser des économies.

      Simon Les actifs payent leur dette et donc s'enrichissent.

      • [supprimé]

      • Modifié

      Simon Donc vous acceptez les mesures "paramétriques" quand elles mettent les actifs à contribution (ce qui est le cas de l'augmentation de l'âge de départ en retraite, qui ne pénalise jamais ceux qui sont déjà en retraite), mais par contre, pas touche aux pensions !

      Reculer l'âge légal de départ en retraite à 66 ans ne serait que se remettre dans la moyenne des pays de l'UE, que cet article de CNews peut vous permettre l'appréhension: Retraite : voici l’âge de départ pour chaque pays d’Europe en 2024.

      ALLEMAGNE : 65 ANS
      L'âge légal de départ à la retraite des Allemands est fixée à 65 ans, mais est progressivement repoussé à 67 ans pour les classes d’âge de 1947 à 1964, exceptés pour ceux justifiant de 45 années de cotisation ne sont pas concernées par cette mesure.

      Autriche : 65 ans
      En Autriche, il y a une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, pour les hommes, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans. Pour les femmes nées avant 1964, l'âge légal de départ à la retraite est à 60. Une différence qui n'existe plus pour les femmes nées après juin 1968, puisqu'elles partiront à la retraite au même âge que les hommes.

      BELGIQUE : 65 ANS
      À ce jour, les Belges partent à la retraite à 65 ans. À partir de février 2025, l'âge légal de départ à la retraite passera à 66 ans puis à partir de février 2030, il passera à 67 ans.

      BULGARIE : 64 ANS POUR LES HOMMES, 62 ANS POUR LES FEMMES
      Comme pour l'Autriche, la Bulgarie fait une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, les hommes bulgares partent à la retraite à 64 ans et 6 mois révolus. Les femmes bulgares partent à la retraite 2 ans et 6 mois plus tôt, soit à 62 ans.

      chypre : 65 ans
      Les Chypriotes partent à la retraite à 65 ans. «À partir de 2024, l'âge de la retraite devrait être ajusté tous les 5 ans, en fonction de l'évolution de l'espérance de vie», est-il expliqué sur le site Cleiss.

      CROATIE : 65 ANS POUR LES HOMMES, 63 ANS POUR LES FEMMES
      La Croatie fait une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, les hommes partent à la retraite à 65 ans contre 63 ans et 3 mois révolus pour leurs compatriotes femmes. Là encore, cet avantage va être retiré aux femmes puisque l'âge de leur départ à la retraite est relevé de 3 mois par an pour atteindre 65 ans en 2030.

      DANEMARK : 67, 68 ou 69 ANS en fonction de la date de naissance
      L'âge de départ légal à la retraite des Danois est à 67 ans. Un âge qui recule à 68 ans pour les personnes nées entre 1963 et 1966 inclus. Enfin, les personnes nées après 1967 partent à la retraite à 69 ans.

      espagne : entre 65 ans et 66 ans en fonction des années cotisées
      Pour l'Espagne, ce sont les années cotisées qui font la différence. Ainsi, les Espagnols peuvent partir à la retraite à 65 ans s'ils ont cotisé au moins 37 années et 9 mois. Si ce n'est pas le cas, les Espagnols partent à la retraite à 66 ans et 4 mois.

      ESTONIE : 64 ANS
      Les Estoniens peuvent partir à la retraites à 64 et 9 mois révolus. L'âge de départ à la retraite sera augmenté à 65 ans en 2026 puis sera ensuite modifié en fonction de l'évolution de l'espérance de vie.

      finlande : 64 ans
      En Finlande, l'âge de départ légal à la retraite est de 64 ans et 3 mois pour les personnes nées en 1958 et avant. Pour les autres, l'âge de départ à la retraite est à 64 ans et 6 mois. Là encore, la limite sera augmentée jusqu'à 65 ans en 2027.

      grèce : 67 ans ou 62 ans
      En Grèce, c'est l'assurance qui compte pour partir à la retraite. Ainsi, les Grecs qui ont été assurés durant 15 ans partiront à la retraite à 67 ans. Ceux qui ont été assurés pendant 40 ans partiront à la retraite à 62 ans.

      HONGRIE : 65 ANS
      En Hongrie, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.

      Irlande : 66 ans
      En Irlande, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans.

      islande : 67 ans
      En Islande, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans.

      Italie : 67 ans
      En Italie, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans.

      lettonie : 64 ans
      En Lettonie, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans et 6 mois. Il sera repoussé à 65 ans à partir de 2025.

      Liechtenstein : 65 ans
      Au Liechtenstein, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.

      LITUANIE : 64 ANS
      En Lituanie, il y a une différence entre les hommes et les femmes. L'âge légal de départ à la retraite pour les hommes lituaniens est à 64 ans et 6 mois et à 64 ans pour les femmes.

      LUXEMBOURG : 65 ANS
      Au Luxembourg, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.

      Malte : 64 ans
      À Malte, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans.

      norvège : 62 ans
      En Norvège, l'âge légal de départ à la retraite est à 62 ans.

      PAYS-BAS : 66 ans
      Au Pays-Bas, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans. Dès 2025, il augmentera de 8 mois par année d'espérance de vie en plus.

      Pologne : 65 ans pour les hommes et 60 ans pour les femmes
      En Pologne, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 60 ans pour les femmes.

      Portugal : 66 ans
      Au Portugal, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans et 4 mois. Il est régulièrement ajusté en fonction de l'évolution de l'espérance de vie.

      République tchèque : 64 ans
      En République Tchèque, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans. Les femmes ayant eu des enfants peuvent, en revanche, partir plus tôt à la retraite.

      Roumanie : 65 ans pour les hommes et 62 ans pour les femmes
      En Roumanie, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 62 ans et 1 mois pour les femmes.

      Royaume-uni : 66 ans
      Au Royaume-Uni, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans. Il sera repoussé à 67 ans entre 2026 et 2028.

      SLOVAQUIE : 63 ANS
      En Slovaquie, l'âge légal de départ à la retraite est à 63 ans pour les assurés sans enfants né en 1961. Ceux nés en 1966 partiront à la retraite à 64 ans.

      SLOVÉNIE : 65 ans
      En Slovénie, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.

      SUÈDE : 63 ANS
      En Suède, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans. Il sera ajusté en fonction de l'espérance de vie à partir de 2026.

      SUISSE : 65 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes
      En Suisse, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 64 ans pour les femmes. Pour les femmes, l'âge passera à 65 ans à partir de 2025.

      Je n'ai aucun état d'âme sur ce sujet, les "jeunes" peuvent bosser jusqu'à 65 ou 66 ans. Je le dis d'autant plus qu'à près de 65 ans je travaille encore alors que je suis carrière longue et que cela fait un bon moment que j'ai mes trimestres.

      Simon Vous vous inscrivez donc dans la tendance dominante consistant à faire du maintien du niveau des pensions un dogme impossible à remettre en cause. Le problème, c'est que le financement des retraites, en ce qu'il doit garantir un haut niveau de pensions aux retraités, coûte cher aux actifs, pénalise notre économie.

      Aucun état d'âme en effet, j'ai payé très cher mes cotisations retraites et j'ai le droit à une bonne retraite. Les plus jeunes n'ont qu'à bosser aussi dur que je l'ai fait moi, au lieu d'aller faire du surf et du ski, ou de glander sur les réseaux sociaux ou le Fopo ou de fumer des joints ( 6 millions de toxicomanes en France). Vraiment aucun état d'âme, vous allez bosser dur et me payer ma retraite. Alternativement l'Etat peut me rembourser de toutes mes cotisations majorées de intérêts, cela m'irait très bien.

      Simon Vous devriez en être conscient, vous qui vous dites libéral et pro-business.

      Je suis parfaitement conscient et très responsable en plus ce qui ne m'empêche pas d'être libéral, pro-business et même conservateur. Soyez aussi conscient et responsable que moi, vous avez du chemin à faire.

      Simon Et puis les réformes structurelles que vous réclamez, si elles sont nécessaires, ne peuvent produire leurs effets que sur le long terme.

      C'est un dur effort et des réformes difficiles. Ce n'est en aucun cas une bonne raison pour différer encore les décisions de passer à l'action.

      Simon Par exemple, pour supprimer des postes dans la fonction publique, si on ne supprime pas l'emploi à vie des fonctionnaires, il faut attendre les départs en retraite des fonctionnaires concernés. Départs en retraite que, par ailleurs, vous voulez retarder...

      Il est évident qu'il va falloir abolir le statut du fonctionnaire et passer sur des contrats de travail de droit privé dans beaucoup de secteur, et qu'il va falloir virer des charrettes entières. Cela aura un coût, les gens partent plus vite si le chèque est gros.

      Simon Or il y a une certaine urgence à réaliser des économies

      Tout à fait, mais on ne va pas bien loin avec des mesurettes paramétriques. L'un n'empêche pas l'autre, il est urgent de faire du paramétrique et il est urgent de lancer des restructurations très structurelles et dimensionnantes: par exemple repasser à 23 régions en supprimer les département, et réduire le nombre de municipalités d'un facteur 10, avec un objectif clair de réduire le nombre de fonctionnaires de 40%.

        [supprimé] Vraiment aucun état d'âme, vous allez bosser dur et me payer ma retraite.

        Bravo.

        [supprimé] réduire le nombre de municipalités d'un facteur 10

        Ça c'est une connerie, vous aller remplacer 500000 bénévoles par 500000 agents techniques et 500000 agents administratifs.

          Simon

          Simon 'ai dit plus haut que beaucoup de gens croient qu'on pourrait réduire facilement les dépenses, sans douleur pour les Français, juste en supprimant quelques gaspillages, quelques doublons administratifs, en baissant les salaires de nos élus, en supprimant le Conseil économique et social, voire (pour les gens qui sont plutôt de droite) en supprimant les aides aux immigrés. Manifestement, vous en faites partie...

          Que je fasse partie de ces personnes ne change rien au fait que ces suppressions iraient dans le sens de la réduction des dépenses mais leur suppression nécessite du courage politique .

          [supprimé] Aucun état d'âme en effet, j'ai payé très cher mes cotisations retraites et j'ai le droit à une bonne retraite.

          Ah, le sempiternel argument des boomers : j'ai cotisé, donc j'ai droit ! Mais c'est un peu court, comme argument ! Oui, vous avez cotisé, mais pas dans les mêmes conditions !

            • [supprimé]

            • Modifié

            candidus Ça c'est une connerie, vous aller remplacer 500000 bénévoles par 500000 agents techniques et 500000 agents administratifs.

            Non concernant les 500 000 et 500 000, j'ai affiché un objectif de réduction d'effectifs de 40%, et c'est un objectif ambitieux mais encore raisonnable avec des services publics fonctionnant mieux qu'aujourd'hui.

            Concernant les bénévoles, La France compte 567 222 élus locaux et nationaux et c'est beaucoup et beaucoup trop. Il faudrait néanmoins préserver l'enthousiasme républicain en utilisant les bonnes volontés et les belles compétences pour gérer au mieux les territoires.

            Simon Ah, le sempiternel argument des boomers : j'ai cotisé, donc j'ai droit ! Mais c'est un peu court, comme argument ! Oui, vous avez cotisé, mais pas dans les mêmes conditions !

            Je cotise encore et je donne l'exemple aux jeunes générations d'ailleurs. Et me concernant j'ai cotisé pendant 25 ans à un tarif très élevé, et je ne suis pas du tout certain de récupérer ma mise dans la durée.

              Bonjours à tous, vous allez me trouver soit un peu présomptueux ou idiot et peut être simpliste, mais voyez vous je ne vois pas ou est le problème en faite.

              Pour commencer, posons un problème parmi tant d'autre,
              1: comment revalorisé les salaires sans surcout pour les entreprises ou l'état.
              2: comment financer notre système social sans qu'il n'y ait de surcout ou une baisse de prestation.
              3: comment simplifier la gestion comptable des personnels.
              4: comment diminuer de façon importante le cout pour les entreprises des personnels à haute valeurs rajoutée.

              ça ressemble grandement à un mouton à cinq pattes n'est ce pas, et bien je dois être "vachement" malin ce que je doute, car si vous le désirez je vous donne la solution qui je le précise ne pourra être mise en défaut si ce n'est à la marge, car elle s'appuie sur les chiffres officiels et l'arithmétique.

              • [supprimé]

              Le terrain de jeu est à vous !

                • [supprimé]

                candidus On ne sait pas, demain il fera jour avec une meilleure météo.

                • [supprimé]

                Qu’est-ce qu’un Etat compétitif ?

                Un «Etat compétitif», notamment dans le cas de la France, serait un Etat augmentant sa compétitivité hors coût à travers une réindustrialisation dans des secteurs à haute valeur ajoutée et une forte hausse de l'investissement en innovation. Cette politique devrait être sanctuarisée et s'inscrire dans le temps car redevenir compétitif est un objectif de long terme. La compétitivité aujourd'hui d'un Etat, particulièrement depuis la guerre en Ukraine, repose également, pour une part importante, sur le coût de l'énergie, notamment de l'énergie décarbonée. La France détient de véritables avantages comparatifs mais doit les développer. De fait, la transition écologique doit être considérée comme une véritable opportunité pour la France à se réindustrialiser et à devenir un véritable «Etat compétitif».

                Anne-Sophie Alsif
                Invitée du Cercle des économistes
                Cheffe économiste du cabinet conseil BDO France

                Elle a dit beaucoup de choses dans ce petit article.

                Tout d'abord, mes excuses pour ce post tardif.

                Allez "Hop" je me lance.
                Tout d'abord je tiens à préciser que ceux qui va suivre est une approche pragmatique détaché de toute idéologie.

                1: le montant des charges salariales et patronales cumulées équivaut en France à 50% du salaire net, il en va de même d'ailleurs à un chouilla prêt pour les indépendants, artisans, gérants d'entreprise, ça ne porte pas forcément le même nom est c'est parfois prélevé sur une base différente, mais au final cela va dans des caisses à finalités similaires.

                Bien imaginons maintenant que nous transférerions ces charges sur le revenu net, avec un maximum de 50% et que le surplus s'il y 'en a, reste dans l'entreprise. Cela aurait 3 effets, le premier une augmentation mécanique des revenus de 50%, le deuxième une simplification administrative importante pour les entreprises et en troisième une diminution très importante des couts de la main d'œuvre hautement qualifié employé en France, voir d'avoir des marges plus importantes pour retenir les cerveaux.

                ce point résout donc les points 1,3 et 4 du questionnement de départ.

                2: il nous reste à financer le système.

                Imaginons que nous mettions en place une taxe "charges sociales" de 50% sur le PIB net HT, qui pour ceux qui ne le savent pas est constitué de l'addition des produits, bien et services vendu à un consommateur final en France, dont la grande majeur partie est soumis à TVA mais pas en totalité, comme par exemple les timbres fiscaux et autre joyeuseté du genre. Cette "Taxe" pesant sur le montant HT ne serait bien évidement pas soumise à TVA, l'augmentation des prix par rapport au montant TTC serait donc de 40%. Pour exemple, aujourd'hui, un produit x d'un montant de 100€ coute 120€ (100HT+20TVA je simplifie pour les calculs) après mise en place de la dite "taxe" de 50% nous aurions pour le même produit, 100HT+20TVA+50NT (NT=Nouvelle Taxe), soit un total de 170€ soit 50€ de plus, 50€ qui représente bien à moins que mon arithmétique est un "Bug", 40% de 120€, augmentation largement compensé par l'augmentation de revenue de 50%, laissant donc mécaniquement 10% de pouvoir d'achat supplémentaires.

                Maintenant, ai ce que cette taxe suffirait à financer ceux que finance actuellement les charges sociales.
                Le Montant du PIB net Français 2023 était d'un peu plus de 2400 milliards d'euros, une taxe de 50% sur celui ci générerait une rentrée budgétaire de 1200 milliards.
                Actuellement le système sociales Français à besoins d'un budget de +/- 750 milliards, et le reste des éléments actuellement financées par une partie de ces charges est de +/- 350 milliards soit un total de 1100 milliards, donc le point 1 est conservé, et le point 4 résolu avec une marge de 100 milliards.

                Alors commet c'est possible parce que franchement sa ressemble à de la magie le truc, ce n'est en faite pas compliqué à comprendre, si on à un peu de connaissance en l'histoire économique, et "dirais même" en l'histoire tout court.

                Je m'explique, lorsque le système de prélèvement des ressources pour faire fonctionner notre système sociale à été mis en place, il y'avait de bonnes raisons de le faire reposer sur la masse salarial, mais surtout l'organisation économique du moment s'y prêter compte tenu des contraintes de l'époque, sauf que 80ans plus tard, dans une économie qui importe prêt de 70% de ses biens de consommations courants, la plus part de la richesse produites et la masse salariale produite par ces dit produits, est généré et ce trouve ailleurs, l'approche que je viens d'explicité permet en élargissant l'assiette et surtout en faisant pleinement participer certes de façon détournée, mais de faire participer tout de même, les produits d'importations vendu sur le territoire Français, alors qu'actuellement ce n'est pas ou prou le cas.

                Interjection possible:
                Ai ce que cela peut poser un problème à l'export?

                • Non car les produit à l'export son vendu HT donc pas de surcout.

                Peut il y'avoir un conflit avec les règlementations européennes?

                • De première abord, non puisque les charges sociales continues à être prélevé et donc payer, et pour l'export non plus, car elles ont été payé par l'employeur, donc ce n'est qu'une question d'appellation.

                Ai ce aisée de le mettre en place?

                • Le système étant calqué sur celui de la TVA, le prélèvement de la ressource ne devrait pas être un problème, deuxièmement, le transfert peut être progressif, par exemple 15% par trimestre, permettant des ajustements.

                Pourquoi conservait 50% de charges?

                • Ben, si on veut un système sociales basé sur la fraternité il faut bien le financer, de plus, lorsque les charges cumulé sont à 50% on parles de salarié faiblement qualifié et à faible valeurs ajouté, donc ne vous y trompé pas on ne refabriquera pas des clous avec de la ma main d'œuvre humaine en France, parce que dans ces secteurs on peut avoir des différences de cout de travail global de 10 voir 100 fois plus faible que le notre , donc impensable pour nous.

                Il reste néanmoins deux écueils, "la fonction publique et le tourisme d'importation", mais ces deux écueils trouverons leur solutions dans d'autre démonstration de réforme économiques

                Voila, Voili, Voilo, désolé d'avoir été un peu long, mais il fallait au moins bien ça.

                  hop

                  Bonjour,

                  Donc on supprime la TVA par une taxe plus élevée que la TVA. Et ça s'applique à tout ou seulement aux produits importés ? Vus que 60% des importations viennent d'Europe . Le problème serait plutôt d'enrayer une balance commerciale excessivement déficitaire. Si ces déficits perdurent on est mort à termes . Bon le sujet ce sont les dépenses publiques mais quand on regarde la situation des Allemands avant la guerre en Ukraine leurs excédents budgétaires provenaient en grande partie des exportations automobiles, industrielles et autres. Un pays déficitaire depuis trop longtemps devra accepter d'être rétrogradé autrement dit d'avoir moins d'avantages , soit une baisse du niveau de vie. C'est mathématique .

                  Cordialement.

                  • hop a répondu à ça.