Jean-Pierre Oui, je décrivais un parallèle un peu forcé mais je pense que le fait de voir Trump partout dans les médias et là où il excelle, dans l'art de la provocation conduit à une sorte d'accoutumance, parlez de moi en bien ou en mal pourvu que l'on parle de moi...
En ce qui concerne le revers de Kamala, puisqu'il faut le nommer ainsi, sa campagne mal préparée, faute de temps a dû peser mais pas que. Je pense que les américains n'étaient pas prêts, dans leur majorité, à élire une femme noire à leur tête et le fait qu'elle revendique ses origines était un peu casse-gueule car cela a certainement contribué à restreindre son électorat.
Trump lui, représente la beaufitude et une certaine amérique, arrogante, inculte pour tout ce qui ne touche pas à leur pays, préférant le show à la réalité du terrain car il va nous ressortir la planche à billets pour honorer ses promesses, au détriment de la dette déjà colossale.