Guerre nucléaire: quel serait l'endroit sur terre où nous pourrions survivre ?
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keskikoa Mais puisque la doctrine (française) vous démontre que ça ne peut pas arriver et qu'elle le souligne en ne construisant aucun abri atomique et aucune installation visant la résilience industrielle, sanitaire ou de subsistance.
Vous prenez n'importe quelle étude de risque sur une installation de quelque importance qu'elle soit : un viaduc, une éolienne, un poulailler, un immeuble de grande hauteur, un barrage hydraulique ou une centrale nucléaire. Vous verrez tous les risques imaginables pris en compte : chute de météorite, attentat par avion, terrorisme au couteau, tremblement de terre, inondation, incendie de brousse ou coup de sang du capitaine.
En aucun cas vous ne verrez prise en compte une attaque nucléaire car la doctrine l'exclut à 100 %.
Ne le dites pas aux enfants.
Qu'est-ce qui arriverait si des troupes françaises se trouvant en Ukraine à combattre avec l'armée ukrainienne contre l'armée russe, venaient à prendre pour cible Moscou ou St Petersbourg ?
chevalier-du-temple Il faut poser la question à Moscou.
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L'avantage de l'Amérique du sud est que la plupart des endroits susceptibles d'être bombardés (Amérique du nord, Europe, Russie et Chine) se trouvent dans l'hémisphère nord, de sorte que l'hémisphère sud serait quelque peu isolé de cela. Bien sûr, il faut considérer que les effets d'un hiver nucléaire couvriraient le monde entier, mais l'Amérique du sud, surtout la Patagonie et la Terre de Feu recevraient moins de retombées. Les Andes fourniraient des endroits où se cacher des retombées, et l'effet d'ombre de la pluie protégerait une grande partie du reste du continent des retombées maximales, à condition de ne pas être sur la côte du Pacifique. Dans cet esprit, l'endroit idéal pour se cacher serait probablement le côté Argentine/Bolivie des Andes, de préférence suffisamment proche des terres érables.
chevalier-du-temple
Vous n'êtes qu'un oiseau de mauvaise augure, toujours à évoquer le pire, comme vos copier-coller de la dernière dont on se fout, on n'était pas nés et la seule chose que je retiens de cette horreur, c'est qu'il ne faut pas recommencer.
Maintenant c'est une bonne guerre nucléaire qui semble vous exciter... Lamentable !!!
Jean-Aymar Une sorte de Grima langue de serpent...
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Jean-Aymar Quel étalement d'intelligence, c'est surprenant. Ne perdez pas votre temps sur mon sujet qui n'est pas de votre niveau. Allez plutôt sur "Humour" qui conviendrait mieux à votre intellect. De grâce épargnez-moi vos inepties inéduquées, j'ai meilleur à traiter que cette bouffonnerie de bas-étages.
Effectivement, ce n'est pas de mon niveau, vous êtes trop ras de terre, j'ai confiance en l'avenir moi, et ce n'est pas avec des mauvais prophètes de votre acabit qu'on le rendra meilleur, ni avec votre religion périmée.
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Certains scientifiques pensent que l'absence de cibles nucléaires et les courants éoliens et océaniques maintiendraient la plupart des retombées dans le Nord. Ils pensent qu'en Amérique du sud les populations survivront pour l'essentiel tandis que les Etats-Unis, l'Europe et l'Asie seront des déserts radioactifs.
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chevalier-du-temple Je ne crois absolument pas à cette histoire de retombées.
Il n'y a aucun désert radioactif connu, même dans les Monts d'Arrée.
candidus Je ne suis pas un expert en la matière mais je lis beaucoup de rapports et de livres écrits par des scientifiques, et je pense que ces gens-là savent de quoi ils parlent.
chevalier-du-temple je pense que ces gens-là savent de quoi ils parlent.
Il y a certainement un petit malentendu auprès du grand-public entre le seuil létal et les niveaux de risque retenus dans notre vie de tous les jours, où le principe de précaution s'applique à donf'.
Jean-Aymar Vous raisonnez irraisonnablement comme quelqu'un qui a peur d'être confronté à l'impensable qui est toujours possible. Je n'aime pas les mecs peureux qui sont un danger pour ceux qui veulent survivre par tous les moyens.
candidus Je lisais récemment dans un magazine scientifique, que les retombées nucléaires auront probablement un impact moindre sur l'hémisphère sud que sur l'hémisphère nord. Mais l'hiver resterait vraisemblablement un problème majeur, avec la couverture nuageuse, la réduction du soleil et la baisse des températures. La vie y serait plus possible mais, était-il mentionné, elle resterait certainement très difficile en raison de la famine.
chevalier-du-temple Pour ce qui est de l'hiver nucléaire je suis d'accord et ce serait sans commune mesure avec les projections du GIEC.
chevalier-du-temple
Réflexion complètement stupide, je n'ai pas peur de l'avenir, j'ai confiance dans l'intelligence des humains tant qu'ils ne sont pas endoctrinés par des individus de votre acabit ou des imams haineux, ce qui revient au même.
Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté comme disait Saint Luc.
Déjà avons-nous des abris?