tieumz

Ben voyons

Un jour j'ai revêtu une jupe pour rigoler. Serait-ce en réalité l'aveu d'un transgenrisme, ou un soutien revendicatif à la labilité du genre ?

Jean-Pierre Mais non.

Mais si, avec un ou deux postes de ministre, ça passe crème, aucun souci.
C'est le barrage républicain.

Par contre, clairement, ce sera moins facile pour les présidentielles, mais quoi qu'il en soit, la gauche s'alliera toujours avec le centre gauche macronien.

Selon Gabriel Attal :
«plus d'un candidat sur quatre du Rassemblement national a tenu des propos racistes, antisémites ou homophobes.»
Il "peut arriver" qu'il y ait "des brebis galeuses" au RN, reconnaît Jordan Bardella.

Effectivement, cela corrobore le fait que l'électorat RN (FN avant lui) est constitué de jeunes non-instruits, d'ouvriers non-qualifiés et de retraités... bref.

Max12 Laisse donc passer le deuxième tour avant de trop parler petit, les jeux ne sont pas encore faits pour le RN. Et je pense même qu'ils sentent que le piège est en train de se refermer sur eux. Le 8 juillet, c'est la date à retenir...

paulau Le paulau qui n'en finit pas de tourner en boucle... Misère !

James Mais non ! Faut juste que le RN ait une majorité relative, et qu'il soit obligé d'aller aux putes² pour gouverner trois ans. Car ils iront. Trois ans, soit le temps de se planter sous l'oeil de Macron et des Français.

² Les LR, niveau putes, ils se posent là les loulous.

James Sérieusement, tu crois encore que Macron ne fera pas tout pour continuer dans son rôle de président ?

???
J'ai dit qu'il allait démissionner?
Je m'appelle pas Marine Le Pen, moi.
Rien ne le forcera à démissionner. Il démissionne, que s'il le décide.
Jusqu'en 2027.
Je parlais de la formation d'un gouvernement.
Je ne crois pas trop aux rêves de barrage.
Toutes les digues ont pété.
Et elles ont pété, car le monde politique a été NUL DE CHEZ NUL.
Tous! les gauchistes, les LR, les macronistes.
Ils ont continué leur petite musique de chambre, pendant 40 ans alors que le bon peuple exprimait sa rage.
C'est NUL.
Et ce qu'il y a de encore plus nul, c'est que le parti le plus nul qui soit, c'est le SEUL qui a bossé, et fait de la politique (séduire, conquérir des électeurs)

Voilà qq chose que je trouve TRAGIQUE.
Soit on est trump, on fait un tweet de merde et hop là, on gagne 15 millions de voix, soit on n'est pas trump (un as du marketing populiste) et à ce moment là, on se bouge le cul et on sillonne la France.
Macron, il a fait ça, en 2016 2017, sans aucun parti derrière lui. Et il a envoyé valser tous ses adversaires.
Depuis, il s'est encrouté, isolé, entouré de gnomes tous plus nuls les uns que les autres (sauf rares exceptions) et à la fin, il trucide tout son camp, même ceux qui ont honorablement servi SA cause.

J'ai vu la sortie de Minc (l'homme qui inventa Macron) il l'a explosé.

france2100 Mon message était précisément une réponse contre l'idée que l'européanisme des élites serait le fruit d'une propagande pro-européenne. L'européanisme n'est que la conséquence logique de la soif de pouvoir, concrétisé à la faveur d'une déstabilisation par délégitimation de l'ordre national pré-existant, devenu de toute façon trop faible pour dominer le monde - ce à quoi aspirent toujours les élites coloniales.

Non. Précédemment, il était question de comment "l'idéologie européiste" a conservé sa position dominante dans une partie de notre élite : le rôle que peut jouer l'école, les médias, mais aussi simplement la force de certains arguments, de certaines convictions.

Effectivement, pour aller encore plus loin, il faudrait retracer l'histoire du développement de "l'idéologie européenne" : Quand peut-on identifier ses premiers défenseurs ? Les progrès dans sa diffusion ? Quand parvient-elle à s'imposer politiquement, dans quelles circonstances, face à quelles résistances ? Pour quelles raisons ? Quels arguments forts ? Vous pouvez commencer avec les précurseurs comme Coudenhove - Kalergi, et sa revue paneuropa dans les années 1920, son projet d'union paneuropéenne.