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Les grandes manoeuvres sont en cours dans de nombreuses circonscriptions.
Des affinités nouvelles naissent de la peur d'ennemis communs.
Les états-majors ménagent avec raison leurs alliés potentiels du second tour, d'autant plus facilement que leur propre candidat n'aurait aucune chance.
Il est de plus en plus évident que les élus du "Nouveau Front Populaire" ne pourront jamais gouverner ensemble; trop de choses les divisent.
A moins que les LFI, déjà en plein rififi, renient en bloc Mélenchon, leur dictateur "à la soviétique".
Le RN espère continuer sur sa lancée des européennes, mais rien n'est moins sûr: après s'être soulagés de leur bile par un vote-sanction, les électeurs auront eu maintenant 3 semaines pour penser aux conséquences d'un vote pour les extrêmes.