Max12 ce pauvre Zelensky qui se prend pour un héros, un jour il va retomber quand les ficelles du marionnettiste vont casser
Tout simplement le marionnettiste va, en janvier, laisser tomber la marionnette. Quant à l'Ukraine, nous verrons à l'avenir quelle espèce d'élection présidentielle, honnête, sortirait des vraies urnes démocratiques. Mais au préalable, pour ne pas mettre la charrue devant les bœufs, il s'agit de savoir de quelle future Ukraine territoriale il s'agit. Or pour cela, l'Opération spéciale russe doit d'abord atteindre son objectif final : il faut que le cas des trois pays de Kharkov, de Mikolaëv et d'Odessa soit définitivement décidé.
Au final, vous savez, la Russie n'a strictement rien à fiche des "galiciens" (et consorts) de l'Ouest. Si cela leur chante, ils pourraient aller se faire LGBTQXYZ dans l'UE tant qu'ils voudront. Mais sans doute à une condition : que cette Ukraine finale soit démilitarisée, neutre, hors Otan, et cela garanti par traités internationaux. Si donc qui que ce soit, après ces traités, y tenterait de nouveau une remilitarisation, "à la nazi", en violation des conventions (remilitarisation sournoise, puis ouverte, comme celle de la Rhénanie renazifiée le 7 mars 1936), la Russie évidemment y rentrerait et ce sera de nouveau la guerre. Car il y aura eu violation de traités. Voyez-vous, la Russie nucléaire ne se laissera pas "embobiner" par l'Otan, comme la faible France du 7-Mars 1936 (pourquoi faible, là n'est pas le sujet) a été embobinée par les nazis, avant d'être envahie par eux quatre ans plus tard.
Mais ne soyons pas "oiseaux de malheur" pour l'avenir. L'essentiel aujourd'hui c'est que la future Ukraine (grosso modo sa partie Ouest) soit démilitarisée puis neutralisée, donc hors d'atteinte de l'Otan, et la Russie fera de même.
On peut subodorer que ce sera là la teneur principale des prochaines discussions au sommet USA-Russie.
À de telles discussions entre superpuissances au sommet, en effet, on n'invite pas une marionnette à s'asseoir.
C'est le côté américain qui a utilisé durant quatre ans cette marionnette comme bras mécanique de "proximité".
Mais avec D. Trump, les USA ont sagement décidé de renoncer à ce jeu malsain et de mettre la marionnette de côté.
Ce n'est pas la Russie qui a modifié sa position pérenne. Ce sont les États-Unis. Par volonté archi majoritaire du peuple américain, les États-Unis vont se rapprocher de la Russie. Et ce, pour la paix du monde entier.