candidus Dois t'on rappeler que la France est un pays laïc où l'on doit respecter les lois de la république?
Concernant l'excommunication, il existe officiellement deux volets de délits qui peuvent la justifier. Le premier volet concerne le lien que le baptisé entretient avec l’Église : les délits d’apostasie (refuser intégralement l’ensemble de la foi que l’Église professe) ; d’hérésie (refuser une vérité de la foi) ; de schisme (refuser l’autorité du pape ou du collège des évêques). Autrement dit, en ne reconnaissant plus la Parole de Dieu, ni les sacrements, ni les ministères (évêques, pape compris), le baptisé se place de lui-même en dehors de la communauté ecclésiale.
En réalité, il est extrêmement rare que cela soit appliqué.

filochard Le temps des croisades est terminé mon ami, il faut vous réveiller.

AbbeTyse Séparation de l'Église et de l'État. En ce qui concerne la pratique de l'excommunication, c'est à la diligence du Pape.

En tout état de cause, en France, nul n'est contraint à demander ni pratiquer l'avortement, donc faux problème.

filochard Papacito est un bon chrétien

Avec un tel blase, il pourrait être fer de lance du réarmement démographique !

paulau En effet, la crise est grave car l'Eglise a été ébranlée par de nombreux scandales sexuels contre des enfants innocents et vulnérables. Des actes criminels impardonnables pour des gens qui sont supposés nous mener vers le Christ. La crise est profonde et l'opinion publique est scandalisée.

Quand un prêtre avait une aventure avec une femme, le reproche était moindre, mais s'attaquer à des enfants vulnérables, c'est une autre pair de manches et ce n'est pas acceptable. Et lorsque les autorités religieuses ne font pas ce qu'elles devraient faire en la circonstance, alors l'autorité morale du Vatican en est ébranlée.

Les révélations d'agressions sexuelles au sein de l'Eglise et le camouflage de ces scandales de cas de pédophilie, ont gravement éclaboussée l'Eglise et l'image des prêtres. Un vrai chrétien ne peut pas accepter cette abomination., surtout en provenance des serviteurs du Christ. Par la faute de ces âmes égarées, l'Eglise vit aujourd'hui une étape déshonorante car ces prêtres criminels lui font honte.

paulau
Au lieu de chercher à se démarquer des déconstructeurs progressistes l'église a cherchée à concurrencer l'église progressiste woke sur son propre terrain.
On est déjà endoctrinés par l'école, les médias, l'université, la publicité, la culture subventionnée, Netflix, jusqu'aux dessins animés pour enfants, on a pas besoin que l'église vienne en rajouter une couche.
L'église aurait du faire exactement le contraire de ce qu'elle a fait, et rester un ilot de certitudes, de force et de sublime dans un océan de relativisme, de pleurnicheries et de médiocrité. Elle a été mal inspirée.
Les églises traditionalistes sont pleines.

Le libéralisme de Vatican II a fait énormément de mal à l'Eglise.

Le libéralisme se fonde sur une notion de liberté absolue, donc une libération de toutes les contraintes. L'homme se trouve soumis à des lois naturelles, les unes physiques les autres morales, qui lui imposent des contraints réglant sa vie individuelle et sa vie sociale. Le libéralisme l'incite à rejeter les lois morales, notamment celles qui régissent les la société naturelle. S'éloignant ainsi de la réalité, le libéralisme s'écarte également de la Vérité.

L'église manque de main d'oeuvre, impossible de trouver un goupillon pour enterrer dignement ma belle-mère il y a quelques jours dans une commune du Médoc.
Nous avons dû nous rabattre sur une autre commune à 30km dans laquelle le tonsuré n'était pas en RTT (ou aux sports d'hiver).
A quand la messe par internet ?

On vit une époque formidable...

chevalier-du-temple Il n'y a pas plus anti-wokes que moi filochard.

Ben alors parlez pas comme un woke.
Placer des anglicismes de partout c'est devenu woke.
Vous parler de libéralisme dans le sens progressisme, c'est un anglicisme. En plus on y comprend plus rien, ça n'apporte que confusion et ça casse les c******s.
Le probleme de l'église ça n'a jamais été le libéralisme, c'est le progressisme.

chevalier-du-temple Vous définissez un libéralisme coercitif, celui des wokes, qui prétendent libérer l'homme de son asservissement patriarchique en contraignant à une reconstruction du passé.

Je sens que nous allons nous perdre dans des définitions qui vont nous mener à rien. Monseigneur Marcel Lefebvre pour qui j'ai une énorme admiration, s'attaquait souvent au libéralisme dans l'Eglise. Dans sa conférence du 12 mars 1989, son exposé est très édifiant à ce sujet.