Les partisans du " transgenrisme " qui veulent faciliter les changements de genre chez les adolescents, ont leurs entrées dans le ministère de l ' éducation nationale. J ' en veux pour preuves les deux liens ci-dessous :

1 )
«Une faute professionnelle grave»: quand un lycée change le genre d’une élève sans en avertir les parents.
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/une-faute-professionnelle-grave-quand-un-lycee-change-le-genre-d-une-eleve-sans-en-avertir-les-parents-20220530

2 )
Syndicat Sud éducation
Circulaire relative à l’accueil des élèves trans : un texte nécessaire mais insuffisant !
Ce communiqué a été publié le 02/10/2021
https://www.sudeducation.org/communiques/circulaire-relative-a-laccueil-des-eleves-trans-un-texte-necessaire-mais-insuffisant/

    /////Incitation à la violence + propos discriminatoires. Une semaine.

    19 jours plus tard
    5 mois plus tard

    "transgenre" c'est de la novlangue, bien malin qui peut le définir dans la langue de Molière.

    La gauche a compris que si elle réussissait à nous faire avaler qu’un homme peut être une femme et qu’une femme peut être un homme, elle pourrait nous faire avaler n’importe quoi.

    Euh... quand vous dites "n'importe quoi", vous voulez dire par exemple l'augmentation du SMIC ? La bataille sur les retraites? La nécessaire transition écologique ? Et pourquoi c'est n'importe quoi ?
    Personne ne dit qu'un homme peut être une femme ou l'inverse comme ça massivement. Si on veut parler de cela, il faut le faire autrement que dans ces termes. Cela vous dérange, OK.

      Tiens je n'avais pas encore croisé cet animal ou alors il y a très très longtemps.
      On a touché un philosophe transgénique de faible envergure car le trop massif serait nocif
      Sûr que ce n'est pas le Tristan de son Yseult à 148 kg, , Macronnard-Le-Grand a déjà réservé jusqu'en, 2024.

      Heureux comme un gamin qui vient de faire sortir un drôle d'animal de son trou avec un bâton.
      Pompeux verbeux et suffisant, il a vraiment une sale trogne celui-là.
      On va pouvoir jouer avec avant de l'écraser comme une punaise vu comme il est gonflé d'autosatisfaction onirique jusqu'à limite de rupture de l'exosquelette je suis sûr qu'il fera un bruit très intéressant quand il éclatera..

      courtial Hola c'est sournois. La transition écologique qui
      passe par les trans', Sandrine Rousseau a dû déjà dire quelque chose comme ça.

      Si nous réduisons la différence entre un homme et une femme à la physiologie en premier lieu, avec une éventuelle différence de psychologie en conséquence, pourquoi ne serait-il pas possible de changer de sexe ? La difficulté consiste alors à remodeler un corps déjà formé, à l'aide de la chirurgie, prothèses ou ablations, et de médications. Le résultat n'est peut-être pas « terrible » aujourd'hui, la transformation très difficile, mais si l'on reste dans cette optique, peut-être sera-t-il meilleur demain.

      A cette thèse, s'opposent ceux qui raisonnent "à l'ancienne" : existerait comme une "qualité" occulte, la féminité ou la virilité que l'on pourrait induire à partir des propriétés physiologiques, voire psychologiques, relatives à chaque sexe. Dans cette optique, le changement de sexe ne peut être possible. Les opérations et médications ne servent qu'à nourrir une illusion, celle du nec plus ultra du travestissement. Au mieux, par exemple, transformerez-vous un homme en "hommasse" ou "virago".

      En début d'année, sur un fil de discussion similaire, j'étais encore des seconds. Aujourd'hui, je persiste à penser que cela n'est pas sage du tout, mais je dois bien reconnaître que mon ancien avis traduisait probablement ma difficulté à abandonner certaines de mes anciennes marottes. Le sujet est quand même assez délicat dans la mesure où il est probablement question d'un "tabou" : il y a les femmes d'un côté, et les hommes de l'autre.

        af90 Dans l'espèce humaine, le sexe est fixé dès le stade de la fécondation par les paires XX ou XY. Il ne changera plus jamais.
        Des anomalies génétiques existent mais elles sont rarissimes - les cas attestés médicalement se comptent sur les doigts de la main, rapportés aux milliards d'individus actuellement connus.

        Faux problème présenté de facon tendancieuse et pour d'obscures raisons par certains.

          candidus
          Je pense aussi que dans l'état actuel des choses, le changement de sexe est une illusion, le travestissement peut-être poussé jusqu'à ses dernières conséquences. Honnêtement, je vois mal comment il pourrait en être autrement même demain. Mais, étant donné mes limites dans les sciences concernées, il me semble quand même plus prudent de suspendre mon jugement sur ce qu'il sera possible de faire demain.

            candidus
            C'est trop simple et limpide pour des personnes "à la pensée complexe".

            • af90 a répondu à ça.

              stm
              Ce fil est à rapprocher de ceux-là :
              https://forum-politique.org/d/144799-vive-les-stereotypes-de-genre/11
              https://forum-politique.org/d/143716-lenfant-peut-il-choisir-son-genre/75

              courtial

              Je donne raison à Courtial sur au moins deux points : 1- il est plus facile de condamner bien dogmatiquement, comme je l'avais fait, que de réfléchir à la question sérieusement ; 2- chaque fois qu'il est question de ce sujet, ceux qui condamnent s'intéressent assez peu aux personnes concernées qui souffrent.

              Même si l'on fait preuve de charité, que l'on tente de comprendre leur souffrance, je vois mal en quoi le "changement de sexe" est un bon remède, s'il ne produit qu'une illusion, en plus en passant certainement par beaucoup de difficultés et peut-être douleurs. Un meilleur remède me semble plutôt, malgré ses grandes limites : accepte ton corps tel qu'il est, oublie l'image que tu as en tête.

              Je ne sais dire s'il s'agit d'un simple mauvais désir, ou d'un désir "pathologique", mais en tout cas, cela ne me semble pas à encourager. Etre charitable avec la personne qui souffre implique de lui conseiller la meilleure voie, en vue de son bonheur, ou disons, la moins mauvaise, pas d'être complaisant, non ?

              af90

              A cette thèse, s'opposent ceux qui raisonnent "à l'ancienne" : existerait comme une "qualité" occulte, la féminité ou la virilité

              Mais cette thèse est présente dans les deux camps : on entend souvent dire qu'il existerait des âmes masculines ou féminines qui se retrouveraient dans le mauvais corps (suite à une erreur de la Grande Fabrique cosmique ?)

              Vous passez à côte du problème : nous sommes en train de mutiler un nombre croissant d'adolescents dont l'extrême majorité aurait résolu sa dysphorie de genre en grandissant. Et nous les laissons au bout du compte avec des corps insatisfaisants, ni féminins ni masculins, si bien que la majorité regrettent.

              Pire : ces mutilations sexuelles sont désormais pratiquées à un très jeune âge, via des hormones, bien avant la maturité émotionnelle nécessaire, au motif que plus tard il serait trop tard pour un résultat satisfaisant. Et tant la France que le Québec ont adopté des lois criminalisant le fait pour un parent de s'y opposer (les textes de lois ne le laissaient pas paraître mais un jugement au Québec est allé dans le sens de cette interprétation).

              Cerise sur le gâteau, cette épidémie est sociale, causée par les médias et leurs représentations incroyablement simplistes et superficielles du problème. Et je vous passe les hommes qui concourent désormais dans les épreuves pour femmes, ou les violeurs jetés dans des prisons pour femmes.

                france2100

                Mais cette thèse est présente dans les deux camps : on entend souvent dire qu'il existerait des âmes masculines ou féminines qui se retrouveraient dans le mauvais corps (suite à une erreur de la Grande Fabrique cosmique ?)

                Oui, vous avez raison : elle est présente dans les deux camps. Seulement, je ne vois pas en quoi elle peut être cohérente dans le premier : celui du changement de sexe.

                Vous passez à côte du problème : nous sommes en train de mutiler un nombre croissant d'adolescents dont l'extrême majorité aurait résolu sa dysphorie de genre en grandissant. Et nous les laissons au bout du compte avec des corps insatisfaisants, ni féminins ni masculins, si bien que la majorité regrettent.

                Je ne passe pas à côté du problème, mon ami. Il est question de ce fameux désir : d'où vient-il, ou de quoi naît-il ? Établir qu'il est passager est un bon moyen selon moi de le condamner sachant ce qu'il implique pour y correspondre. Une autre question est d'établir s'il est pathologique ou pas : comment peut-on caractériser le fait de vouloir se changer pour correspondre à l'image idéale que l'on se fait de soi ?

                Les cas de changement de sexe sont les plus extrêmes, mais pas les seuls. Il peut être question plus généralement de la chirurgie esthétique, ou de l'esthétique : quand le fait de vouloir plaire à autrui devient-il un mauvais désir ? Ou : le fait de vouloir se plaire est-il un mauvais désir, ou devient-il un mauvais désir à partir d'un certain stade ? En l'absence de critères, nous naviguons dans la confusion. Pour le cas précédent, des changements de sexe, peut-être que justement, le désir n'est pas pathologique, lorsqu'il n'est que passager ?

                Pire : ces mutilations sexuelles sont désormais pratiquées à un très jeune âge, via des hormones, bien avant la maturité émotionnelle nécessaire, au motif que plus tard il serait trop tard pour un résultat satisfaisant. Et tant la France que le Québec ont adopté des lois criminalisant le fait pour un parent de s'y opposer (les textes de lois ne le laissaient pas paraître mais un jugement au Québec est allé dans le sens de cette interprétation).

                La responsabilité des parents, et de la cité sont alors en question. Pourquoi une telle complaisance des parents ? De la cité ? Quelles sont les opinions droites ou « orthodoxes » présentes dans la cité à tel instant donné ? Pour quelle raison ? Influence de la composante LGBT... qui entend changer les mœurs, en dicter de meilleures ? Y a-t-il aussi une relation à établir entre le désir de changer de sexe des uns ou des autres, et cette composante de l'opinion "publique" ?

                Cerise sur le gâteau, cette épidémie est sociale, causée par les médias et leurs représentations incroyablement simplistes et superficielles du problème. Et je vous passe les hommes qui concourent désormais dans les épreuves pour femmes, ou les violeurs jetés dans des prisons pour femmes.

                D'une fausse croyance ou opinion, il est possible d'aboutir à l'absurde. Lorsque le  « changement de sexe » n'est qu'une illusion, permettre à un « transgenre » de participer à une compétition sportive de femmes, est permettre à un homme de concourir parmi les femmes, même dans le cas où les diverses transformations subies l'auraient un peu « diminué ».

                  Mesdames le saviez vous ?
                  Né en tant que "mâle" je suis en fait une lesbienne refoulée

                  af90 Je vous autorise à dépendre votre jugement. Il est, sera et restera strictement impossible aux personnes de changer leur génome, même pour tromper les enquêteurs après un viol. Déjà que c'est pas possible de modifier ses empreintes digitales.

                  • af90 a répondu à ça.

                    candidus
                    En l'occurrence, je suspends mon jugement, car ce que l'on pourra faire "demain", dépend de ce que l'on saura "demain" : ce que l'on conçoit comme impossible aujourd'hui, relativement à ce que l'on sait ou pense savoir, le sera peut-être un peu moins "demain".

                    Mes jugements dépendent de ce que je sais, et de ce que j'ignore, pas de ce qu'un autre sait et ignore. Au pire, dans notre cas, considérez donc que mon ignorance me conduit à une excessive prudence.

                    af90

                    Pour le cas précédent, des changements de sexe, peut-être que justement, le désir n'est pas pathologique, lorsqu'il n'est que passager ?

                    Tout rejet de son propre corps est nécessairement pathologique, à plus forte raison si ce rejet touche son essence même et conduit jusqu'à la mutilation génitale et à une transformation complète. Dans ce cas c'est même un trouble psychiatrique grave.

                    La responsabilité des parents, et de la cité sont alors en question.

                    Le spectre du suicide ne cesse d'être agité : la moitié des transgenres se suicide. Sauf que la statistique porte sur la génération précédente, souvent atteinte de malformation congénitale, et que la corrélation n'est pas une causalité : on rejette son propre corps sans doute parce que l'on souffre de problèmes mentaux.

                    Pour le reste c'est la ritournelle habituelle : des curés stupides (scénaristes, journalistes) avides de démontrer leur vertu s'empressent de dépeindre un simulacre victimaire simpliste et superficiel, et voilà la cohorte des grenouilles de bénitier (politiciens, juges) qui débarquent pour se joindre au choeur.