Vive les stéréotypes de genre, les garçons en bleu, les filles en rose.
Sous couvert de lutte contre les stéréotypes de genre on veut effacer de notre perception une vérité biologique, hommes et femmes sont complémentaires et de ce fait différents.
Cette différence entre hommes et femmes ne peut pas ne pas s' exprimer dans la vie sociale. C'est cette expression de la différence que certains veulent effacer en voulant abattre les " stéréotypes de genre ".
Vive les stéréotypes de genre
L’année commence mal, on compte déjà deux féminicides.
Toutes ces histoires de « genre » n’ont en réalité qu’une seule finalité. Celle de populariser et de faire entrer dans les cervelles du petit peuple que l’homosexualité est « normale ». Courante et sans obstacle moral. La preuve, l’on en est à dire que chaque enfant doit pouvoir choisir son sexe.
Cela ne peut que faciliter les choses aux homos soucieux de convertir à leurs pratiques sexuelles des enfants qui n’iraient jamais jusque-là sans lesdits homos.
Il n’y a pas que l’église catholique qui a une vocation apostolique. Le Vatican a toujours fait très fort dans ce domaine de l’apostolat. Mais en comparaison, les mitrés ne sont que des enfants de chœurs, en comparaison aux homos. Sans recherche d’un jeu de mot involontaire.
C'est un thème cher à Onfray pour qui les minorités sont devenu majoritaires en terme d'influence. Il est sûrement question de promouvoir la différence pour mieux la gommer ou la faire passer comme normale. La question est de savoir si cela influe le comportement des jeunes et contribue à accroître cette minorité?
Je ne suis pas assez qualifié pour répondre à cette question mais cela me parait curieux de pouvoir modifier une tendance sexuelle de cette façon.
jack127
Bravo! Vous posez les bonnes questions, aux quelles il est hélas difficile de répondre. Génétique, epigénétique, éducation, pressions du milieu, tout se mélange et s'additionne pour déclencher des comportements singuliers... Mais sans plus, puisque l'homosexualité est observée ches les animaux.
Ceci dit, sérions les problèmes.
- Première question: Celle de la compréhension d'une différence, ne serait-ce que pour ne pas mourir idiot.
- Deuxième question: Celle de l'acceptation ou non des dérives comportementales. La pédophilie, par exemple, est toxique, de même que la propension à violer. L'homosexualité, en revanche, ne dérange que les allumés de Sens Commun, des fanatiques religieux psychorigides au point de considérer François Fillon comme une personne estimable. Et on se pose à nouveau la même question: Quelle est l'origine du mal? Le Bisphénol A? Une mutation du chromosome 21? Une zemmourite aigüe contractée après la naissance?
sangtriste La reine Elisabeth est un peu des deux sexes dans ce cas.
jack127
Elisabeth est devenu reine en vertu d'un usage, présent dans diverses cultures, selon lequel quand un homme n'a que des filles, c'est la fille aînée qui endosse le rôle du fils aîné.
Mais aujourd'hui, dans les monarchies européennes, c'est l'enfant aîné qui hérite du trône qu'il (iel ?) soit homme ou femme.
Effectivement il existe des cas ou les minorités deviennent majorités en termes d’influence. Mais c’est tout à fait normal. Dans une population donnée, sur quelque coin de la planète que cela se passe, la proportion d’individus dont le QI est inférieur à la moyenne de cette population est nettement plus élevé que la proportion d’individus dont le QI est supérieur à cette moyenne. Et ce sont les individus dont le QI est supérieur qui, directement ou indirectement, sont les véritables « influenceurs » des masses. Et ces minorités, plus « intelligentes » de fait, finissent par amener les autres, la majorité, à des notions et des appréciations qui sont celles de la minorité.
Si l’on considère une agglomération importante, Paris par exemple, ou n’importe quelle autre, il y a intra-muros beaucoup moins d’homos que d’hétéros. Mais les « nuiteux » de la capitale n’envisagent pas une nuit de bamboche sans passage dans un club ou une boîte de nuit dont il est de notoriété publique que le vrai patron ou le gérant sont homos. C’est très « mode » pour différentes raisons. Et ce qui est présenté comme à la mode dans ces boîtes devient aussitôt une quasi norme. Il y a trente ans, les revues « normales », c’est-à-dire visant un lectorat hétéro, hommes ou femmes, n’auraient jamais accepté de pub venant de boîtes homos. Aujourd’hui, les revues se battent pour y héberger la pub homo.
Il Est évident que cela aura une influence sur les enfants et sur les jeunes en général. Et il y aura toujours des personnes bien intentionnées pour le leur expliquer. Ne serait-ce que les homos. Il suffit de répéter souvent une connerie u un mensonge, et cela finit par être considérée par beaucoup comme vrai.
En outre et c’est probablement la raison principale, il y a deux catégories d’homos. Les homos vrais, ceux dont la sexualité est réglée par la biologie, parce que la nature s’est trompée en omettant de retransmettre un brin de chaîne génétique, ou un morceau d’ADN. Ou en en installant un de trop. Ou un X ou un Y de trop, ou en moins. Ce n’est que l’un des ratés de la Nature. C‘est pourquoi l’on a des veaux à deux têtes, des enfants siamois, des gens aux doigts palmés ou des canards à trois pattes. Mais comme pour toutes ces anomalies dues à la biologie, il n’y a qu’un faible pourcentage d’une population qui est affectée. C’et pourquoi le nombre d’homos vrais et celui des individus ayant des mœurs homos, sont souvent extrêmement différents. Ceux ayant des mœurs homos sans avoir des raisons biologiques pour qu’il en soit ainsi, sont nettement plus nombreux que les vrais. U moins trois ou quatre fois plus, pensent les spécialistes.
Mais il y a en outre encore davantage de gens qui au naturel seraient parfaitement hétéros, mais que des circonstances particulières, ou des perturbations du système nerveux central, ou un historique et un passé spécifiques, guident vers des pratiques homosexuelles. Et qui y trouvent leur compte pour l’une des différentes raisons potentielles possibles. Mais ces gens sont assimilés à la véritable minorité concernée, et la renforce, par le nombre et souvent la situation ; qu’elle soit personnelle, professionnelle, ou d’autre nature.
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1- Si l'on s'en tient à la réalité, il y a des individus qui au sein de l'espèce humaine, disposent de tel ensemble de propriétés, ou de tel autre ensemble de propriétés : aux premiers, disons que l'on attribue le « nom » « mâle », aux seconds le « nom » « femelle », rien de plus.
Selon moi, et je peux me tromper, la question n'étant pas simple, plutôt que nom, il faudrait dire: la qualité. Même dans cette optique, tout au plus y-a-t-il une manière d'être « mâle », ou « femelle », éventuellement en raison des phénomènes biologiques, mais certainement pas un être masculin, ou un être féminin à proprement dit.
2- Un homme et une femme peuvent se reproduire. Pour qu'il existe toujours des hommes et des femmes demain, il est nécessaire qu'hommes et femmes continuent de se reproduire. Voilà les faits. Il ne s'ensuit pas pour autant que les hommes existent en vue des femmes, et les femmes en vue des hommes, et qu'il existe une quelconque « complémentarité ». Nous nous plaisons à le croire, mais pas vraiment en vertu d'arguments « scientifiques ».
En réalité, sur ces questions, il y a conflit entre des conceptions philosophiques, parfois théologiques, qui tentent de se cacher derrière le critère : évidence, ou bon sens, appliqué en n’importe quelle occasion ; sachant que je considère la conception scientifique actuelle comme une conception philosophique, en raison des principes épistémologiques admis. Si l'on n'accepte pas cette considération, disons plus simplement : conflit entre science, philosophie, et théologie.
af90 2- Un homme et une femme peuvent se reproduire. Pour qu'il existe toujours des hommes et des femmes demain, il est nécessaire qu'hommes et femmes continuent de se reproduire. Voilà les faits.
Certes mais on observe que certains on plusieurs enfants, d'autres un ou deux, d'autres pas du tout, quelles qu'en soient les causes. Pour la pérennité de notre espèce, il n'est pas nécessaire que tous se reproduisent, mis seulement que le nombre moyen d'enfants soit suffisant.
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cheshire-cat
Vous avez raison : mon propos était trop imprécis.
cheshire-cat Autrefois, on imagine que seuls les mâles dominants avaient le droit de se reproduire mais ne se posait la question de l'avenir de notre progéniture.
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Mon cher af90, (action française ?) si je te connaissais mieux, je prendrais la liberté de te dire que ce message est globalement une fantaisie stupide et sans aucun sens. Mais il est évident que je ne me le permettrai pas.
Tes trois premières lignes donnent le ton de cet ensemble.
Tu écris : « 1- Si l'on s'en tient à la réalité, il y a des individus qui au sein de l'espèce humaine, disposent de tel ensemble de propriétés, ou de tel autre ensemble de propriétés : aux premiers, disons que l'on attribue le « nom » « mâle », aux seconds le « nom » « femelle », rien de plus.
Rien de plus ? Sans blague ! C’est du simple verbiage. Tu nous refais le coup à ta sauce empruntée aux bêtises en vogue dans certains milieux adeptes des thèses les plus débiles des complotistes du genre à imposer aux enfants de la classe populaire. Tu nous inventes là une nouvelle Loi de la Création, et une nouvelle histoire de la planète et de la Vie sur terre ? La Genèse explique qu’une la chose existe à partir du moment où elle a été nommée. Si cela était compréhensible pour les penseurs du dernier millénaire avant l’Ère Commune, et explique pourquoi seul un connaisseur du Talmud pouvait avoir inventé la psychanalyse, cela ne s’appliquait pas du tout à l’objet de tes délires.
L’ensemble de propriétés que tu évoques, et qui établirait une sorte d’identité sexuelle au nouveau-né, identité sexuelle qu’il n’avait pas avant le moment de la naissance, est une ineptie. Chez les crocodiles, la femelle pond des œufs asexués. Et selon l’environnement, la température, l’hydrologie et d’autres facteurs, une part plus ou moins grande de ces œufs devient des mâles et l’autre part des femelles. Par le simple jeu de la profondeur à laquelle les œufs sont enfoncés dans le sable. L’évolution chez les alligators (ou chez les crocodiles, c’est caïman la même chose, disait-on jadis dans les cours de récréation), a permis une adaptation totale du nombre d’individus de chaque sexe en fonction de l’environnement.
Les propriétés que tu évoques, concernant les bébés, et l’individu le constate plus ou moins nettement avant même qu’il ait cinq ans si les circonstances s’y prêtent, est que la moitié des nouveau-nés ( en gros et à 1 ou 2 % près), se résume à ce que la moitié soit dotée d’un vagin et d’un utérus, et l’autre moitié d’un vit. D’une part les hommes et d’autre part les femmes. Contrairement à l’idée que tu tentes d’amener. La détermination du sexe a bien évidemment été déterminée par la génétique et l’évolution durant la gestation. Et cela est vrai dans strictement tous les cas, mis à part les rares erreurs que la nature fait, sur ce plan avec les homosexuels, mâles ou femelles. Mais en ne considérant que les homos vrais, le nombre de ces homos vrais est marginal et sans intérêt statistique.
C’est en réalité simplement cela, tes « exemples de propriétés » : Le bébé nait fendu ou branchu, en fonction non pas d’une philosophie vaseuse, indigne même du Café du Commerce. Mais seulement en fonction de ce que la nature, la génétique et l’évolution, ont décidé. Pas en fonction de pseudo philosophie de gens farfelus à l’esprit embourbé dans les marécages intellectuels.
Et le sexe n’est en rien déterminé par des conventions sémantiques. Tu sous-entends en réalité, sans oser employer les mots, le titre célèbre de l’auteur (trice paraît-il mais le mot est moche) : « L’on ne nait pas femme, l’on le devient ».
Et bien non. Le sexe est déterminé dès le début de la gestation par la nature elle-même et par l’évolution. Pas par les préventions culturelles stupides des individus adeptes de l’émasculation des mâles, et de la transformation de la nature réelle des mâles en l’apparence de bonnes petites femmes d’intérieur. C’est probablement le seul point, la seule thèse, sur lesquels l’on pourrait très légitimement défendre Zemmour.
Ensuite tu nous fais profiter d’un scoop formidable. Tu écris : « Un homme et une femme peuvent se reproduire. Pour qu'il existe toujours des hommes et des femmes demain, il est nécessaire qu'hommes et femmes continuent de se reproduire. Voilà les faits ».
Alors là, pour un scoop, c’en est un. Bravo et merci de nous en faire profiter. J’ai une jeune voisine charmante, mais d’abord un peu abrupt. Je vais aller lui expliquer cela. En échange d’un tuyau aussi révolutionnaire, je suis certain qu’elle me laissera arpenter un peu sa jupaille.
Et contrairement à ce que tu prétends, il n’y a aucun : « conflit entre science, philosophie, et théologie ». Chacune des trois disciplines a son territoire, son pré carré, ses limites. Cela évite totalement les conflits. Il n’y a pas de conflits potentiels entre ces disciplines. Ou plus exactement, lorsque des zinzins cherchent un conflit, c’est simplement parce que sans conflits ils ne parviendraient pas à tenter, inutilement, de défendre leurs thèses inconsistantes.
Ton message pourrait passer pour un excellent exemple de ce phénomène.
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Il est surtout évident que vous n'entendez rien à ce que je raconte, dans la mesure où vous n'avez aucune formation philosophique. Cela ne devient un problème, que lorsque l'on ne sait pas évaluer ses connaissances, et que l'on finit par pondre trente lignes totalement à côté. Quelle est la question posée dans le point 1, par exemple ? Qu'ai-je alors affirmé comme opinion ? Votre réponse vous semble-t-elle toujours "pertinente"?
Plutôt que de jouer les conquérants de forum, assurez-vous de bien comprendre la teneur d'un message avant d'y répondre.
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Sargon Crétin.
Tes écrits montrent que tu ne parviendrais même pas à faire croire que tu as une pellicule de connaissances en matière de philo.
Jacques Brel a écrit et chanté une excellente chanson. (Pléonasme). Elle est intitulée s'il m'en souvient bien "Ces gens là".
Il y énonce un principe majeur. « Faut pas jouer les riches quand on n’a pas le sou ». Cela finit toujours par se retourner contre le fabulateur.
À ton prochain anniversaire, fais-toi offrir un bon manuel d’initiation à la philosophie. Et essaye de le digérer convenablement. Après seulement, et si tu parviens à le comprendre, risque toi à jouer au philosophe de bistrot.
1- N'est-ce pas ? C'est exactement ce qui vient de se produire vous concernant lorsque vous m'avez prêté des opinions que je ne professais pas, pour la simple raison que vous étiez incapable de comprendre la teneur de mon propos.
2- Quelle est la différence entre les deux opinions que je présente dans mon point 1 ?
La première associe un simple nom, une étiquette si vous voulez, féminité ou virilité, à un ensemble de phénomènes dans un sujet. A tel ensemble de phénomènes correspond tel nom. Elle nomme à sa convenance, sans signifier, à partir des phénomènes : nommer est une opération logique et neutre. Elle nie cependant la question de l'être comme réalité : elle ne s'occupe pas de savoir si la virilité ou féminité existe.
La seconde, la mienne, induit des phénomènes en question dans le sujet, une manière d'être, une existence relative de la féminité ou virilité, dans le sujet, à laquelle correspond le concept féminité ou virilité : nommer revient alors à signifier. Elle implique alors au moins deux difficultés : 1- l'hypothèse admise est invérifiable ; 2- elle mêle par cette hypothèse, logique et métaphysique.
Contrairement à ce que vous avez compris, aucune des deux positions ne nie les phénomènes : les réalités biologiques, si vous préférez.
Et contrairement à ce que tu prétends, il n’y a aucun : « conflit entre science, philosophie, et théologie ». Chacune des trois disciplines a son territoire, son pré carré, ses limites. Cela évite totalement les conflits. Il n’y a pas de conflits potentiels entre ces disciplines. Ou plus exactement, lorsque des zinzins cherchent un conflit, c’est simplement parce que sans conflits ils ne parviendraient pas à tenter, inutilement, de défendre leurs thèses inconsistantes.
1- La question précédente est déjà le théâtre d'un conflit possible entre philosophies, ou science et philosophie. Est-elle logique, ou logique et métaphysique ? Si elle n'est que logique, est-elle scientifique/mathématique ou philosophique ? J'ai affirmé qu'il s'agissait d'un conflit entre conceptions philosophiques, car l'opinion 1 est selon moi de facto nominaliste tandis que l'opinion 2 est réaliste. Toutefois, cette position, comme la précédente, survivrait-elle à un examen sérieux ?
2- Le conflit est positif, pas négatif, même si pas toujours agréable. Il permet d'éviter de raconter trop de bêtises. Votre réponse précédente consistait d'ailleurs à répondre à mes considérations philosophiques, très mal comprises, par des considérations scientifiques, qu'en l'occurrence je ne niais pas.