• [supprimé]

grishka Don't feed the troll.

grishka Vous tentez donc d'expliquer que les variations de quelques pourcents de certains types de pesticides entre quelques pays pourrait expliquer des écarts gigantesques d'évolution de l'obésité...

D'abord il ne s'agit pas uniquement des pesticides mais des produits chimiques de synthèse.

grishka Secundo, si les autres facteurs noient les effets des pesticides sur l'obésité à une telle échelle, cela confirme donc qu'en "admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal".
Vous produisez donc un argument pour contester mon affirmation... qui en fait soutient mon affirmation.
Bravo.

Vous perdez la tête ! Votre raisonnement serait valable sous l'hypothèse que l'exposition à la mauvaise alimentation manque de sport etc, était constante dans le temps. Hypothèse que vous ne faites pas (vous faites même tout le contraire puisque sinon il n'y aurait pas d'augmentation du taux de surpoids). C'est vous qui vous produisez des raisonnements incohérents en omettant les hypothèses implicites. Encore une fois, manque de rigueur !

grishka C'est tellement "ridicule", que sur le fil d'à côté, où vous avez mis en avant les "travaux" d'un agronome sur le stockage géologique des déchets radioactifs, vous en êtes arrivé au stade où vous voulez faire croire qu'un agronome dont le domaine d'expertise est le goût du pinard, est en fait, expert en géologie.

J'ai cité les propos d'un agronome qui a travaillé sur le sujet avec un physicien spécialiste du nucléaire, propos que d'ailleurs n'importe qui faisant un minimum de « recherche » pourrait tenir. Autrement dit, des propos assez évidents mais auxquels le directeur de projet se contente de dire « ça n'arrivera pas ».

Malheureusement je suis obligé de constater que Corpet se contredit : il dit dans un premier temps qu'on ne peut conclure si l'effet provient de la présence de pesticides ou bien de la composition des catégorie. Ensuite, il nous dit que l'étude confirme que une différence de protection entre les fruits. Autrement dit, d'un côté il dit on ne peut savoir et de l'autre on sait ! c'est contradictoire. J'ajoute que l'étude ne porte pas uniquement sur les cancers contrairement à ce que semble dire Corpet. Ce n'est pas une attaque contre Corpet qui a des intentions louables, il ne veut pas que ce genre d'étude conduise les personnes à moins manger de fruits et légumes en pensant se protéger (ce qui n'est pas la conclusion de l'étude).

grishka Sans raison.

Visiblement vous n'êtes pas au courant qu'il existe de nombreuses maladies qui vont avoir un effet différent en fonction du sexe alors qu'intuitivement il n'y a aucune raison. Votre conclusion est hâtive (encore une fois manque de rigueur).

L'étude sur le Nigéria montre également que les pays développés ont mis sur leur marché, avant de les interdire, des produits extrêmement dangereux, alors que certains étaient présentés comme plus sûr que leur prédécesseurs (tiens c'est toujours le même discours aujourd'hui !)

grishka Et le physicien qui trouve des probabilités supérieures à 100%, celui là même?

Pouvez-vous expliciter ?

grishka Vu que vous avez "pointé les limites d'une étude", je dois en conclure que vous l'avez discrédité, c'est bien cela?
Ou alors vous, vous avez le droit de pointer les limites d'une étude, mais pas les autres?

Là encore vous surchauffez du citron ! A aucun moment je ne dit que les limites d'une étude la discrédite, je dis que ce sont typiquement les climato-négationnistes qui se servent des limites des études pour les discréditer et que vous faites un peu la même chose.

    SagesseLiberale D'abord il ne s'agit pas uniquement des pesticides mais des produits chimiques de synthèse.

    Ce dont on se fout: l'argument est tout aussi valide.
    Mais vous l'abandonnez en rase campagne.
    Dont acte.

    SagesseLiberale Hypothèse que vous ne faites pas

    🤦‍♂️
    Mais bien sûr qu'elle est faite: c'est implicite. Et EVIDENT pour n'importe qui de cortiqué correctement.

    Si je suppose que l'exposition chimique est semblable dans l'hémisphère occidental et que l'évolution de l'obésité est TOTALEMENT différente dans tous les pays de l'hémisphère occidental, c'est donc que l'obésité dépend d'autre(s) chose(s) que l'exposition chimique...
    Je répète: c'est une EVIDENCE.
    Et c'est justement ce que j'écris depuis le départ:

    grishka Conclusion: en admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal.

    Je n'avais pas réalisé l'étendue de vos lacunes. C'est vraiment abyssal à ce niveau.

    SagesseLiberale J'ai cité les propos d'un agronome qui a travaillé sur le sujet avec un physicien spécialiste du nucléaire, propos que d'ailleurs n'importe qui faisant un minimum de « recherche » pourrait tenir. Autrement dit, des propos assez évidents mais auxquels le directeur de projet se contente de dire « ça n'arrivera pas ».

    Encore une argutie qui montre votre vraie nature, le vrai fond de vos "raisonnements" soi-disant justifiés par la sciÔÔÔÔÔÔÔÔÔnce.
    On passe de "Attention, suivons les dernières publications, la recherche, les experts" à "vous pourriez le trouver en faisant vos propres recherches". Ben oui, tout le monde il est géologue, ingénieur de structure, tout le monde peut faire ses propres "recherches" (en plus, pas du tout la sortie typique des complotistes).

    Le directeur de Cigeo n'a pas à répondre autre chose puisqu'il existe des tonnes de publications dans la littérature internationale revue par les pairs pour justifier son avis.
    Vous savez, la même littérature scientifique que vous brandissez quand cela vous arrange, mais sur laquelle on peut s'assoir en brandissant des "recherches" personnelles pour les mêmes raisons... Dr. Rigoureux.
    Littérature scientifique à laquelle vous opposez un expert du pinard assisté d'un Polytechnicien qui ne maîtrise pas les probabilités.

    SagesseLiberale Ensuite, il nous dit que l'étude confirme que une différence de protection entre les fruits.

    Et si vous lisiez vraiment ce qu'il dit. Pis le comprendre aussi.
    Car ce n'est pas ce qu'il dit: il dit qu'on savait déjà qu'il y avait une différence de protection entre les fruits.
    C'est une donnée d'entrée, pas une conclusion de cette étude.
    Par contre, par construction, cette étude ne peut pas montrer que ses résultats sont dûs aux différences d'exposition aux pesticides OU à un régime de fruits différents. Puisque les différences d'exposition aux pesticides sont dues à des régimes différents.
    En fait, le problème, c'est que vous ne comprenez rien à rien.

    Autre limite de cette étude: elle trouve une différence de mortalité mais pas de différence d'incidence. Ce qui est quand même fort étonnant.

    SagesseLiberale Visiblement vous n'êtes pas au courant qu'il existe de nombreuses maladies qui vont avoir un effet différent en fonction du sexe alors qu'intuitivement il n'y a aucune raison.

    Essayez encore Dr. Rigueur: il ne s'agit pas de maladies qui vont avoir un "effet différent", mais d'une maladie qui n'apparait pas DU TOUT chez les hommes.
    Donc argutie complètement à côté de la plaque.
    Merci, au revoir.

    SagesseLiberale L'étude sur le Nigéria...

    On s'en tape, car contrairement à ce que vous racontez, nous ne consommons pas de produits agroalimentaires du Nigéria, et ce qui s'y passe n'a donc absolument aucune incidence sur la santé en France.
    Vous embrayez très "subtilement" sur un autre sujet pour noyer le poisson.

    Vous avez dit:
    "se servir du fait que toute étude a des limites méthodologiques pour les discréditer"
    Pointer les limites des études, c'est comme la chasse: il y a les bons pointeurs de limite et il y a les mauvais pointeurs de limite.
    Le bon pointeur, il pointe les limites... mais c'est bien! Et le mauvais pointeur, il pointe les limites... mais c'est mal!
    Tout est plus clair maintenant.

      grishka Mais bien sûr qu'elle est faite: c'est implicite. Et EVIDENT pour n'importe qui de cortiqué correctement.

      Si je suppose que l'exposition chimique est semblable dans l'hémisphère occidental et que l'évolution de l'obésité est TOTALEMENT différente dans tous les pays de l'hémisphère occidental, c'est donc que l'obésité dépend d'autre(s) chose(s) que l'exposition chimique...
      Je répète: c'est une EVIDENCE.
      Et c'est justement ce que j'écris depuis le départ:

      Encore une fois, vous déformez mes propos. Où avez-vous lu que je prétendais que seule l'exposition aux produits chimques de synthèse était cause d'obésité ? Là encore vous vous montez le bonnet tout seul. Est-ce marginal (si ça a un sens) ou non ? Ce n'est pas votre graphe qui permet de conclure. Je reviens également sur votre raisonnement qui est formellement le suivant : SI (l'exposition est la même ET l'obésité est un facteur d'obésité) ALORS on le peut obtenir un graphe de cette forme. Par contraposée, on obtient un graphe de cette forme DONC l'obésité n'est pas un facteur d'obésité. Sauf que non. La contraposée donne : on obtient un graphe de cette forme DONC (l'obésité n'est pas ... OU l'exposition n'est pas la même). Etant donné l'étude citée plus haut, ce serait plutôt la seconde alternative à explorer. Juste un exemple : aux USA pour les cosmétiques seulement une dizaine de substances ou familles est interdite alors qu'en France il y en a plus de 1 000. Je ne dis pas que c'est une preuve sans équivoque, je dis simplement que l'hypothèse d'une exposition uniforme n'est pas si évidente a priori.

      Mais de toute façon, l'hypothèse [obésité seule cause] n'a jamais été faite par moi.

      grishka Essayez encore Dr. Rigueur: il ne s'agit pas de maladies qui vont avoir un "effet différent", mais d'une maladie qui n'apparait pas DU TOUT chez les hommes.
      Donc argutie complètement à côté de la plaque.
      Merci, au revoir.

      Factuellement, si vous lisez le résumé, et la conclusion à aucun moment il n'est dit qu'il n'y a pas d'association entre présence de métabolites (des néonicotinoïdes étudiés) et cancer du foi pour les hommes. Si qui est constaté c'est que les femmes ont une concentration médiane de métabolites plus élevée que les hommes. Là encore je n'ai pas accès à la totalité de l'article mais par principe de charité je fais confiance à l'honnêteté des chercheurs.

      grishka On s'en tape, car contrairement à ce que vous racontez, nous ne consommons pas de produits agroalimentaires du Nigéria, et ce qui s'y passe n'a donc absolument aucune incidence sur la santé en France.
      Vous embrayez très "subtilement" sur un autre sujet pour noyer le poisson.

      C'est fou le temps perdu à commenter des choses qui en fait n'ont aucun rapport. Revenons au commencement. J'ai évoqué cette étude en disant qu'elle confirmait la conclusion de l'étude US sur la consommation de fruits et légumes. Donc rien à voir avec la France. Si vous fouillez un peu vous verrez que les scores concernant la présence ou non de pesticides s'appuie sur le Pesticide Residue Burden Score (PRBS) qui inclut les pesticides cités dans l'étude sur le Nigéria. Et oui, certains pesticides ont une durée de vie dans l'environnement malheureusement trop importante. J'ajoute que certains des pesticides étudiés au Nigéria, s'ils sont interdit en FRance ou en UE, restent autorisés partiellement aux USA.

      grishka Et si vous lisiez vraiment ce qu'il dit. Pis le comprendre aussi. [...]

      Je maintiens qu'il y a une incohérence ou au moins une ambiguïté dans ses propos :

      Leurs données montrent que les gens qui mangent un certain type de fruits et légumes (par exemple beaucoup de petits pois et d'oranges) ont moins de cancers et de maladies cardiovasculaires que ceux qui mangent beaucoup de pommes, de fraises et d'épinards. Cela confirme que certains fruits et légumes sont associés à une bien meilleure protection que d'autres. Nous le savions déjà : les oignons par exemple, qui contiennent beaucoup de phyto-nutriments (des composés soufrés), protègent beaucoup mieux que les pommes de terre. On sait également que les oranges protègent réellement contre le cancer de l'estomac, alors que la pomme, pas du tout. Or dans leur enquête, les oranges sont dans le groupe des produits peu contaminés, et les pommes dans celui des produits très contaminés. Mais objectivement, on ignore si l'effet bénéfique observé est lié à la présence moindre de pesticides, ou à la composition du fruit lui-même

      Les deux phrases « Cela confirme que certains fruits et légumes sont associés à une bien meilleure protection que d'autres. » et « Mais objectivement, on ignore si l'effet bénéfique observé est lié à la présence moindre de pesticides, ou à la composition du fruit lui-même. » sont logiquement incompatibles. C'est l'ambiguïté de la première phrase qui pose problème. Elle s'interprète (selon moi) comme si l'étude polémique confirmait que certains fruits et légumes sont plus protecteur que d'autres indépendamment de la présence de pesticides. Ce qui contredit la seconde phrase.

      L'autre problème de l'interview de D. Corpet, c'est qu'il prend un exemple mais qui n'est nullement représentatif. Là encore, soit il prouve que la grande partie des produits classés (bas-pesticides) sont « naturellement » plus protecteurs et implique un biais, soit il use du principe de charité qui consiste à se dire qu'étant donné les qualifications reconnus de l'équipe d'Harvard, les chercheurs auraient évoqué ce biais potentiel. Ici, ce qui pose problème c'est l'insinuation (certes pour une cause louable, ne pas inciter les gens à manger moins de fruits et l..😉

        SagesseLiberale Où avez-vous lu que je prétendais que seule l'exposition aux produits chimques de synthèse était cause d'obésité ?

        Bah voilà. Si c'est un facteur d'obésité, c'est tellement faible par rapport aux conséquences de la sédentarité (#voiture individuelle) et des régimes alimentaires riches (et riches en glucose transformé à fort index glycémique) que c'est négligeable ?

        Pas besoin de tortiller à chercher la petite bête et d'embêter tout le monde avec ça alors.

        5 jours plus tard

        Une nouvelle étude démontrant qu'un cocktail d'une quinzaine de perturbateurs endocriniens (phtalates, bisphénol A, triclosan, composés perfluorés [PFAS]) suffit à endommager le cerveau des enfants (notamment à cause de l'exposition de la mère à ces substances durant la grossesse).

        https://www.science.org/doi/10.1126/science.abe8244

        10 jours plus tard

        pour les naïfs qui font confiance aux institutions pour protéger les citoyens et les consommateurs :

        la commission UE a proposé un indicateur pour classer les produits en fonction de leur dangerosité.

        Problème : avec cet indicateur, 1kg de sable de quartz serait aussi dangereux que 1kg du pesticide déltamethrine ! Ou encore que l'application de bicarbonate de potassium (classé substance à faible risque) présenterait un risque 800% plus élevé que l'application du fongicide synthétique difénoconazole dont, là encore; plusieurs études ont montré la toxicité.

        C'est le toxicologue Helmut Burtscher-Schaden qui a levé le lièvre https://www.global2000.at/sites/global/files/GLOBAL-2000_Report_HRI-1_220228.pdf

        Bonjour,

        Encore de la littérature savante. En fait tout le monde sait que les pesticides c'est pas bon pour la santé de même les nitrites dans les charcuteries. La question est plutôt de savoir s'il existe des alternatives valables à ces substances toxiques.

        Cordialement.

          un an plus tard