Sargon Il n’y a pas de sens à comparer l’attitude du personnel hospitalier en face du Covid, et celle du corps enseignant en face du même Covid.
pardon, mais pour moi, il y a du sens.
Ces deux corps professionnels, ont réputation d'être des métiers de vocation.
L'un avec la belle image de l'instituteur républicain, l'autre avec l'image du soignant, dévoué pour la guérison et le rétablissement de n'importe quel patient.
L'un a fait front, a été en première ligne, avec courage, et abnégation.
Le second a fait des sérénades inadmissibles, et profitait à plein du drame de la pandémie, pour avoir l'honneur de ne plus rien faire de toute sa journée "le covid c'est trop risqué, gardons les écoles fermées, et tant pis, (ou tant mieux) si ça complique le quotidien de ceux qui doivent retourner au boulot, car bloqués, sans solution de garde d'enfants, seront contraints de rester à la maison et ainsi pénaliser au maximum, la bonne marche de l'activité économique du pays, et dans un second temps, nuire au méchant Macron)
D'ailleurs, preuve que ma comparaison n'est pas folle, les enseignants ont ralé, plein de jalousie, de voir que les citoyens applaudissaient les infirmières tous les soirs à 20 heures et que eux, rien, rien pour eux.
j'en ai eu, des copies de mails de l'école : "après réunion de l'ensemble des enseignants, il a été décidé de ne pas réouvrir l'école"
ou encore mieux,
après 3 mois de confinement total, avec des supers enseignants qui n'ont balancé qu'un seul lien aux parents "l'écolealamaison.com" dès la réouverture des classes, un gamin rapportait à son père, "le prof il a dit "ah ouf! bientôt les vacances".;
L'école rouvrait pour à peine 2 semaines et l'enseignant, tout ce qu'il voyait, c'était les vacances qui approchaient.
là encore, idéologie crasseuse.
Là encore, encore des syndicats qui se réjouissaient de nuire autant que possible à un gouvernement qui faisait son maximum pour amortir le choc pandémique sur la santé économique du pays.
Le covid n'a peut être pas révolutionné l'hôpital, mais les besoins immédiats d'assistance aux malades de forme grave, a monopolisé toutes les ressources des hôpitaux.
C'est ainsi que bcp de rendez vous de suivi pour maladies chroniques, ont été repoussés, reportés, ou annulés. Avec les conséquences que ça pouvait engendrer sur la mortalité anormale de pas mal de gens, souffrant de maladies graves, différentes du covid.
Pour les tensions internes aux centres hospitaliers, oui, ça date de bien avant le covid, mais la virulence de ce Covid a tout amplifié, surtout lorsque les ARS refusaient d'utiliser les capacités des cliniques privées, en matière d'accueils et assistance respiratoires, entre autre.
L'idéologie, et les corporatismes, sont un autre fléau, récurrent et très lourd dans ce pays.