[supprimé]
Quand on regarde les courbes, on peut raisonnablement penser que la Macronie prévoit un reconfinement "dur" d'ici à mi-avril. J'espère bien entendu me tromper.
Quand on regarde les courbes, on peut raisonnablement penser que la Macronie prévoit un reconfinement "dur" d'ici à mi-avril. J'espère bien entendu me tromper.
[supprimé] Quand on regarde les courbes, on peut raisonnablement penser que la Macronie prévoit un reconfinement "dur" d'ici à mi-avril. J'espère bien entendu me tromper
Y'a plus de pognon , les caisses sont vides donc un confinement comme en mars dernier c'est impossible , a part un confinement stricte du vendredi soir au lundi matin avec fermeture de tout les magasins , garage etc..... pendant 6 mois .
[supprimé] suicider ou "avoir des idées noires"
c'est bien la preuve que la France est devenue un pays de pleurnichard , certaines devraient avoir honte surtout les jeunes , nos anciens ont connue pire ,
Il faut bien admettre qu'à part les blouses blanches et les nouveaux inquisiteurs, donneurs de leçons comme ce n'est pas possible, la plupart des gens ne sont pas pour un nouveau confinement, qui, en plus, selon les médecins, devra être strict pour être efficace et désengorger les services de réanimation. Autrement dit, il faudrait que la population soit à nouveau emprisonnée, comme cela fut le cas du 17 mars au 11 mai 2020, pour que l'hôpital public respire à nouveau.
Il n'y a plus à être étonné que les blouses blanches ne soient plus applaudies depuis plusieurs mois. Le vent a tourné : les Français acceptent de moins en moins les mesures sanitaires, les transgressent de plus en plus, quand les blouses blanches, elles, demandent toujours plus de durcissement. Le désir de retrouver la vie d'avant n'a jamais été aussi forte. Comment la majorité de la population peut adhérer à un nouveau confinement strict ?
J'aimerais aussi que les blouses blanches n'oublient pas l'effet dévastateur sur le mental des Français que peuvent avoir toutes les mesures sanitaires. Les médecins généralistes n'ont jamais reçu autant de patients pour des troubles psychologiques. J'ajoute à cela que les mesures sanitaires ont également un impact sur l'économie de la France, qui ne fait que s'enfoncer : selon l'Insee, en 2020, notre PIB a chuté de 8,3% et 320 000 emplois ont été détruits dans le secteur privé. Et ce n'est que le début de la crise économique qui nous attends.
Bref, les blouses blanches n'en peuvent plus et saturent mais les autres Français aussi sont dans la même situation. Ils sont exaspérés par les mesures sanitaires, qui les privent d'une partie de leur liberté depuis un an. Le moteur économique est sous perfusion et tourne au ralenti. L'horizon est bien noir.
Je résumerais mon commentaire par cette phrase : la santé n'est pas que biologique. Il y a aussi la santé mentale et la santé économique. La première ne peut pas annihiler les autres. C'est pourtant ce qui est en train de se passer en France.
pengolodh quand les blouses blanches, elles, demandent toujours plus de durcissement.
Pour en côtoyer des blouses blanches, on est plutôt dans le 50/50. Le problème est avant tout le manque de personnel et de moyens, pas de malades, puisqu'ils seront toujours aussi nombreux, et même mécaniquement croissant d'année en année.
Déconfiné et sans masque, le Texas constate une énorme baisse de cas Covid, contrairement à ce qu'avaient prédit les "experts".
https://www.wikistrike.com/2021/03/deconfine-et-sans-masque-le-texas-constate-une-enorme-baisse-de-cas-covid.html
Mais pas sans vaccin
Texas has administered more than 10 million vaccine doses,
Pour une population de 29 millions.
https://www.texastribune.org/2021/03/29/texas-covid-vaccine-eligibility-supply/
Soyez enrhumé pour ne pas choper le covid !
D'après des scientifiques de l'université de Glasgow, le rhume pourrait protéger du COVID-19
Voila encore un truc qui va énerver big-pharma.
Le virus du rhume (rhinovirus) est un coronavirus, peut-être un peu égoïste, peu partageur.
https://www.wikistrike.com/2021/03/d-apres-des-scientifiques-de-l-universite-de-glasgow-le-rhume-pourrait-proteger-du-covid-19.html
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Encore une étude in vitro.
Le cimetière des bonnes idées est empli d'essais in vitro qui n'ont pas abouti in vivo.
Ne nous affolons donc pas.
Notons que l'efficacité repose sur l'immunité innée, qui est de courte durée, et on n'est pas enrhumé tout le temps.
L'immunité innée, vous parlez d'immunité collective ? Car vous êtes pas sans savoir que pour la grippe proche du corona, il n'y a pas d'immunité. La grippe, on peut l'attraper 2 années de suite. Le calcul est simple. L'immunité collective naturelle est une illusion.
[supprimé] L'immunité innée, vous parlez d'immunité collective ?
Non, il s'agit de la première ligne de défense du système immunitaire quand une infection est détectée.L'immunité spécifique, contre telles ou telles maladies ne se développe que plus tard.
Merci pour ses précisions. J'avais compris de travers. Mais quand même, ça me permet de reparler de la soit disante immunité collective qui était à un moment le moyen avancé pour en finir avec cette maladie. Donc j'en viens à ma question : l'immunité collective sur un virus type grippe sert elle à quelque chose ? Je pense que ça sert à rien car l'immunité n'est que temporelle de l'ordre de quelques mois pour la grippe je crois savoir.
L'immunité contre la grippe n'est pas éternelle, mais lors des nouvelle épidémie, il y a souvent une proportion de la population qui a gardé une certaine immunité des années précédentes, ce qui limite l'ampleur de l'épidémie.
D'autres maladies fonctionnent autrement.
Sans parler des nombreux variants même dans le cas de la grippe.
[supprimé]
Quand les variants n'ont "pas trop varié", il reste une immunité collective partielle.
Il suffirait qu'un variant atteigne les enfants pour que ce soit catastrophique pour le coup ...
Effectivement l'immunité croisée des années précédentes (Infection ou vaccin) pour la grippe permet de limiter la propagation de l'épidémie mais aussi de surcroit les formes graves, après tout dépend de la souche circulante dominante, de ses mutations par rapports aux années précédentes... Pour la grippe il est difficile de savoir laquelle des 4 principales souches va circuler de manière prédominante et surtout parmi les 4 souches, ce sont des virus qui mutent intrinsèquement plus rapidement que les coronavirus.
Donc même le vaccin tétravalent peut être pris en défaut car le H3N2 de la saison précédente dans l'hémisphère sud n'est pas le même que celui qui va circuler dans l'hémisphère nord.
Si on prend cette souche, on sait qu'elle est redoutable pour les patients les plus âgés et qu'il y a une forte surmortalité quand elle circule de façon prédominante. Sur les années précédentes, elle a fait sur un hiver des surmortalités de 15 000 à 20 000 morts.
Le problème de la grippe c'est les virus pandémiques issus des recombinaisons (ayant lieu dans le monde animal) donnant des virus nouveaux où la population est naïve. Là c'est un problème...
Pour les vaccins anti-COVID je ne suis pas inquiet, certes il y a des variants mais globalement on a un seul virus et surtout ça mute moins vite que les virus grippaux, je pense qu'on a plus le temps. Et de ce qu'on a vu jusqu'à présent, l'immunité naturelle semble durer au moins 1 an de manière tout à fait convenable. Donc pas de panique, vu la capacité de production de vaccins que l'on va avoir rapidement, ça ne sera pas un souci de les produire pour s'adapter.
Je pense pas qu'on aura besoin de se vacciner tous les 6 mois, on devrait être sur un rythme au moins annuel voir peut être un rythme moins élevé, ça dépendra de la durée de la protection vaccinale qui reste pour l'instant moins certaine que celle de l'infection naturelle étant donné que l'on a moins de recul sur le niveau de protection immunitaire et de l'impact des variants. Mais au vu de l'efficacité des vaccins actuellement, on peut être optimiste mais tout en étant prudent, il faut rester aux faits et observer. On peut imaginer si la théorie se réalise une protection assez solide pour une grande majorité de la population pour une durée convenable et juste une vaccination annuelle pour les plus âgés compte tenu de l'immunodépression lié à l'âge se faisant surtout sur le versant de l'immunité cellulaire ce qui est un souci pour les infections virales. De plus comme le disait Bruno Lina (virologue à Lyon), les formes graves dépendent surtout de l'immunité cellulaire et celle-ci semble durer assez longtemps chez les personnes jeunes et d'âge médian.
Je suis assez optimiste sur une maitrise de ce virus grâce heureusement à une vaccination efficace.