Cette "crise" révèle l'ampleur des trafics dans l'économie de ces "banlieues" ou de ces "quartiers", trafics contrariés par le confinement.
Mais le covid n'est ici qu'un révélateur de l'économie souterraine. On comprend mieux pourquoi rien n'est fait pour lutter contre les escroqueries aux allocs ou à la carte vitale : il y a pourtant des milliards à récupérer, et des millions de fraudeurs à expulser avant qu'ils ne deviennent enragés.