Du coup, le chrétien d'alors était davantage demeuré ou il est devenu plus rationnel ?

  • af90 a répondu à ça.

    Pene
    Paf ! Sur le pif ! Un peu douloureux, n'est-ce pas ?

    T'as déjà un coup dans le pif ?

    • af90 a répondu à ça.

      Tu peux toujours répondre en quelques mots à la question posée si tu as 5 minutes.

      • af90 a répondu à ça.

        Pene
        Comme tu pouvais répondre à la mienne. Mais, un débat avec un gus qui se permet de mépriser le chrétien savant alors qu'il ne fait jamais que révéler son manque de discernement, en vaut-il la peine ? Je ne crois pas. Pour les gus dans ton genre, je préfère les coups de pied dans la tronche, ce qui me différencie d'ailleurs du bon chrétien, que tu méprises.

        C'était pourtant pas compliqué... si tu veux je reformule plus simplement.

        • af90 a répondu à ça.

          Pene
          Dit le spécialiste de la raison, qui méprise le simple, tout en ignorant les diverses causes.

          Et tu conviendras que mettre une peignée à un vieil ensoutané, abimé par la vie (scolarité malheureuse, brimades répétées d'un professeur d'histoire si j'ai bien mesuré le ressentiment qui t'anime à l'endroit de la discipline) ne ferait guère avancer le débat (indigent à la base car vérolé par la bécasse de service).
          Tu t'es réfugié dans les Saintes Écritures et la théologie, activité louable mais n'oublie pas, de temps à autre, de sortir de ta Bulle et d'explorer le monde, ton pays, ta ville, ton quartier, ta rue. Sors de ce personnage aigri. Vis !

          • af90 a répondu à ça.

            Pene La question n'est pas si mauvaise et revient systématiquement dans la bouche de l'incroyant. Puisque Dieu est à l'origine de tout alors il le serais aussi en ce qui concerne les catastrophes naturelles. Je ne peux évidemment que vous soumettre des suppositions n'étant pas le principal intéressé et celui ci ayant certainement mieux à faire que de vous répondre.
            Que l'homme soit mis à l'épreuve, celà fait partie de ce que l'on apprend en lisant la Bible. Il y est même écrit que celui qui veut sa place auprès de Dieu devra endurer bien des souffrances donc voyez ce qu'il vous reste à faire.
            Un autre point de vue veut que ce soit l' inconscient collectif qui provoque des catastrophes mais peut être que celà revient au même finalement.

            • Pene a répondu à ça.
              • [supprimé]

              • Modifié

              katou A part insulter et montrer des biscottes trop cuites, tu viens faire quoi sur ce fil ?

              Pene fait de la peine, il vient juste ici manifestement en espérant briser le rêve des autres ... posture pathétique que de faire de l'ingérence dans la croyance d'autrui. ("Te ramener dans la bergerie." dit-il ... de qui veut faire l'ange fait la bête)

              jack127 La question n'est pas si mauvaise et revient systématiquement dans la bouche de l'incroyant. Puisque Dieu est à l'origine de tout alors il le serais aussi en ce qui concerne les catastrophes naturelles.

              Dans la bouche du croyant, et de l'autorité ecclésiastique au fil des siècles.
              Les vérités d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui. Le croyant est devenu moins croyant ? l’Église plus souple et davantage au fait des réalités temporelles, moins engoncée dans ses certitudes qui l'empêchent de se mouvoir dans le monde moderne ?

                Pene Cette posture a évolué depuis mais les reproches faits à Dieu restent les mêmes. La bêtise humaine le fait s'éloigner de Dieu et l'homme n'ayant plus foi en lui même et en Dieu s'auto-saborde.
                Concernant les catastrophes naturelles, elles existaient bien avant l'homme et parfois celui ci tend le bâton pour se faire battre car qui aurait l'idée saugrenue de vivre prêt d'un volcan par exemple? L'homme soi disant supérieur, capable de détruire son environnement, n'est il pas finalement pas plus sot qu'un animal en causant sa propre perte?

                  • [supprimé]

                  jack127 ... capable de détruire son environnement, n'est il pas finalement pas plus sot qu'un animal en causant sa propre perte?

                  ... Il y arrive plus vite que les dinosaures aidés par un astéroide, c'est pas un signe de lucidité en tout cas.

                    Il y a 65 millions d'années, quand un astéroide géant s'écrasa sur terre provoquant la disparition des dinosaures, est ce que dieu était dans le coup ?
                    Les dinosaures croyaient ils en dieu ?

                      [supprimé] Oui, Dieu a envoyé un ballon pour les dinosaures mais il a vu un peu grand...

                      danielle49 Oui, tout celà est très bien expliqué dans la série "Denver le dernier dinosaure"...

                      Pene Vous ne trouverez pas de témoins qui vous dirons le contraire.
                      D'une part, le temps est une invention humaine. D'autre part, rien ne dit qu'il s'est toujours écoulé de manière unilatérale.

                      Pene jack127 La question n'est pas si mauvaise et revient systématiquement dans la bouche de l'incroyant. Puisque Dieu est à l'origine de tout alors il le serais aussi en ce qui concerne les catastrophes naturelles.

                      Dans la bouche du croyant, et de l'autorité ecclésiastique au fil des siècles.
                      Les vérités d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui. Le croyant est devenu moins croyant ? l’Église plus souple et davantage au fait des réalités temporelles, moins engoncée dans ses certitudes qui l'empêchent de se mouvoir dans le monde moderne

                      L'adversité est ce qui aiguise l'homme. Tant au physique, qu'a l’intellect, qu'au moral.
                      La religion catholique n'a jamais été monolithique partagé entre le soutien au pouvoir, pour ce qu'il fait obstacle au chaos et, donc, au Mal et le courant, minoritaire à mon avis allant vers le salut individuel, mais susceptible de désordre (franciscains, fraticelles, pélagianisme etc...)
                      Aujourd'hui l'homme d'occident est avachi dans le confort, la sécurité et la jouissance. Il n'a nul besoin de s'aiguiser. Mieux, il s'abime dans la contemplation de soi et la requête permanente auprès de l'état, grande figure transcendé qui devrait répondre a tous ses besoins, et, même tous ses désirs.
                      Qu'est-il besoin, alors de rigueur, d'effort et de sagesse pour survivre?
                      On peut se comporter en sybarite obèse, cynique et pleurnichard sans même que la nature viennent a rappeller qu'il n'y a pas de place pour les faibles ni pour les dégénérés sur le monde.