Pene jack127 La question n'est pas si mauvaise et revient systématiquement dans la bouche de l'incroyant. Puisque Dieu est à l'origine de tout alors il le serais aussi en ce qui concerne les catastrophes naturelles.
Dans la bouche du croyant, et de l'autorité ecclésiastique au fil des siècles.
Les vérités d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui. Le croyant est devenu moins croyant ? l’Église plus souple et davantage au fait des réalités temporelles, moins engoncée dans ses certitudes qui l'empêchent de se mouvoir dans le monde moderne
L'adversité est ce qui aiguise l'homme. Tant au physique, qu'a l’intellect, qu'au moral.
La religion catholique n'a jamais été monolithique partagé entre le soutien au pouvoir, pour ce qu'il fait obstacle au chaos et, donc, au Mal et le courant, minoritaire à mon avis allant vers le salut individuel, mais susceptible de désordre (franciscains, fraticelles, pélagianisme etc...)
Aujourd'hui l'homme d'occident est avachi dans le confort, la sécurité et la jouissance. Il n'a nul besoin de s'aiguiser. Mieux, il s'abime dans la contemplation de soi et la requête permanente auprès de l'état, grande figure transcendé qui devrait répondre a tous ses besoins, et, même tous ses désirs.
Qu'est-il besoin, alors de rigueur, d'effort et de sagesse pour survivre?
On peut se comporter en sybarite obèse, cynique et pleurnichard sans même que la nature viennent a rappeller qu'il n'y a pas de place pour les faibles ni pour les dégénérés sur le monde.