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Vous ne pouvez pas dire qu'un trait physique, lorsqu'il n'est pas utilisé pour de la violence, relèverait tout de même de la violence au motif qu'il permettrait éventuellement celle-ci.
Cela revient à soutenir que la beauté équivaudrait à la prostitution et l'éloquence au mensonge.
En vrac : vous attribuez arbitrairement la volonté de domination et l'aggressivité à la seule force physique, alors que les différences hormonales sont connues pour jouer sur ces facteurs.
Vous pointez le fait qu'il y a aussi des mères autoritaires alors que seul compte le fait que, statistiquement, les pères incarnent davantage l'autorité.
Vous niez l'effet d'une voix grave au motif du volume sonore sans prendre en compte que les voix fluettes sont associées aux enfants. Passez cinq minutes dans une garderie et vous réaliserez qu'un cri aïgu n'émet aucune autorité, si sonore soit-il.
Je suspecte que vous savez avoir tort mais que vous insistez pour "gagner" le débat, quitte à vous vautrer dans la déraison.
Encore une fois nous avons le même QI moyen mais chez les hommes la distribution est plus étalée. Il y a donc plus de hauts QI mais aussi plus de faibles QI.
Les hommes représentent ainsi 66% des QI > 120, et 97% des QI > 170 (The Independent)
Quant aux études il suffit d'un QI faible à moyen pour y réussir. Les différences de réussite hommes/femmes ne sont donc pas nécessairement dues à l'intelligence. Si l'on insiste pour regarder l'intelligence, la plus grande proportion de faibles intelligences est délétère sans être compensée par la plus grande proportion de hautes intelligences.