Elles ont raison, j'aurais d'ailleurs préféré qu'elles soient plus violentes, parce que ça va le délire destructeur du mâle dominant, qui souvent est super con en plus... y'a pas plus con qu'un garçon trop virilisé. Je n'ai pas envie de ressembler aux arabes, d'ailleurs le premier homme féministe n'était-il pas François Poullain de la Barre ? Philosophe français méconnu.
Merci aussi à Balzac, Zola et Stendhal. Zola n'écrit jamais mieux que quand son héroïne est une femme : Gervaise dans l'assommoir, Denise dans Au bonheur des dames, Nana, ou Pauline dans la joie de vivre, sont des personnages sublimes, même si deux d'entre elles finissent mal.