C'est à l'échelle du dialogue entre les financiers et le patronat (donc dans un projet de droite) que l'on peut rapprocher les intérêts financiers et économiques, pour espérer voir revenir les classes moyennes et combler le fossé dont vous parlez, car seuls les décideurs ont véritablement le pouvoir d'infléchir l'évolution en ce sens.
Au niveau populaire, si le séparatisme est un moyen d'avoir la paix sans trop investir dans une politique répressive, on peut envisager le séparatisme. La priorité réaliste est, encore une fois, d'encourager le dialogue au niveau des sphères les plus susceptibles d'orienter les décisions politiques.
Encore faut-il qu'il y ait assez d'argent, et l'immigration n'est pas forcément la plus coûteuse, d'autant plus que les immigrés qui arrivent à survivre sont des consommateurs. Il y a d'autres dépenses publiques à réduire, liées aux poids du fonctionnement ou plutôt du dysfonctionnement de notre administration.