Sans cesse, au coeur de nos vies, se pose le dilemme: ouvrir ou fermer? Ouvrir son coeur, son intelligence, son esprit, sa vie, voir le destin de sa patrie ou bien les verrouiller les uns après les autres? Je ne dis pas que la question est dérisoire, ni la réponse simple, surtout s'il s'agit d'un sort collectif.
L'essentiel me paraît résider dans l'analyse de la réaction: est-ce un raisonnement équilibré qui prévaut, ou bien n'est-ce pas un réflexe de peur qui l'emporte?