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jipi Toi Tu comprends pas pas les réponses.
cemab Les explications c’est pour les gens qui ont des neurones dans la caboche pas une bite à la place.
quoikicause Encore un paté copié-collé d'un site de propagande. Au fait, le petit "soldat" cégétiste gauchiste, il sait que le communisme était tellement bien que les citoyens, là-bas, en ont cassé un mur et fait tomber un rideau de fer ?
C’est ton excuse pour ne pas lire qu'elle que chose qui ne passe jamais à la téloche?
cemab Bah tu connais un bon moyen de maximiser les profits? Faire bosser des gens gratos ! Même un gosse de 7 ans il comprends !
Une moitié des catégories de travailleurs industriels ne prenait jamais de bière; un tiers, vingt-huit pour cent, jamais de lait. La moyenne d'aliments liquides, par semaine, dans les familles, oscillait de sept onces chez les couturières à vingt-quatre onces trois quarts chez les bonnetiers. Les couturières de Londres formaient la plus grande partie de celles qui ne prenaient jamais de lait. Le quantum de pain consommé hebdomadairement variait de sept livres trois quarts chez les couturières à onze et quart chez les cordonniers; la moyenne totale était de neuf livres par tête d'adulte. Le sucre (sirop, etc.) variait par semaine également de quatre onces pour les gantiers à dix onces pour les bonnetiers; la moyenne totale par adulte, dans toutes les catégories, ne s'élevait pas au‑dessus de huit onces. Celle du beurre (graisse, etc.), était de cinq onces. Quant à la viande (lard, etc.), la moyenne hebdomadaire par adulte oscillait entre sept onces et quart chez les tisseurs de soie, et dix-huit et quart chez les gantiers. La moyenne totale était de treize onces un sixième pour les diverses catégories. Les frais de nourriture par semaine, pour chaque adulte, atteignaient les chiffres moyens suivants : Tisseurs de soie, deux shillings deux pence et demi; couturières, deux shillings sept pence; gantiers, deux shillings neuf pence et demi; cordonniers, deux shillings sept pence trois quarts; bonnetiers, deux shillings six pence un quart. Pour les tisseurs de soie de Macclesfield, la moyenne hebdomadaire ne s'élevait pas au‑dessus de un shilling huit pence un quart. Les catégories les plus mal nourries étaient celles des couturières, des tisseurs de soie et des gantiers [5].
Ajorud'hui on pourrait parler du frigo vide des GJ.