https://fr.wiktionary.org/wiki/jusquesThym, j'aurai au moins appris qq chose...
Jusques à quand, c’est le fameux quousque tandem de Cicéron.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Quousque_tandem_abutere,_Catilina,_patientia_nostra%3F
https://fr.wiktionary.org/wiki/jusquesThym, j'aurai au moins appris qq chose...
Jusques à quand, c’est le fameux quousque tandem de Cicéron.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Quousque_tandem_abutere,_Catilina,_patientia_nostra%3F
tiens, une question pour qui la veut.
FAP ?ed : filtre à particules, au temps pour moi.
Permettez moi de vous apprendre un truc : l'expression juste est "autant pour moi", alors que "au temps pour moi" n'a aucun sens pourtant on le lit souvent.
là je n'ai pas d'avis particulier si ce n'est que j'utilise "autant" quand il s'agit de notion quantitative. ce qui voudrait aussi signifier que je fais autant d'erreurs que d'autres. mais dans le cas d'une erreur, où je n'aurais pas pris le temps de la réflexion (ce qui était le cas), l’usage recommande "au temps..."
http://www.tv5monde.com/cms/chaine-fran ... pisode=499
Après, pas le genre de truc sur lequel je mettrais un billet pour assurer ma loi.
Moi j'écris Otan pour moi, et ça me fait sourire.
Au temps pour moi ou autant pour moi
Après consultation de fins grammairiens, les deux expressions se disent.
L’Académie française recommande au temps pour moi. Dans un registre soutenu de langue on dira au temps pour moi, dans un registre courant de langue on dira autant pour moi. Au temps était un commandement dans les casernes, les salles de gymnastique… pour faire recommencer un mouvement. Au temps pour moi, qui n’était plus compris, est devenu autant pour moi.
Il y a beaucoup d’expressions qui se transforment au cours du temps, car leur sens originel a été perdu. Par exemple l’expression partir en couilles a probablement pour origine l’expression tomber en quenouille, c’est-à-dire : tomber aux mains d’une femme. L’expression partir en couilles a donc complétement perdu son sens originel.
Par exemple l’expression partir en couilles a probablement pour origine l’expression tomber en quenouille, c’est-à-dire : tomber aux mains d’une femme. L’expression partir en couilles a donc complétement perdu son sens originel.
Pas complètement, la notion de perte de contrôle est commune aux deux expressions.
Une seule couille dans "partir en couille".
On sent poindre en toi une fine grammairienne, ainsi qu’une experte en fines braguettes.Pas complètement, la notion de perte de contrôle est commune aux deux expressions.Une seule couille dans "partir en couille".
Mener les gens à la baguette peut les faire craquer !
(Elle est plutôt pour les Lyonnais, celle là !)
Tiens, un petit fil sur les joies de notre si belle langue... Ne te sens nullement visé Titi, je te cite juste pour l'exemple car je le trouve très intéressant.
tiresias C'étaient les mêmes, qui se retrouvaient du bon ou du mauvais côté[...]
Le sujet : les mêmes ; le verbe : se retrouver ; le complément de lieu : le côté (si les termes que j'utilise ne sont pas ceux de l'EN, estimez que c'est de l’ordre du détail et passez à autre chose).
Question : dans cette phrase, de qui parle-t-on ? Des mêmes. Nous sommes d'accord ? Mais si je l'écris de cette manière, qu'est-ce qui choque : "Il s'agissait des mêmes, qui se retrouvaient du bon ou du mauvais côté[...]" ?
Pourquoi le verbe "s'agir" ne s'accorde pas en nombre avec les mêmes, quand le verbe être, lui, s'accorde ?
Idem dans cette autre phrase trouvée dans un bouquin : "Les repus, c'était nous, les Européens[...]"
Quelle est la règle, et y a-t-il une règle ?...
[supprimé] Quelle est la règle, et y a-t-il une règle ?...
La règle c'est Darwin.
“Au lieu de faire que ce qui fut juste fut fort, on a fait que ce qui fut fort fut juste.” (Blaise Pascal).
Intéressant.
Voltaire, au secours !
https://www.question-orthographe.fr/question/cetait-ou-cetaient/
Bonjour,
c’est ou c’était est un présentatif. C’est une tournure impersonnelle dans laquelle c’ (ce) est le sujet apparent; le mot ou les mots qui le suivent constituent le sujet réel.
Il arrive que l’on accorde le verbe être avec le sujet apparent dans le cas où le présentatif est directement suivi d’un pronom personnel.
C’est toi le meilleur.
C’est nous les heureux gagnants du loto.
C’est vous qui êtes les perdants.
Cependant on emploiera ce présentatif au PLURIEL lorsque le sujet réel est au pluriel.
J’estime que ce sont des faits qu’il faut révéler au public.
Il faut dire que c’étaient des choses qu’il ne fallait pas cacher.
Toutefois on peut avoir le choix avec les pronoms eux et ceux
C’est ou (ce sont) eux qui ont qui ont brisé la vitrine du supermarché.
C’est ou (ce sont) ceux qui sont en passe de remporter le championnat.
On a aussi le choix lors d’une énumération:
Mes couleurs préférées c’est (ou ce sont): bleu, vert, beige
C'étaient les mêmes
"Ce" n'a pas de fonction grammaticale. Il s'agit de la forme clitique de "ce". Le sujet est bien "les mêmes", d'où l'accord du verbe. Ce s'utilise par redondance avec le sujet.
Il s'agissait des mêmes
Vous avez affaire à un verbe pronominal défectif: il s'agit d'une tournure impersonnelle (sujet désincarné). Les mêmes sont le complément de ce verbe transitif, pas le sujet.
knulp Intéressant.
N'est-ce pas. J'ai regardé quand même un peu ce qu'il se disait, et j'avoue que cette histoire de sujet "présentatif" m'a un peu laissé dubitatif. Non que je remette en cause quoi que ce soit, mais cela me paraît compliqué, plus simplement dit.
Et Voltaire ne s'embarrassait pas avec ce genre de "nuance".
« D’ailleurs, ce n’est pas eux qu’il faut punir, ce sont ces barbares sédentaires qui du fond de leur cabinet ordonnent, dans le temps de leur digestion, le massacre d’un million d’hommes, et qui ensuite en font remercier Dieu solennellement » (Voltaire, Micromégas, chapitre 7), « Le maire était avec quelques gardes nationaux en petit nombre devant la porte de la maison dans laquelle se trouvaient les deux objets de la fureur populaire. C’était un vieux prêtre non assermenté et son père que le peuple accusait d’avoir fait la grimace au curé constitutionnel, lorsqu’il était passé en portant le saint sacrement à la procession » (4, page 149), « C’était eux [les membres du club des Jacobins] qui sous le nom de l’Assemblée allaient repousser les attaques du Roi, et diriger la résistance de la nation » (4, page 168).
Lire la suite sur : https://www.etudes-litteraires.com/grammaire/ce-sont.php
Ce qui m'étonne dans cette tournure : "c'étaient", c'est que le verbe être qui est démonstratif : avec le c', s'accorde comme le verbe se retrouver qui lui est l'action.
Dashwood Vous avez affaire à un verbe pronominal défectif: il s'agit d'une tournure impersonnelle (sujet désincarné). Les mêmes sont le complément de ce verbe transitif, pas le sujet.
Ouh la la... mes années de classe sont tellement loin que ce que tu me dis là est incompréhensible. D'autant que je ne me rappelle plus qu'à l'époque on parlait de "verbe pronominal défectif"...
Compris le premier paragraphe, même si ça m'espante quand même...
Exemple:
Il se peut, du verbe pronominal se pouvoir. Ne se conjugue qu'à la forme impersonnelle: est par conséquent défectif.
cheshire-cat gth @katou ne peut pas être une nazie.
Il y a une lettre de trop.
S’il s’agit d’une faute d’orthographe où est-elle ?
Dans le Canard enchaîné du 1 juillet, cette phrase dans un article qui traite des ennuis judiciaires de Mélenchon.
"Passé la dinde de Noël [...]"
J'aurais mis un "e" à passé : la dinde de Noël passée...
Pourriez-vous fusionner ce sujet avec celui de GTH sur les "chamailleries grammaticales" ? il fait doublon inutilement, merci.
https://forum-politique.org/d/120309-chamailleries-grammaticales/3
[supprimé] Le but de ce fil est de discuter des fautes d’orthographe et de grammaire réelles ou supposées des uns et des autres, pour éviter le hors sujet sur le fil de la faute. Tout cela doit se faire dans un esprit de courtoisie et de convivialité, il s’agit de dénoncer la faute et non la personne.