tieumz Ah si, c'est autre travers puéril, en miroir du tien, mais qui ne représente absolument pas ni ce que je dis, ni ce que je pense.
Si tu disais que les arabes sont responsables de leur incapacité à vivre en démocratie, nous disons la même chose.
Après, je considère que les arabes sont responsables de leurs actes et de leur mode de vie.
Jusqu'à preuve du contraire, les occidentaux que nous sommes n'ont pas inventé le terrorisme islamique, le jihad et la charia.
nationale-007 Tout le monde joue sa partition, c'est normal.
S'agissant des modèles de sociétés arabes, aucun n'est démocratique, les arabes doivent assumer leur civilisation islamique obscurantiste et grégaire, et éviter la tentation d'accuser les tiers d'être responsables de leurs propres échecs.
Peu m'importe ce qu'ils en pensent, ou ce que tu penses des civilisations orientales, ça n'est pas le sujet. Le sujet en géopolitique quand on essaye d'analyser le présent et d'anticiper le futur d'un pays, c'est de voir les forces en présences, qui y fait quoi, pour quels intérêts de court et long terme.
Les forces en présence, on les connait.
Y'a les jihadistes essentiellement sunnites aujourd'hui au pouvoir à Damas, les druzes protégés par Israël, les kurdes qui revendiquent un état, les alaouites, des réfugiés palestiniens et des chrétiens.
Toutes ces communautés n'ont jamais réussi à faire nation, la Syrie n'est pas un état viable, elle a vocation à être partitionnée.
Perso, les caricatures, les outrances et la propagande, ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus, toujours drôle de vous voir arriver avec vos gros sabots, mais c'est marrant 5 minutes, après ça me redonne envie de faire une pause de forum pour 6 mois.
J'ai choisi mon camp comme tout le monde.
Par exemple, quelqu'un qui commence à expliquer les restes de l'hégémonie ottomane dans la région pour expliquer les éventuelles directions que pourraient prendre tel ou tel pays politiquement ou militairement, ça me parait déjà plus intéressant, encore une fois, ce n'est qu'un exemple, je pourrais en trouver bien d'autres.
Le passé ottoman de la Syrie ne détermine pas autant son avenir que le conflit géostratégique actuel entre Israël et l'Iran.
La Syrie est tiraillée entre les intérêts contradictoires de ses différentes composantes et les identités des communautés qui la composent.
La Syrie n'est pas un état viable, le multiculturalisme est conflictogène, la Syrie risque de connaitre le même sort que l'ex-Yougoslavie.