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Procès Trump: tout du bidon.
aRTICLE DE M. Goldanel, extraits:
le procureur Alvin Bragg. Celui-ci a eu l'idée discutable - et discutée - de poursuivre l'ancien, et peut-être futur, président américain pour avoir versé la somme équivalant à 119.000 euros à une ancienne actrice de cinéma pornographique avec laquelle il aurait entretenu un commerce en principe moralement interdit à un homme marié. Un esprit chagrin aurait pu reprocher à la dame un médiocre chantage, mais force est de constater que les médias américains n'ont pas l'esprit chagrin et que la femme passerait pour un peu pour victime. Et la somme pour acheter le silence ayant peut-être été réglée par une société du groupe Trump - selon la déclaration de Michael Cohen, ancien avocat de Donald Trump, l'ayant dénoncé pour sauver sa peau (ce qui pourrait également chagriner) - le procureur y voit un abus de bien social.
Les poursuites envers la victime d'un chantage, dénoncé par son avocat, paraissent donc, dans ces conditions particulières, pour le moins particulièrement disproportionnées, au regard de leur coût et de leur publicité. Mais voilà que l'article du Monde écrit que le procureur Alvin Bragg aurait seulement été payé «indirectement» par le milliardaire internationaliste George Soros. Donald Trump se permettrait pourtant de l'accabler d'injures et de reproches, à caractère nécessairement «antisémite». J'ignore de quelle manière «indirecte» le procureur new-yorkais a été payé. Mais je ne savais pas qu'un magistrat pouvait être payé, même indirectement, par un adversaire acharné de son accusé, sans être convaincu de dépendance dans le meilleur des cas et de corruption dans le pire des cas. En outre, j'avoue être chaque fois assez choqué - pour ne pas dire outré - lorsque je lis que tout grief proféré à l'encontre du milliardaire hongrois précité, quand bien même sa judéité ne serait en rien évoquée, serait constitutif d'antisémitisme. Je ne crois pas que Benyamin Netanyahou - ou l'auteur de ces lignes - bénéficie d'un tel privilège. Et c'est heureux.la procureure Fani Willis, en Géorgie, qui poursuit Donald Trump pour le délit autrement plus sérieux que d'avoir tenté de modifier le résultat des élections. Or, nous avons appris que la procureure démocrate poursuivant le candidat républicain, entretenait des relations avec le procureur Nathan Wade, payé grassement 650.000 dollars pour enquêter à l'encontre de son célèbre accusé. Les deux tourtereaux sont, de surcroît, partis dans les Caraïbes et en Californie pour passer des vacances somptueuses. Un juge d'Atlanta, pour tenter de sauver Fani Willis, a d'ores et déjà débarqué son enquêteur particulier. Le mot de mœurs judiciaires de république bananière pourrait venir à l'esprit le moins outrancier.
la procureure de New York, la mirobolante Letitia James, qui poursuit l'ancien président pour avoir surestimé la valeur de ses actifs, notamment immobiliers. Ce qui est contesté par l'intéressé. Comme le reconnaît sans barguigner le journaliste du Monde, chacun s'accorde à reconnaître que l'exigence démesurée de réclamer à son accusé le paiement d'une caution de 450 millions de dollars lui a fait perdre son crédit. Mais c'est surtout le caractère politicien et idéologique de la poursuivante démocrate afro-américaine, extrêmement à gauche, qui ruine sa crédibilité et autorise le soupçon de partialité. C'est cette procureure qui décrivait l'administration sous Donald Trump comme «trop masculine, trop claire, trop viciée». Une juge de notre syndicat du «Mur des cons» n'aurait certainement pas mieux dit.
Pire encore, en 2018, lors de sa campagne électorale pour le poste, Letita James prononça ces fortes paroles à l'encontre d'un président élu, encore en exercice : «Je n'ai qu'un mot à dire. Donald Trump, nous allons le poursuivre en justice. Nous allons l'emmerder. Il va connaître mon nom personnellement».
Nous en sommes arrivés à un tel point de partialité, que le très à gauche New York Times a été contraint d'écrire avec un euphémisme controuvé : «Son franc-parler à l'égard de Donald Trump montre la tension entre le devoir d'impartialité d'un procureur et les avantages politiques d'attaquer un républicain». Et le Wall Street Journal, plus direct : «Laetitia James sacrifie l'État de droit pour avoir Trump». J'ajoute que les trois procureurs démocrates sont noirs et que Trump n'est pas le dernier à souligner le contexte racialiste de poursuites menées, dans un cadre aussi partial idéologiquement que suspect financièrement.
Bon Trump est tellement outrancier qu'on a vite fait de le traiter de complotiste. Mais là il semblerait bien qu'il subisse effectivement un complot judiciaire.
Si meme ces zélés collaborateurs du totalitarisme que sont le New York Time, le Wall Street Journal et Le Monde s'en inquiètent c'est qu'ils ont dépasser les bornes et que ça commence à se voir.
Du moins aux US, en France félicitations au Monde, pour une fois, mais on est loin d'avoir brisé l'omerta, c'est à dire parlé de ça sur une grande antenne mainstream française.