grishka Quand on prend le temps d'y réfléchir, les gens qui vont voter Trump sont des abrutis d'un acabit incomparable, quel que soit le bout par lequel on prend cette histoire.

Ce qui me semble incroyable c'est qu'une majorité de vétérans américains puisse voter pour un individu comme Trump qui a osé dire que les soldats américains morts à Bois Belleau au cours de la Première Guerre mondiale, était des perdants et des idiots. Trump avait annulé sa visite du cimetière américain du Bois Belleau le 11 novembre 2018 où reposent 1800 soldats américains. Selon les révélations de John Kelly l'ancien chef de cabinet de Trump, celui-ci aurait déclaré vouloir annuler sa visite au cimetière américain, estimant que ces soldats morts au champ d'honneur ne méritaient pas son hommage. Le magazine américain The Atlantic avait révélé ces faits, et que Trump aurait traité les Marines tués au Bois Belleau d'idiots. De plus, il ne voulait pas être vu en présence de militaires amputés, car cela ne serait pas bon pour son image. C'est ce qu'à décrit John Kelly. Comment les vétérans américains peuvent-ils donc voter pour Trump ? C'est inconcevable !

Neodadais Biden, Trump, osef.

Pas vraiment, non. Un Biden élu, c'est le prolongement de la guerre en Ukraine et une Europe en coupe réglée. Trump, lui, se contentera de complaire à son électorat de beaufs (pas loin d'un Américain sur deux, donc) et nous ressortira l'"USA first !" qui leur plait tant.

De toute façon, quel que soit celui qui sera élu, cette année, dans 4 ou 12 ans, un prédisent US a toujours sur le monde une influence fondée sur les intérêts US. Trump repartira en guerre contre la Chine, étendra sa protection à Israêl, se repliera sur les USA avec encore toute sorte de réformes, etc...

grishka Ils veulent voter pour un Mussolini en herbe qui a tenté de renverser la République, un traître à la Constitution.

Ils veulent voter pour un homme qui a violé la Constitution qu'il avait juré de protéger et de défendre. Un homme qui a encouragé les émeutes du 6 janvier 2021 qui ont fait cinq morts. Il a gravement perturbé le travail des membres du Congrès dans l'exercice de leurs devoirs constitutionnels et compromis leur sécurité. Cela s'oppose à tout ce que ce pays représente.

Trump est une honte nationale et un danger pour l'ordre constitutionnel. Cette tentative de perturbation et de destruction du processus démocratique devrait l'envoyer en prison. Mais au lieu d'être révulsé par ses actes criminels, des millions d'américains veulent encore voter pour lui. Aussi incroyable que cela puisse paraître, Trump a l'appui d'une armée de sympathisants plus abrutis les uns que les autres qui en font un martyr.

chevalier-du-temple

C'est toujours aussi pauvre en argument.
Et qu'est ce que ça peut te faire qu'une majorité d'américains préfèrent Trump ?
Et même veuillent changer leur constitution ?

Le choix sera entre Biden et Trump. Même si tu n'aime pas Trump.
Et les électeurs de Trump ne sont pas plus abrutis que ceux de Biden. Pas moins non plus.

Le choix se fera entre un grabataire progressiste et un malotru capitaliste. Ils aiment ça et le monde entier supporte.

[supprimé] Trump, lui, se contentera de complaire à son électorat de beaufs (pas loin d'un Américain sur deux, donc) et nous ressortira l'"USA first !" qui leur plait tant.

La réélection de Trump, c'est la chute de la république américaine.

James Et les électeurs de Trump ne sont pas plus abrutis que ceux de Biden. Pas moins non plus.

La démonstration est là: https://forum-politique.org/d/144781-la-story-trump/3201

Et c'est le truc le plus absolument évident.
Le passif de Trump est tellement énorme qu'il faut vraiment être un demeuré complet pour le supporter, la mise est doublée quand on le supporte en se prétendant patriote, et elle est encore triplée quand on le fait en se prétendant un véritable américain défenseur de la Constitution US comme nombre de ses supporters le font.

James Il ne faudrait peut-être pas oublier que Trump a été inculpé de quatre accusations criminelles en relations avec les émeutes du Capitole du 6 janvier 2021.

• Complot visant à frauder les Etats-Unis en proférant de fausses allégations selon laquelle l'élection présidentielle aurait été volée et en tentant d'ecarter des votes valides et légitimes pour Biden dans le but d'annuler les résultats de l'élection présidentielle.

• Complot visant à entraver une procédure officielle, en tentant de s'organiser pour empêcher la certification des votes du collège électoral.

• Obstruction/tentative d'obstruction à une procédure officielle, en tentant de bloquer la certification par le Congrès des élections de 2020.

• Complot contre les droits pour avoir prétendument opprimé le droit de vote des citoyens par l'intimidation et les menaces.

C'est "ÇA" qu'on soutient James ?

Le problème c'est le choix imposé : Trump ou Biden
Les débats Statler et Waldorf sont plus intéressants, ne manque que l'odeur de protections de fuites urinaires.

En France deux (ou trois multi-étiquettes pour les lèche-babouches) choix existent, c'est un peu mieux

• il y a pléthore de candidats islamocollabos, tous les mêmes et deux choix, RN pour la gauche et Reconquête pour la droite.

Mais le mieux c'est la Russie avec quatre candidats
Poutine, Leonid Sloutski, Nikolaï Kharitonov et Vladislav Davankov qui devraient faire mieux que Navalny dont les médias ont bien plus parlé qu'ils ne parlent d'Asselineau ou NDA donné à 2% aussi.

Procès Trump: tout du bidon.
aRTICLE DE M. Goldanel, extraits:

• le procureur Alvin Bragg. Celui-ci a eu l'idée discutable - et discutée - de poursuivre l'ancien, et peut-être futur, président américain pour avoir versé la somme équivalant à 119.000 euros à une ancienne actrice de cinéma pornographique avec laquelle il aurait entretenu un commerce en principe moralement interdit à un homme marié. Un esprit chagrin aurait pu reprocher à la dame un médiocre chantage, mais force est de constater que les médias américains n'ont pas l'esprit chagrin et que la femme passerait pour un peu pour victime. Et la somme pour acheter le silence ayant peut-être été réglée par une société du groupe Trump - selon la déclaration de Michael Cohen, ancien avocat de Donald Trump, l'ayant dénoncé pour sauver sa peau (ce qui pourrait également chagriner) - le procureur y voit un abus de bien social.
  Les poursuites envers la victime d'un chantage, dénoncé par son avocat, paraissent donc, dans ces conditions particulières, pour le moins particulièrement disproportionnées, au regard de leur coût et de leur publicité. Mais voilà que l'article du Monde écrit que le procureur Alvin Bragg aurait seulement été payé «indirectement» par le milliardaire internationaliste George Soros. Donald Trump se permettrait pourtant de l'accabler d'injures et de reproches, à caractère nécessairement «antisémite». J'ignore de quelle manière «indirecte» le procureur new-yorkais a été payé. Mais je ne savais pas qu'un magistrat pouvait être payé, même indirectement, par un adversaire acharné de son accusé, sans être convaincu de dépendance dans le meilleur des cas et de corruption dans le pire des cas. En outre, j'avoue être chaque fois assez choqué - pour ne pas dire outré - lorsque je lis que tout grief proféré à l'encontre du milliardaire hongrois précité, quand bien même sa judéité ne serait en rien évoquée, serait constitutif d'antisémitisme. Je ne crois pas que Benyamin Netanyahou - ou l'auteur de ces lignes - bénéficie d'un tel privilège. Et c'est heureux.

• la procureure Fani Willis, en Géorgie, qui poursuit Donald Trump pour le délit autrement plus sérieux que d'avoir tenté de modifier le résultat des élections. Or, nous avons appris que la procureure démocrate poursuivant le candidat républicain, entretenait des relations avec le procureur Nathan Wade, payé grassement 650.000 dollars pour enquêter à l'encontre de son célèbre accusé. Les deux tourtereaux sont, de surcroît, partis dans les Caraïbes et en Californie pour passer des vacances somptueuses. Un juge d'Atlanta, pour tenter de sauver Fani Willis, a d'ores et déjà débarqué son enquêteur particulier. Le mot de mœurs judiciaires de république bananière pourrait venir à l'esprit le moins outrancier.

• la procureure de New York, la mirobolante Letitia James, qui poursuit l'ancien président pour avoir surestimé la valeur de ses actifs, notamment immobiliers. Ce qui est contesté par l'intéressé. Comme le reconnaît sans barguigner le journaliste du Monde, chacun s'accorde à reconnaître que l'exigence démesurée de réclamer à son accusé le paiement d'une caution de 450 millions de dollars lui a fait perdre son crédit. Mais c'est surtout le caractère politicien et idéologique de la poursuivante démocrate afro-américaine, extrêmement à gauche, qui ruine sa crédibilité et autorise le soupçon de partialité. C'est cette procureure qui décrivait l'administration sous Donald Trump comme «trop masculine, trop claire, trop viciée». Une juge de notre syndicat du «Mur des cons» n'aurait certainement pas mieux dit.
  Pire encore, en 2018, lors de sa campagne électorale pour le poste, Letita James prononça ces fortes paroles à l'encontre d'un président élu, encore en exercice : «Je n'ai qu'un mot à dire. Donald Trump, nous allons le poursuivre en justice. Nous allons l'emmerder. Il va connaître mon nom personnellement».
  Nous en sommes arrivés à un tel point de partialité, que le très à gauche New York Times a été contraint d'écrire avec un euphémisme controuvé : «Son franc-parler à l'égard de Donald Trump montre la tension entre le devoir d'impartialité d'un procureur et les avantages politiques d'attaquer un républicain». Et le Wall Street Journal, plus direct : «Laetitia James sacrifie l'État de droit pour avoir Trump». J'ajoute que les trois procureurs démocrates sont noirs et que Trump n'est pas le dernier à souligner le contexte racialiste de poursuites menées, dans un cadre aussi partial idéologiquement que suspect financièrement.

La totale: https://www.lefigaro.fr/vox/monde/goldnadel-on-peut-detester-donald-trump-mais-on-doit-detester-plus-encore-l-injustice-qui-nous-menace-tous-20240318

Bon Trump est tellement outrancier qu'on a vite fait de le traiter de complotiste. Mais là il semblerait bien qu'il subisse effectivement un complot judiciaire.
Si meme ces zélés collaborateurs du totalitarisme que sont le New York Time, le Wall Street Journal et Le Monde s'en inquiètent c'est qu'ils ont dépasser les bornes et que ça commence à se voir.
Du moins aux US, en France félicitations au Monde, pour une fois, mais on est loin d'avoir brisé l'omerta, c'est à dire parlé de ça sur une grande antenne mainstream française.

Aujourd'hui au tribunal, il a été rapporté que Donald Trump s'était endormi et avait émis de manière audible un son fort en provenance de son postérieur. (Il ne s'agit pas d'une plaisanterie)

Ben Meiselas, le co-fondateur de Meidas Touch et propriétaire du Los-Angeles Magazine, a rapporté vendredi que Donald Trump pète dans la salle d'audience et que ça pue vraiment autour de lui. Les avocats de Trump seraient rebutés par l'odeur, a-t-il déclaré, soulignant que ces observations proviennent de sources crédibles dans la salle d'audience.

Donald Trump est maintenant assis à la table des accusés au tribunal pénal de Manhattan, à New York où il devra apparaître tous les jours jusqu'à la fin de son procès qui pourrait durer six à huit semaines.

Donald Trump a été accusé de 34 chefs d'accusation de falsification de dossiers commerciaux l'année dernière, ce qui, selon les procureurs, était une tentative de cacher un potentiel scandale sexuel, avant et après l'élection présidentielle de 2016.