Samantha2 Quelques réflexions conclusives au sujet du politicien Retailleau et de son farfelu projet de "référendum".
Car tout ce qui ne se fera jamais, ou qui sera vidé d’avance de toute capacité exécutoire, est d’avance farfelu. Ou s'il y aurait réellement des mesures exécutoires, ce serait de toute manière jouer dangereusement avec le feu d'une population exogène de plus en plus installée dans le pays et hautement inflammable. Par ailleurs, un référendum aux mesures inapplicables d’avance, c’est se moquer finalement des Français. Car ce sont ceux-là mêmes qui ont systématiquement organisé et fait le "plein" de l'invasion migratoire depuis 40 ans, jusqu'à ras bord, qui prétendent aujourd'hui faire référendum sur un sujet aussi explosif ? Désolée, ce n'est pas crédible. Déjà sur le principe : un référendum, cela se fait avant la chose. Jamais après, et devant le fait accompli devenu irréversible. Cette prétention est déjà, en soi, une cynique insulte faite aux Français. Mais seuls les gens lucides le comprendront.

Si le Système se met soudain à parler clairement de ce problème qui plombe depuis des lustres la vie du pays et hypothèque son avenir __, qu’il a lui-même méthodiquement généré puis amplifié en 40 ans (sur la directive de hautes sphères mondialistes jamais dites), cela veut dire que le Système et ses sponsors sont désormais sûrs que le raz de marée invasif est dorénavant irréversible. Bref, qu'ils ont gagné. Le remplacement de la population française historique __ la même sous les monarchies, la même sous la Révolution française, la même sous la République jusqu'aux années 1970 __ est désormais un remplacement acté, et à un stade si irréversible que les Français, autochtones et multiséculaires, ne peuvent plus rien contre.

Donc, entre ce que pense ce Retailleau (servant le Système depuis 30 ans), ce qu'il dit, ce qu'il prétend faire, et ce qu’il ferait finalement, sous la contrainte des événements ou non, il y a tout un monde. Déjà, de toute manière, le très gros problème en France, au-delà des personnes, consiste dans la masse de lois pernicieuses justement mises en place pour empêcher tout renversement réel de la table : ensemble de lois et directives, françaises et européennes, entraves d'associations droits-de-l'hommistes, etc. Voilà pourquoi je subodore qu'il ne se passera rien, et que la gesticulation de ce "référendum"sera vite enterrée et oubliée pour inopportunité politique et incapacité d'application pratique sans provoquer un déchaînement insurrectionnel dans le pays.

Enfin noter le style "fragile" et faible du personnage. Très importants, le style et la langue... Quand un ministre de l'Intérieur ne peut énoncer une phrase simple sans circonlocutions à coups de : "Écoutez, je vais vous dire très franchement...", "Enfin comment voulez-vous que je fasse..." Cela mérite réflexion, ne pensez-vous pas..."__, dites-vous bien que c'est du pipeau qui s'annonce. Et quand il répète trois fois en cinq minutes, d'une voix molle et lénifiante, la nécessité d'une "entente" préalable avec le ministre de la Justice, attendez-vous à une kyrielle d'embobinages et de promenades en bateau.

Tout ce que dit ce B. Retailleau, si c'était sorti de la bouche d'une Marine Le Pen ou d'un J. Bardella, le chorus du Système et des médias aux ordres en auraient déjà appelé au moins au Conseil de Sécurité.... Mais que cela vienne d'un ministre lambda du Système, ça passe comme une lettre à la poste. Libre aux bulots de croire encore aux boniments des serviteurs multi-décennaux du Système. Pour ma part, j'y suis immunisée à vie.

Si on vous comprend bien, on ne peut rien faire...

Avec des arguments comme ça, c'est sûr : on ne fera rien.

Les propos de Retailleau suscitent quand même la controverse : il est donc faux de dire que "ça passe comme une lettre à la poste".

Vous avez raison de souligner que le gros problème consiste dans la masse de lois, directives, conventions, mises en place pour empêcher tout renversement réel de la table. Mais il faut bien commencer par quelque chose pour renverser tout ça ! Et le meilleur moyen reste le référendum.