Jean-Pierre Récemment, j'ai vu plusieurs artistes reconnaitre qu'ils aimaient bien Macron, ils ont pris très cher (Berléand, Alain Souchon, entre autre.)
J’ai vu qu’à l’époque de Sarkozy, quelques professionnels du divertissement qui se sont acoquinés face caméra au pouvoir en place dans l’enthousiasme exubérant du triomphalisme de droite, ont eu leur carrière plombée sitôt après...
Concernant Berléand.
Il a vécu deux périodes critiques pour lui, qui ont dû impacter sa carrière.
La première, celle des Gilets jaunes...Il se faisait inviter sur une chaîne de télé qui discréditait ce mouvement à l’envi et à longueur de week-end, et où il était encouragé à dégueuler avec rage sur des manifestants dont l’unique toquade, à ses yeux, se résumait à empêcher les Parisiens de venir le voir en matinée donner libre cours à son spectacle, chaque samedi .
Un type plein de haine non dissimulée, en l'occurence, pour un comédien aux allures de vieux jeune sympathique traversant la fiction en toute insouciance ?...Un rôle de composition ?
Les gens qui suintent leur fiel, sont laids...et c’est le visage qu’il a montré. Ça a certainement plu aux bobos parisiens,
mais sûrement pas à ceux qui comprenaient, voire adhéraient aux revendications et au bugne à bugne voulu entre entre les manifestants et Macron, via son ministre de l’intérieur en fonction . J’ai nommé Castaner, gentil petit socialiste défroqué jurant de purger la peste brune envahissant les rues de « la plus belle ville du monde »
Un autre mondain et rigoriste de salon qui est tombé également dans les oubliettes de la politique spectacle...
Et la seconde époque où il fut contraint de rester cloitré chez lui, c’est l’entrée en vigueur des restrictions et le confinement...
Dans le milieu du showbiz, certains promoteurs, et autres metteurs en scène ont peut-être estimé qu’il ne faisait plus partie de la grande famille de gauche parce qu’il l’aurait reniée, va savoir, et que finalement, au sortir de la crise du Covid, il n’était plus en âge de jouer aux enfants de la balle...
Quant à Alain Souchon...Son coeur a battu pour Macron qu’il a trouvé brillant...
Cela dit, il y a très longtemps qu’il a plié les gaules. Et sa retraite, donc, il ne la doit qu’à lui. Du moins, je le crois.
Son réel talent d’auteur compositeur est reconnu unanimement.
Il a chanté « La Ptite Bill »...Rien à voir avec le liquide, visqueux et jaune-verdâtre secrété par sa vésicule...
Seule, une propagande parigo-parisienne émanant de la mairie l’avait accusé d’accointance avec l’extrême-droite.
Soeur Anne n’a pas vu venir que le chanteur a quitté la capitale parce que la ville était devenue trop cradingue.
Vexée, la dame ?...
Et Macron, s’agissant de sa longévité en tant que grand élu de la république ?...Il servira peut-être au sein d’autres hautes instances au service du citoyen contribuable.... Dans le secteur de la banque, par exemple, parce qu’il paraît que ce guichetier de la république est le Mozart de la finance.