Jiimmy

Pour moi aimer sa patrie c'est comme aimer sa mère .
Idem la défendre c'est défendre sa mère .

Mais vous avez raison peut être que certaines mères ne font pas le job et ne méritent pas d'être défendues .....

    [supprimé]
    Le Siècle des lumières qui a engendré la révolution avec les révolutionnaires la bouche pleine de liberté égalité et surtout fraternité, mais avec du sang plein les mains .....

    chevalier-du-temple
    Il appartient aux français de protéger et transmettre à leurs enfants, le pays magnifiques et glorieux qu'ils ont reçu en héritage

      • [supprimé]

      lugrin la Nature est magnifique, l'urbanisation, beaucoup moins.. Vous devriez détailler les heures de gloire.. Et quand on voit une partie de la génération d'aujourd'hui, ainsi que la pollution généralisée qu'installe la société moderne, vous devriez arrêter de faire des enfants

        En fait, c'est vrai que je suis lent à la détente, mais je viens de comprendre un truc.
        Ce forum est un bon réseau techniquement, mais au fond c'est un réseau mondialiste et européiste avec des "citoyens du monde" qui s'occupent du monde entier bien assis tranquille derrière l'ordi...
        Cela revient souvent à se prendre pour Dieu ou pour une intelligence omnisciente supra-nationale sur son perchoir...
        c'est fou comme la technologie peut modifier les gens, leurs perceptions, leurs prétentions, leurs illusions, leurs crédulités, etc...
        Alors qu'en fait ce ne sont que des apparences, des postures, et pas grand chose d'autre.
        J'aimerais bien reconstituer un bloc identitaire par chez moi, mais tout le monde s'en fout et tout le monde a peur d'aller en prison après dissolution du groupe, parce que c'est pas bien d'être français responsable.
        De nos jours, il faut être un bon ptit exécutant mondialiste, payer ses impôts et surtout fermer sa gueule puis baisser la tête avec résignation.

        • [supprimé]

        lugrin vous auriez fait référence aux inventeurs, écrivains ou artistes, mais l 'Histoire, un pays au régime politique les plus sanglants, vous évoquez Napoléon, la colonisation, la drôle de guerre. Soit il y a eu quelques parenthèses enchantées, Mai 68, mais le reste n' a rien de très glorieux

          [supprimé]
          L'histoire de France , c'est aussi l'histoire des grands personnages qui ont participé à la grandeur de la France, quel que soit leur domaine.
          L'Histoire de France ne se limite pas au colonialisme, à la pratique de l'esclavage, à la collaboration, dont se gargarisent certaines personnes de gauche dont le plaisir semble être de salir leur pays.

          A propos de l'abolition de l'esclavage, le premier dirigeant à l'avoir aboli , est le roi de France Louis X le Hutin, fils ainé de Philippe-le-Bel, qui en 1315 à fait une loi exprimant que sol de France affranchit tout esclave qui le touche.

            lugrin Le premier et ça a suffi.
            La loi en question est toujours actuelle.

            Jiimmy En quoi peut-on être fier de quelque chose que l'on a pas choisi (être né en France en l'occurrence) ?

            Je suis fier de ce que je produis,

            Matérialiste vous êtes.
            Adepte de l'existentialisme nihiliste sartrien : "Sois celui que tu deviens". Pire : "Sois CE que tu deviens".
            Autrement dit, "si tu deviens un détritus, sois un détritus et reste-le".
            C'est le propre de l'esclavage du "Ça". Tout s'y réduit à une basse question d'avoir et de production.

            Au lieu d'être __ même au prix de la vie __ adepte du seul digne : "Deviens celui que tu ES".
            Autrement dit, "Monte dans l'Effort et révèle ton être et ta valeur."
            C'est le propre du "Moi", lequel exige un "Surmoi" sans lequel il n'y a ni société, ni histoire, ni civilisation.
            Tout ne se valorise que par une question d'être : JE SUIS.

            Car, "Être ou ne pas être, là est toute la question."

            L'être et la transcendance de l'être priment tout.
            Sans la primauté de l'être et de l'esprit, il n'y a ni avoir ni production.

              Bigre
              Ma France, hein, qu'est tu devenue, c'est bien la question à laquelle j'aimerais trouver une réponse satisfaisante !
              Le surmoi, l'instance qui censure, ben je laisse Freud et son ersatz Lacan, dans leurs scissions respectives et respectables !
              Respectueusement (toujours, et sans moi, et sans mon surmoi, mais avec toute l'estime que je me porte))
              hub'

                Samantha2 Adepte de l'existentialisme nihiliste sartrien : "Sois celui que tu deviens". Pire : "Sois CE que tu deviens".
                Autrement dit, "si tu deviens un détritus, sois un détritus et reste-le".
                C'est le propre de l'esclavage du "Ça". Tout se réduit à une question d'avoir et de production.

                Au lieu d'être __ même au prix de la vie __ adepte du seul digne : "Deviens celui que tu ES".
                Autrement dit, "Monte dans l'Effort et révèle ton être et ta valeur."
                C'est le propre du "Moi", lequel exige un "Surmoi" sans lequel il n'y a ni société, ni histoire, ni civilisation.
                Tout se valorise par une question d'être : JE SUIS.

                "Sois celui que tu deviens". Autrement dit, "Monte dans l'Effort et révèle ta valeur car tu incarneras celui que tu deviendras". En conséquence, tous les horizons sont ouverts, il faut s'efforcer à devenir un être meilleur puisque l'on est pas celui que l'on est présentement mais l'on est, au fond, celui qui sera à la fin du chemin que l'on décidera d'emprunter.

                "Deviens celui que tu ES". Autrement dit, "si tu es au fond un détritus, deviens un détritus et reste-le".

                J'aime bien la gym moi aussi.

                  hubert Bigre
                  Ma France, hein, qu'est tu devenue, c'est bien la question à laquelle j'aimerais trouver une réponse satisfaisante !
                  Le surmoi, l'instance qui censure, ben je laisse Freud et son ersatz Lacan, dans leurs scissions respectives et respectables !
                  Respectueusement (toujours, et sans moi, et sans mon surmoi, mais avec toute l'estime que je me porte))
                  hub'

                  Hubert de grâce, ne rajoutez pas une couche, je ne suis pas d'humeur. Déjà que Jimmy ce matin, me forçant à la mise au point, m'a gâché une splendide matinée cordouane.

                  "Le surmoi, l'instance qui censure"
                  Vous faites bien de le dire. Car sachez bien que c'est le "surmoi" et ses (bons) interdits salutaires qui sont le fondement même de tout contrat social. Et partant, de l'émergence de la société. Une société, par principe, se doit d'être conservatrice des valeurs qui la fondent, dont témoignent une culture et une civilisation vivantes et durables.

                  C'est seulement quand la chienlit, c'est-à-dire le désordre __ toujours gauchiste, par définition (notez-le bien...) __ accapare le pouvoir en vue de transgresser les normes salutaires et fondatrices, que la culture et la civilisation plongent bientôt dans le haïssable irrationnel.

                  D. lui-même a fixé à l'homme 10 interdits, qui sont, paradoxalement, salvateurs et conservateurs de la société.
                  Les transgresser instaure le diktat du néant. C'est donc la Raison même qui veut que l'homme, selon cette image, fixe à son tour des bornes salutaires et pérennes au sein de l'ordre social, s'il veut continuer à être dans une société vivable et viable.

                    Jiimmy "Sois celui que tu deviens". Autrement dit, "Monte dans l'Effort et révèle ta valeur car tu incarneras celui que tu deviendras".

                    Veuillez ne pas biaiser avec les mots.
                    "Sois celui que tu deviens", n'a rien à voir avec la suite que vous y collez ici ("Monte dans l'effort..." etc.)
                    Cette suite relève exclusivement du "Deviens celui que tu es".

                    Mais ce qui relève du "Sois celui que tu deviens", c'est ce que j'ai dit plus haut, à savoir :
                    "Si tu deviens un détritus, sois un détritus et reste-le". C'est l'existentialisme des matérialistes.

                      Samantha2
                      Fichtre
                      OK, je m'en tiens là, gâcher la fête (de cordoue ou d'ailleurs) ne constitue pas ma vocation, encore moins un exutoire, que nenni !
                      Et puis ne changeons rien, d'ailleurs Franfran s'est pris les pieds dans le tapis, et il pleuvait en sus, et il fut rincé, le pauvre, et de surcroit par celui qu'il fit roy, et un enfant-roi au c.. bordé de nouilles !
                      Le changement n'était donc point pour maintenant, et pourtant, il le fut, exit le benêt !
                      Il n'en perdit pas la Raison, certes, mais fut planté et supplanté par le petit ingrat !
                      Superbement
                      hub'

                      Samantha2 Veuillez ne pas biaiser avec les mots.
                      "Sois celui que tu deviens", n'a rien à voir avec la suite que vous y collez ici ("Monte dans l'effort..." etc.)
                      Cette suite relève exclusivement du "Deviens celui que tu es".

                      Mais ce qui relève du "Sois celui que tu deviens", c'est ce que j'ai dit plus haut, à savoir :
                      "Si tu deviens un détritus, sois un détritus et reste-le". C'est l'existentialisme des matérialistes.

                      Veuillez ne pas biaiser les mots que j'utilise.
                      "Deviens celui que tu ES", n'a rien à voir avec la suite que vous y collez ici. Cette suite relève exclusivement du "Sois celui que tu deviens".

                      Mais ce qui relève du "Deviens celui que tu ES", c'est ce que j'ai dit + haut, à savoir :
                      "Si tu es, au fond, un détritus, alors deviens un détritus et reste-le". C'est la philosophie Jimmyesque qui n'est pas moins légitime que celle à laquelle vous adhérez. Ce n'est pas parce que quelqu'un a formulé différemment le concept que son avis a + de poids au motif qu'il s'appellerait untel ou untel (ou alors on est dans le registre du sophisme).