Jean-Pierre Nan mais l'Ukraine, dans 4 mois, elle ne parlera que la langue de l'autre du Kremlin.
C'est fini, l'Europe, pour eux.
Terminé. Ouste. Au suivant.
Allons, Jean-Pierre ! trêve de réaction au ras des pâquerettes, voulez-vous.
Jean-Pierre Trump a toujours fait pipi dans son pantalon, face à Poutine
Un, vous dites trop de mal injuste du président américain.
Deux, il est vrai et évident que la Russie a des conditions strictement non négociables, qu'elle ne discutera jamais.
Ensuite, n'oubliez pas que la première conséquence de la guerre est le droit sacré à la conquête territoriale.
Lisez Clausewitz et Montesquieu. La guerre est la suite logique de la politique quand on a muselé la diplomatie.
Il ne fallait donc pas provoquer la Russie à intervenir en 2022 par huit ans consécutifs de refus de négociation avec elle (2014-2021), pire : par des tromperies de négociation ("Minsk"), enfin par une sourde oreille sans retour aux dernières demandes officielles de garanties juridiques internationales de la Russie en décembre 2021.
Cesser donc de s'étonner de mauvaise foi de l'Opération spéciale en Février 2022. En matière d'État, quand on provoque on reçoit une réaction. Quand on donne une claque sournoise, on reçoit une gifle. C'est tout.
Le suprême argument de la souveraineté quand on bouche la voie diplomatique, c'est le canon.
Il ne faut pas s'en étonner.
De toute façon c'est trop tard aujourd'hui. Le président russe avait prévenu l'Otan dès 2022 : "Plus vous alimenterez la guerre, plus nous serons durs quand vous aurez à traiter avec nous ".
Vu donc un certain nombre de conditions non négociables de la Russie (droit de guerre), souhaitons au courageux président Trump de s'entendre au mieux possible avec le président russe, lequel, à titre personnel (non à titre étatique), a de l'admiration pour lui.