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filochard Verifiez vos chiffres : il y a une baisse sur 2023 en France.

Il vous a donné les chiffres mondiaux.

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LES VOITURES ÉLECTRIQUES NEUVES LES PLUS VENDUES EN FRANCE EN 2023

Quels modèles neufs de voiture électrique se vendent le plus en France ? Retrouvez en images et chiffres le top 10 des véhicules particuliers 100% électriques écoulés sur le marché en 2023.

En août 2023, 30 482 véhicules électriques et hybrides rechargeables ont été mis à la route, soit 22,5 % de parts de marché, portant à près de 15,2 % la part des modèles électrifiés rechargeables depuis le début de l’année.

Sur les huit premiers mois de l’année, 293 433 véhicules électriques et hybrides rechargeables ont été mis en circulation, soit une progression de 44,1 % sur l’année passée.

Je comprends difficilement votre déclaration laconique.

    filochard
    Ce sont les chiffres mondiaux, pas français. Je confirme toutefois la baisse des parts de marché en France ces derniers mois.

    liberté
    Je ne demande leur avis aux écolos sur aucun sujet - sauf pour faire l'inverse.

      france2100 Je ne demande leur avis aux écolos sur aucun sujet - sauf pour faire l'inverse.

      Je suis de ton avis.

      • [supprimé]

      france2100 Je confirme toutefois la baisse des parts de marché en France ces derniers mois.

      liberté

      Ventes occasion 2023. Le top 20 des voitures électriques

      Le contraste est frappant. Alors que les ventes de voitures électriques ont augmenté de 47,77 % en neuf en France au premier semestre 2023, elles ont chuté de 14,83 % en occasion, d’après les données de NGC-Data®

      @filochard et @france2100 j'ai de plus en plus de mal à vous suivre.

        france2100 Personne ne parle aux écolos, se sont des moulins à parole qui n'en laissent pas placer une.

          candidus

          Ils (les écolos) ne savent pas de quoi ils parlent, mais ils en parlent.

          [supprimé] Dès lors qu'une mesure d'incitation est conditionnée au revenu, ce n'est que de la redistribution, pas de l'écologie.
          En effet, ceux qui ont les moyens et ne bénéficient pas de cette aide ne choisirons pas une voie qui n'est rentable qu'avec cette aide même si le Gouvernement considère qu'ils ont de l'argent à foutre en l'air.

            ce 18 sept 2023, une journée interessante pour l'electricité française, qui montre, notre vieillissement du nucléaire et la maturité du renouvelable éolien +solaire

            à 13h , les besoins en consommation étaient de 50 gigaWatt
            le nucléaire en assurait 36, (sur un potentiel théorique de production nucléaire de 55 )
            le renouvelable non pilotable : solaire 8,5 / l'éolien 8,8 / et la biomasse 0.8
            l'hydraulique ( renouvelable pilotable ) 4 . et le gaz 1.1

            Le tout donnant un excédent exporté de 8.4 GW

              candidus Dès lors qu'une mesure d'incitation est conditionnée au revenu, ce n'est que de la redistribution, pas de l'écologie.

              La redistribution c'est financer les étrangers des banlieues, c'est eux qui bénéficient principalement des aides en plus gratter ils savent faire.

              un mois plus tard

              https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/compteurs-linky-attention-votre-consommation-%C3%A9lectrique-pourrait-%C3%AAtre-limit%C3%A9e-cet-hiver/ar-AA1ihHd4

              Compteurs Linky : attention, votre consommation électrique pourrait être limitée cet hiver
              Cet hiver, 200 000 ménages équipés d'un compteur Linky pourraient faire l'expérience d'une réduction temporaire de leur consommation électrique. Une mesure envisagée par l'exécutif pour prévenir d'éventuelles tensions sur le réseau électrique français.
              Éviter un black-out général
              Le projet prévoit une période d'expérimentation allant jusqu'au 31 mars prochain, débutant dès la publication du décret. Les ménages touchés devront réduire leur consommation pendant quatre heures, un jour ouvré, entre 6 h 30 et 13 h 30 et entre 17 h 30 et 20 h 30, sans possibilité de recours ou d'indemnisation de la part de l'État. Auprès de nos confrères, un responsable anonyme d'un fournisseur d'énergie dénonce des méthodes «un peu soviétiques».

              Ca va être rigolo, quand on passera au voiture électrique dans les années a venir.
              Les médias vont devoir user de la peur pour obliger le bétail humain, à moins consommer ça marche a tout les coup faire peur.
              Remercier les politiques de sous investissement, qui ont conduit à ce résultat la,on va ressembler a cubai la mer en moins .

              un mois plus tard

              Le projet de centrale à réacteurs nucléaires modulaires (SMR) de NuScale vient d'être abandonné.
              L'entreprise a dû s'y résoudre après le doublement du coût du projet, à 9 milliards de dollars.
              Ses projets à l'étranger pourraient eux aussi être menacés.
              https://www.usinenouvelle.com/article/plombee-par-l-inflation-nuscale-renonce-a-sa-mini-centrale-nucleaire-pilote-dans-l-idaho.N2194938?fbclid=IwAR0n2rqukb8x-fR1XymVGKrDoe6dhwVXQfndUJZderKx0UwDixpjXCv5fKo

                Regain
                Instructif merci.
                Il y a des gens de NuScale à aller chercher au chômage et des infos à récupérer.
                Les ricains ont un probleme avec l'industrie, l'industrie c'est plus qu'un savoir faire, c'est une tradition et quand elle est partie c'est très difficile d'y revenir, il faut un environnement, un terreau industriel, une mentalité, des techniciens. Les chinois ont mis 50 ans à l'acquérir avec des efforts gigantesques, pour les ricains ça mettra au moins 30 ans.
                Nous on est pas à l’abri, loin de là mais on a quand même gardé le terreau industriel nécessaire et suffisant, du moins dans certaines régions (dont la région lyonnaise )

                4 mois plus tard

                bilan 2023 de l'electricité nucléaire https://analysesetdonnees.rte-france.com/bilan-electrique-2023/synthese

                _Si le risque sur la sécurité d’approvisionnement a été plus faible en 2023 qu’en 2022, le parc nucléaire n’est pour autant pas revenu à son fonctionnement nominal.

                La production du parc nucléaire a en effet enregistré une baisse structurelle par rapport aux maxima atteints au début des années 2000. La fermeture des deux réacteurs de Fessenheim explique une partie de cette diminution, mais elle est loin d’en constituer la majorité : la baisse de la disponibilité du parc entre les années 2000 et l’année 2023 représente en effet l’équivalent de la fermeture de 14 réacteurs de 900 MW.

                La diminution de la production nucléaire n’est pas due au développement des renouvelables : moduler la production des réacteurs constitue une faculté technique pour leur exploitant, qui permet d’optimiser la production en fonction des prix de marché (c’est-à-dire, moins produire lors des périodes de prix bas pour économiser du combustible et maximiser la production lors des périodes de prix plus élevés). Il n’existe aujourd’hui en réalité que très peu de situations dans lesquelles cette modulation serait « forcée » faute de débouchés (dans de tels cas, le nucléaire n’est souvent d’ailleurs pas seul à moduler, les parcs renouvelables les plus récents s’effaçant aussi).

                Cette baisse tendancielle de la production nucléaire résulte de l’importance du programme industriel nécessaire à la prolongation de la durée d’exploitation des réacteurs et à la prise en compte du retour d’expérience de Fukushima. La crise sanitaire, en bouleversant les plannings de maintenance à un moment critique de la montée en cadence des chantiers les plus lourds, puis l’identification fin 2021 d’un défaut générique de corrosion sous contrainte, ont achevé de contraindre un calendrier déjà très optimisé.

                Au cours de la prochaine décennie, l’enjeu est de retrouver des niveaux de disponibilité et de production supérieurs à ceux des dernières années, ce qui constitue un des leviers essentiels pour atteindre les objectifs industriels et engager la transition vers une économie décarbonée. Pour l’établissement des projections à dix ans dans le dernier Bilan prévisionnel, RTE a tablé sur un retour rapide vers un volume annuel moyen de production de l’ordre de 360 TWh, en intégrant l’EPR de Flamanville, et a considéré comme scénario haut l’atteinte d’un niveau de l’ordre de 400 TWh comme durant la décennie 2010_

                  marcopolo Bilen 2023 : Macron n'a toujours rien relancé et laisse le parc nucléaire péricliter.

                    .bilan 2023 de l'éolien et du solaire https://analysesetdonnees.rte-france.com/bilan-electrique-2023/synthese

                    Les productions éolienne et solaire ont atteint des niveaux record, le parc solaire a progressé de manière inédite

                    Les productions éoliennes et solaire ont atteint en 2023 des niveaux record : 50,8 TWh pour l’éolien et 21,6 TWh pour le solaire photovoltaïque. Ensemble, ces deux filières ont dépassé pour la deuxième année consécutive la production hydraulique, ceci alors que la production hydraulique a retrouvé des niveaux habituels en 2023 : cela montre que ces énergies renouvelables variables occupent d’ores et déjà une part importante dans le mix électrique français, représentant près de 15 % de la production totale, et contribuant également à la sécurité d’approvisionnement .
                    la production éolienne terrestre (48,9 TWh) a dépassé le précédent record de 2020 (39,7 TWh) grâce aux effets conjugués des conditions météorologiques favorables et d’un parc installé qui a continué sa progression. Le facteur de charge moyen pour l’éolien terrestre s’est élevé à 26,2 %, le deuxième le plus élevé sur la dernière décennie après celui de l’année 2020 (26,6 %) qui avait été particulièrement venteuse. Depuis 2022, la production éolienne marine a commencé à être visible dans le mix de production français : avec désormais trois parcs dont un totalement en service depuis fin 2022 (St-Nazaire) et deux en cours de déploiement en 2023 et dont l’installation devrait être terminée courant 2024 (St-Brieuc et Fécamp), l’éolien en mer a représenté 1,9 TWh sur l’année 2023, contre 0,6 TWh en 2022.

                    La production éolienne est en général plus élevée au cours des mois d’automne et hiver, du fait de vents plus importants à cette période : ceci a été particulièrement vrai en 2023, où la production éolienne a atteint des niveaux inédits au cours des mois de janvier, mars, novembre et décembre, avoisinant ou dépassant les 6 TWh pour chacun de ces mois. L’éolien a ainsi contribué à la sécurité d’approvisionnement lors des saisons froides, permettant de limiter le recours aux centrales alimentées par les combustibles fossiles. En 2023, le volume de production éolienne a largement dépassé celui des centrales au gaz (30,0 TWh).

                      marcopolo Grâce à vos chiffres, vous soulignez avec raison que Macron aura été une catastrophe.

                        candidus le nucléaire ne se decrète pas sur un claquement de doigt, c'est un programme dont on voit les effets au bout de 20 ans ..........quoi que fermer Fessenheim, çà c'est fait sur un claquement de doigt