Pour Macron, la liberté d'expression n'est rien d'autre que ce qu'il veut entendre.
Malheur à ceux de nos compatriotes qui s'autorisent la moindre liberté en ce domaine. Lorsque la liberté d'expression est étrillée, il est hasardeux de penser autrement que ce que le permet le pouvoir. Un seul mot contraire au politiquement correct et vous pouvez terminer votre phrase devant un tribunal voire en prison.
Aujourd'hui dans notre pays, tout propos, même vrai, est condamnable pour intolérance par peur qu'il pourrait provoquer des tensions sociales. Cela peut paraître incroyable, pourtant, en France, des juges condamnent des Français pas nécessirement en raison de la teneur de leur propos, mais tenez-vous bien, à cause des intentions qu'ils leur prêtent. Les décisions de ces juges sont dictées par la peur des musulmans. Ils condamnent pour soi-disant préserver la paix mais excusent la plupart des actes de violences et autres, commis par les musulmans, pour avoir la paix. Le critère d'acceptabilité d'un propos n'est plus la vérité mais la violence qu'il peut susciter. Certes, l'obscénité et l'incitation à la violence doivent être censurées, mais certainement pas la critique.