Nymo donc, si je te suis bien.
Ton narratif de la lutte des classes, et je ne parle que des Gilets jaunes, ne se justifie, à tes yeux, que selon ta propre capacité de nuisance à l’endroit de gens qui ont quitté le rang de l’obéissance aveugle à un pouvoir caractériel, et en dehors de services d’ordre officiels organisés par des corps intermédiaires normalement intégrés aux grands mouvements sociaux inscrits dans la constitution comme un droit inaliénable... Même ça, tu le vomis.
Tu es ce petit soldat sans grade qui se dévoue corps et âme à un président, lui, sans tempérament, mais amusé de te mettre la tête à l’envers parce que ce créateur de la vacuité politique a bien compris que sa parole creuse trouvera quand même un écho au coeur d’une ultime réserve d’irréductibles envoûtés, ou ce qu’il en reste, prompte à s’inventer un ennemi, juste parce qu'elle n’a rien d'autre à défendre qu’un autoritarisme bête et méchant supposé élitaire, à défaut de concéder que la compétence en matière de gouvernance, est la seule autorité qui vaille.
Tu vis dans un bunker sentimental...En cela, tu pourrais être un danger pour une démocratie déjà malade, parce que tu ne te mobilises exclusivement que pour ces puissants dont la force émanerait uniquement de la légitime violence.
L’histoire nous a montré où ces comportements sectaires ont mené des sociétés...
Et je ne te suivrai pas. 😇