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Sûrement, parce qu'une église n'est plus tellement un temple consacré à Dieu, pour vous.
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Sûrement, parce qu'une église n'est plus tellement un temple consacré à Dieu, pour vous.
af90 Pour un bon post, pas forcément.
Donc vous avez déjà lu un idiot de village pondre un couplet de légende ?
Pas moi.
Je vais même aller plus loin : un type insane a du mal à composer ne serait-ce qu'une ligne acceptable.
Reprenez le dénommé bébert, feu mon rat de laboratoire du jour : sur plus d'un millier de messages pas un n'est d'un niveau intellectuel se détachant d'un epsilon de la médiocrité.
[supprimé] Tu notes quand même que je n'interviens jamais que quand je me sens compétente à l'ouvrir. Hé hé.
Il y a quelques années, j'ai assisté à une messe en latin (Bologne, une fois par mois).
Quelle expérience !
Dashwood je me sens compétente à l'ouvrir.
A quelle ouverture personnelle vous référez-vous ?
[supprimé]
Non, vous avez mal compris. On peut répondre à un mauvais message : chercher les erreurs, les rectifier, leurs raisons. Même les gens intelligents, ou supposés bons interlocuteurs, ne font pas que de bons messages. J'ai même l'impression que souvent le jugement porté s'éloigne très fortement des messages produits dernièrement : un souvenir lointain de ce qu'ils peuvent faire.
white-widow-power
Bien ce que je disais, subjugué par la "beauté", un admirateur de "l'art" pour "l'art". Vous vous rendez compte quand même, que selon vos idées, les gus racontent n'importe quoi ? Si l'on vous raconte, que les lapins sont de dangereux carnivores, si c'est bien dit en latin, vous rendez quand même un petit hommage ?
af90 On peut répondre à un mauvais message : chercher les erreurs, les rectifier, leurs raisons.
Vous êtes décidément à la lecture ce que le lave-linge est aux mœurs aquatiques.
Un bon message ou texte ne se choisit pas : il s'impose.
Si mes mots ne vous giclent pas à l'esprit, il est alors temps pour moi de les ranger à l'étui.
Vous êtes un gars pas idiot (lire ici un compliment) mais Bon Dieu que vous avez besoin de cours d'expression écrite. Faut vous détendre mon coco, vous laisser aller à l'art des phalanges sur clavier.
Quel grand homme eût été Balzac s'il eût su écrire. Il ne lui manquait que ça, soupirait Flaubert. Nous en sommes un peu là.
[supprimé]
Mon expression écrite s'était améliorée, avant de se dégrader de nouveau. Vous savez pourquoi ? Dans les langues, il y a deux choses : l'usage, les règles systématisées, d'ailleurs à partir d'un usage antérieur. Qu'est-ce qu'une langue même systématisée ? Une collection de règles complètement arbitraires, susceptibles de changer sous la pression d'un nouvel usage. Quand on pense cela, on doute très souvent : usage contre logique.
af90 les lapins sont de dangereux carnivores
Maman lapine mange ses petits si tant est qu'ils ne fassent pas la maille.
Notons que si la génitrice de bébert avait eu telle élégance au début du siècle dernier, nous aurions gagné du temps à la modération.
af90 Mon expression écrite s'était améliorée
Manque de bol, c'était durant votre période d'absence du Fopo, hein.
N'étant pas latiniste (un semestre à la fac, davantage helléniste par la mère) je ne peux juger du contenu dispensé.
Mais c'était beau pour (l'apprenti) historien que je fus.
[supprimé]
Question : dangereux pour qui ? Pas pour l'homme.
af90 Question : dangereux pour qui ? Pas pour l'homme.
Demandez à ces dames si le lapin représente la sinécure absolue pour leur espèce.
Vous n'avez jamais eu ce machin sur le dos, ça se voit (enfin mon urbanité me pousse à le situer dans l'inenvisageable).
[supprimé]
Les lapins sont-ils de dangereux carnivores ? Je ne crois pas. Mais, je cède, si vous voulez, sur le point des petits, omission de ma part. M'enfin comme d'habitude, il était question de détourner de son sens le propos.
Tiens, en parlant de ça, lapin et curé partagent une même restriction, savez-vous laquelle ?
[supprimé]
Allez, dites-moi.
Il est interdit de prononcer l'un ou l'autre de ces vocables sur un bateau. Superstition séculaire.
J'ai proposé qu'on l'étende au Fopo, enfin surtout pour l'un des deux.
En vain.
Comme quoi je ne suis pas omnipotent.