Poutine peut être fier d'avoir conquis le coeur de braves français, encouragé par leur détestation de leur propre pays, que je leur invite à quitter puisqu'ils n'y trouvent aucune satisfaction d'ordre politique et plus encore de leur antiaméricanisme primaire.
Certains rappellent les heures glorieuses de l'URSS qui combattit fièrement l'Allemagne nazie, en sacrifiant ses soldats. C'est oublier que leur dirigeant fit ami, ami avec ce même Hitler lors d'un odieux pacte. Demandez vous ce qui se serait passer si le führer n'avait pas eu les yeux plus gros que la tête et à quelle sauce on aurait été mangé?

Poutine est de la même veine que ses prédécesseurs. Il n'y'a rien à négocier avec des gens de cette espèce. ni rien à espérer, autant pactiser avec le diable...
Il est facile, lorsque l'on est lâche, de s'en prendre à des pays plus faibles, que ce soit la Géorgie, l'Ukraine, ou la Pologne par le passé.
Ce peuple russe, dans son aveuglement est prêt à le suivre jusqu'en enfer, étant soumis à la même propagande mensongère depuis des décennies. Eux, au moins ont cette excuse, vous n'en avez aucune.

jack127 Ce message résume plutôt bien de nombreux maux de notre époque :

Dogmes, mauvaises références historiques mal usitées, intolérance revendiquée, morale hypocrite dictée par des tiers, incapacité à s'extraire d'une grossière propagande, refus de remettre en question ses préjugés et idées reçues, et enfin le dangereux comportement psychique sectaire (que vous partagez avec nymo) fractionnant votre monde entre "vous les bons" et "eux les malfaisants"...

Premier pas vers le totalitarisme le plus abject que vous revendiquez là, soyez fier.

Src l'express

La Finlande et les pays baltes appellent Bruxelles à interdire l'octroi de visa pour les touristes russes. Le sujet devrait être au menu des prochaines discussions des Vingt-Sept.

Diabolisons le russe, peu nous importe notre ddhc.

Src Le Monde

En Ukraine, une minorité hongroise fidèle à Orban

Concrètement, cela ne change rien pour le conflit en cours.
Esperons qu'ils ne paient pas un jour cette timidité.

Le pragmatisme impose de considérer les intérêts énergétiques donc économiques hongrois (comme slovaques) qui influent leur politique.

Je comprends très bien la position de Jack127.

C'est vrai que toute cette littérature, qui tend à grandir un mec (Poutine) qui organise des show dans des stades, sur son nom, avec un bon paquet de gens payés par Russie Unie, et avec un tel niveau de critiques, envers tout ce qui représente les "démocraties LIBERALES", s'apparente vite à un comportement de type "intelligence avec l'ennemi", surtout dans le relais constant de la rhétorique employée par le Kremlin.

Je suppose que Jack est plutôt soft quand il invite ces pro Moscou à quitter la France.
D'autres que lui, les verraient bien partir au bagne, un bagne nouveau, revisité, modernisé (qui sait, peut être avec la clim intégrée et offerte?)

Blague à part, il y a de quoi être surpris, ici, par le nombre de voix, défendant ouvertement la posture poutinienne, dans cette affaire d'Ukraine.

Puis il y a ce jeu permanent de la déformation à tout crin.

Comme plus haut "soit américanophile, soit on quitte la France".

Moi, c'est le nombre, qui me choque et me sidère le plus.

James Il y a quand même un moment où les prorusses devraient devenir lucides et demander des visas de résidents en Russie, afin de mesurer combien est grand et beau le paradis poutinien post-soviétique, Mais il me semble quand même qu'il y a plus de français bien diplômés ou juste bien motivés qui demandent des visa pour les USA (et aussi les autres pays anglo-saxons alliés) que vers la Russie. Cherchez l'erreur !

James Donc, en gros, si je te comprends bien, soit on est "américanophile", soit on doit quitter la France ?
Et si l'on n'aime pas la politique menée aujourd'hui, pareil, il faut quitter la France ?

Comprendre, "doivent quitter la France ceux qui ne pensent pas comme nous".

Et ils clameront de ces autres qu'ils ne sont pas républicains pendant qu'ils détruisent notre République dans l'allégresse que leur procure la haine commune de l'Autre. Celui qui Pense. L'Ennemi.

Neodadais
Pour bien raisonner ou comprendre les événements, il faut quitter le terrain du devoir être, et la distinction ami-ennemi. Dès lors que l'on se politise, que l'on accepte et défend un programme, on ne peut échapper à la distinction ami / ennemi, même si certains ennemis, plus proches de nos convictions, sont susceptibles de devenir des alliés de circonstance contre des ennemis plus lointains. Les mouvements politiques, voire simplement d'opinion, sont dans un rapport de rivalité les uns avec les autres, qui n'exclut pas certaines formes de coopération : c'est comparable aux rapports entre les sociétés humaines, en "géopolitique", si vous voulez.

Il faut quand même rappeler que tous les partis en France sans exception condamnent, sans équivoque, l'action de Poutine. Même Mélenchon, qui était non interventionniste d'un point de vue militaire semble avoir changé de fusil d'épaule:

https://www.rtl.fr/actu/politique/invite-rtl-guerre-en-ukraine-ce-qu-a-fait-poutine-est-d-une-gravite-exceptionnelle-affirme-melenchon-7900156701

af90 J'entends parfaitement votre propos.
Cependant, ces cloisonnements de pensée ne sont-ils pas aggravés par la formalisation puis l'institutionnalisation des associations politiques ?

Si une "loi Le Chapelier" n'empêche pas telles dérives, n'y est-elle toutefois pas un frein souhaitable ?

Le problème est également individuel : il est terrifiant de constater comment les esprit endoctrinés prennent pour croyance ce qui relève du débat, reportant alors toute ouverture à la réflexion vers une susceptibilité de ce qui est perçu comme une attaque direct d'un égo guère justifié. L'éducation ne peut-elle ainsi pas egalement à contribuer aux regulations ou aggravations de ces phénomènes de masse ?