• [supprimé]

tieumz
Voilà, j'ai trouvé le mot, le Macron a mulotté (muloté ?)

    [supprimé] Voilà, j'ai trouvé le mot, le Macron a mulotté (muloté ?)

    Oui, il y avait de ça évidemment, il voulait la déstabiliser dès le départ, c'est flagrant et ma foi, plutôt normal, il n'est pas venu pour se faire rouler dessus.

    Mais le naturel... La condescendance est intrinsèque à son fonctionnement. Et la position défensive de Le Pen a aggravé d'ailleurs le constat, il a continué de lui parler comme si c'était une enfant.

    "Arrogant" en top tendance twitter, c'est anecdotique, mais c'est drôle.

    Il faudrait que quelqu'un fasse un montage des "euh" de Marine le Pen, il doit bien y en avoir une centaine, parfois assortis de bégaiements.

      • [supprimé]

      tieumz A noter que la décrue des spectateurs du débat d'entre deux tours continue

      Ca par contre je regarde jamais l'audimat.

      La désaffection des français pour la politique. Bof, rien de neuf.

        • [supprimé]

        cheshire-cat Il faudrait que quelqu'un fasse un montage des "euh" de Marine le Pen, il doit bien y en avoir une centaine, parfois assortis de bégaiements.

        On aura noté aussi la très grande difficulté pour elle d'énoncer le FSRPT.

        J'avoue qu'elle m'a fait peur, j'ai cru qu'elle avait perdu la langue, comme la vue, la nuit d'avant

          [supprimé] La désaffection des français pour la politique. Bof, rien de neuf.

          Disons qu'observer l'évolution de cette désaffection est intéressante.

            • [supprimé]

            tieumz Disons qu'observer l'évolution de cette désaffection est intéressante.

            Comme tu sais, j'ai moi aussi été un gauchiste, anar, anti blanc mâle, bien pensant, même, et c'est ce qui a forgé mon âme de non électeur.

            C'est vrai que j'ai bien retourné ma veste, depuis Macron. Je me suis mis à croire en mon pays, j'ai arrêté de dire que c'était les sondeurs qui faisaient les élections, et cette clique de média vassaux du pouvoir et du CAC 40.

            Mais avant Macron, fallait pas me demander de soutenir l'un ou un autre.
            Ceci étant, j'ai découvert l'optimisme, depuis Macron, et le verre à moitié plein.
            En me disant "wouah, le chômage a sacrément baissé " et je ne dis plus "la vache, y a encore un max de chômeurs! pays de m****"
            Alors ce jour, je dirai "cool, l'extreme droite aura encore longtemps du mal pour accéder au pouvoir" et ça, je trouve ça extrêmement positif.

            (hormis le fait que je préférais un macron réélu, qu'un guignol de populiste)

              [supprimé]

              Retrouver de l'optimisme, dans tous les cas, c'est positif.

              Dommage que ce ne soit pas vraiment la tendance générale du pays.

              En valeur absolue, la droite "dure" (Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan) gagne presque 2 millions d'électeurs au premier tour entre 2017 et 2022.

              En % de vote exprimés, ils passent de 25% à 32%.

                cheshire-cat Elle a fait de gros progrès sur le sujet, aussi bien en terme de nombre que de son.
                J'ai du mal à croire qu'elle était avocate!

                tieumz Bref, c'est reparti pour 5 ans.

                Youpi.

                Il y a quand même du positif puisque les gens au RSA vont retrouver le lien social qui leur fait tant défaut, en allant bosser quelques heures par semaine. Ca va nous coûter un bras, car il faudra les encadrer, mais cela va leur donner une raison de se lever le matin, tôt, et cela n'a pas de prix!

                • [supprimé]

                tieumz En valeur absolue, la droite "dure" (Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan) gagne presque 2 millions d'électeurs au premier tour entre 2017 et 2022.

                En % de vote exprimés, ils passent de 25% à 32%.

                Ce phénomène n'est pas spécifique à la France.

                Le populisme en général a encore beaucoup d'avenir.

                On ne peut pas oublier les Bolsonaro ou les Trump.
                Ni le Bush2 ni Aznar en Espagne, etc...

                Poutine a en partie raison, sur son constat sur l'Occident.
                Je dis "en partie" parce que vu le fiasco qu'il s'auto génère en Ukraine, on peut pas lui donner entièrement raison.
                Donc, oui, la France aussi a viré pour une part, chez les anti vax, le "QAnonisme" (qui a tenté une percée en France aussi, ça nous rappelle la Scientologie, présente fut un temps également)

                Après, y a pas de secret. Le pen et zemmour étaient fans de Trump. (et poutine à la fois, comme quoi... le "en même temps", c'est pas que chez macron, hein)

                Vu l'absence de campagne 1er tour, chez Macron, et les dynamiques d'alors, j'étais disposé à retourner bien rabougri dans mon petit défaitisme anti français. Je sentais monter ce "anti macron" que je ne comprends toujours pas, vu que je trouve son bilan, bien plus solide que chez un Sarko un Chirac, ou un Hollande.

                Flute quoi, moi ça me plaisait cette France avec ce chômage qui baisse enfin.

                Mais, je savais que la température du pays n'était pas "aux applaudissements", lol.

                Enfin... bref... l'ED française restera encore à la maison, cette fois ci. Et je préfère nettement ça.
                J'ai un gosse, quand même.

                  Je l'ai trouvé très mauvais, Macron. Arrogant et méprisant, teigneux, se tenant mal, bras croisés ou affalé sur sa chaise, il était aussi extrêmement agité, on avait l'impression qu'il ne pouvait pas tenir en place, et quand il parlait il faisait tout le temps des tas de mouvements avec ses bras. Il avait bu trop de café avant le débat ? Sérieusement, à un moment j'ai cru qu'il allait faire un malaise en direct.

                  Le contraste était saisissant avec Marine Le Pen, calme et posée, toujours dans l'argumentation sans jamais entrer dans le jeu des provocations dans lequel McRond voulait l'amener. Des deux candidats hier soir, bizarement c'est elle qui avait le plus l'attitude d'un chef d'état.

                  Elle a globalement réussi son débat. Un peu faible au début sur le pouvoir d'achat et l'Ukraine, elle est ensuite parvenue à trouver son rythme, et un bon équilibre entre la présentation de son projet et la critique du président sortant. Elle aurait dû être plus incisive sur certains mensonges de Macron, par exemple quand il a dit que les 600 milliards de dette étaient dus à la crise covid (en réalité seuls 150 milliards sont dus à la crise covid...), ou quand il se vante de ses chiffres du chômage mais, sur l'ensemble de l'émission, de mon point de vue c'est avantage Le Pen.

                  Pour les populistes de droite dures, on se demande bien pourquoi leur discours prend hein...

                  [supprimé] Je sentais monter ce "anti macron" que je ne comprends toujours pas, vu que je trouve son bilan, bien plus solide que chez un Sarko un Chirac, ou un Hollande.

                  C'est un peu ça le fond du problème, c'est que vous ne compreniez pas.

                  Dans quel état vois-tu la France dans 5 ans ? Moins divisée ? Avec un PIB/hab plus important ? Avec une fracture campagne/ville moins marquée ? etc...

                  Dans tous les cas, après 10 ans de mandat, il aura pris une large part de ce que sera le pays en 2027.

                    tieumz Dans tous les cas, après 10 ans de mandat, il aura pris une large part de ce que sera le pays en 2027.

                    Macron fait parti des Anywheres, ceux qui peuvent aller n'importe où dans le monde occidental et s'y sentir bien. (avec la libre circulation des capitaux, un clic de souris et leur fortune les suit).
                    Lui et sa caste sont en conflit avec les SomeWhere, ceux qui ont des racines, se sentent bien dans leur pays, leur région, leur civilisation.
                    Macron est indifférent à l'état de la France après 1 mandat ou 2 mandats. Il pourra partir n'importe où de le monde occidental, du moment qu'il y trouvera des humains pour flatter son égo, tout ira bien pour lui.

                    • [supprimé]

                    Une Marine Le Pen sans aspérités, sans profondeur, sans passion même. Elle n'est pas brillante, et ça se voit.
                    A part ça que lui reprocher ? Elle a fait le métier, mais il en manque beaucoup niveau charisme, conviction, goguenardise.

                    En face, un excité bavard, sautant de phrases en phrases. Nullement à la hauteur d'un président, parfois sidérant par ses mimiques, ses attitudes. Bref, une tête à claques de légende.

                    Un regret : ne pas avoir pu assister au dépeçage de ce dameret par des contradicteurs d'un tout autre niveau.
                    Imaginons-le face au Mitterrand 88 par exemple... Et le Mélenchon 2022 ou encore le Hollande 2012 seraient eux-aussi repartis du studio en abandonnant une carcasse sur la chaise d'en face.

                    [supprimé] a renommé le titre en Débat entre-deux-tours 2022. le .

                    Marine Le Pen ne s’est pas sublimée....Elle ne sera donc pas présidente de la république,
                    même si c’est oublié :

                    • le quinquennat macronien, à la godille pour un argentier ramant, le torse bombé, en tête de gondole,
                    • sa campagne électorale où, inspiré par le retour de la bien pensance, Macron, comme une concierge bien élevée, a anathèmatisé M.Le Pen,
                    • son débat pareil à une séance de pauses lors d'un shooting photo où ce candidat top model a dressé le panégyrique d'un président dramaturge d’une imposture politique assumée par les convertis de la 1ère et de la dernière heure.

                    Une prestation médiocre.
                    Mais, M.Le Pen si courtoise, voire timorée parfois, qu’elle n’a pas su, non plus, faire valoir entièrement ses positions à travers une serénité affichée qui fut aussi la marque d’un manque d’assurance, à rétorquer.

                    Que retenir de ce débat ? Davantage l’image des deux postulants que leurs propos.

                    • [supprimé]

                    • Modifié

                    [supprimé] le FSRPT

                    Le FSPRT.

                    Vous ne devriez pas vous moquer.
                    Tiens ça me rappelle l'histoire du tapir qui s'était mis à chambrer un nasique enrhumé.