Bonsoir, non, c'est sérieux, cette fois.
Je l'ai peut être mal exprimé.
En somme, avec le recul que nous avons actuellement, nous voyons que le covid parcourt un chemin assez classique, d'évolution virale, même si le COvid et le variant delta ont pris de vitesse bon nombre de chercheurs.
Or, pour atteindre un niveau viable d'immunité collective, il faudra poursuivre et même renforcer les campagnes de vaccination.
Avoir entre 30 et 20 % de non vaccinés encore, permet au virus de continuer allègrement son petit parcours.
Et c'est par le biais des enfants, en général, non vaccinés, que le virus se dissémine le plus.
Evidemment, il occasionne des formes graves, sur des personnes qui seront contaminées par des enfants transporteurs et souvent asymptomatiques.
Dans les stratégies et le combat vaccinal, classiquement, on injecte une dose, les anti corps font leur boulot, puis on part sur une phase de rappel, au moins 6 mois après.
Mais, à l'occasion du drame de ce covid, au plus fort de la crise épidémique, il a été décidé de doubler les injections à seulement un mois d'intervalle.
Il semble que la perte de la résistance du vaccin, soit partiellement dû, au rapprochement très court entre les deux doses.
Ce qui a priori, nécessite donc, non pas une "troisième dose", mais une injection qu'on appelle "le rappel". Afin de stabiliser et prolonger la résistance vaccinale au virus, et surtout renforcer l'efficacité des anti corps développés grâce aux vaccins.
de ce que j'ai entendu, donc, c'est l'espace court qui a été décidé (un mois environ) entre les deux doses, qui a fait que la force du vaccin s'amenuise, au bout de 4 mois et plus.
Et cet espace court a été décidé ainsi, car nous étions au plus fort de la dissémination de la version Delta du virus.
J'espère avoir été plus clair