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Monarch

On vit une sale époque.
Sauf retournement de situation, il me reste 3 jours de droit au cinéma, et 14 jours de droit au restaurant. Aurai-je encore le droit de prendre un bus voire d'aller au travail dans quelques semaines ou quelques mois. Je pense que l'occupant du Palais de l'Elysée a été trop loin lundi dernier et que les tensions vont être croissantes. Dire qu'il y a 4 ans il scandait "c'est moi ou le chaos". Pauvre France. Pour le moment ce sont les familles de vaccinés qui pourraient être spoliées de leur patrimoine vu les conditions des contrats d'assurance-vie et d'assurance-décès. Mais demain? Oui, pauvre France. Des siècles d'Histoire peuvent être ruinés par /////Diffamation

    [supprimé] Le permis de conduire est distribué à tout le monde pour éviter l'isolement social de ceux qui en seraient dépourvus, donc mauvais exemple!

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    Le pass sanitaire sans être une obligation de se faire vacciner sur le papier, l'est dans les faits. On ne pourra plus vivre sans pass sanitaire. Le pass sanitaire ou l'hypocrisie de l'état. Ils imposent pas la vaccination tout en l'imposant. C'est malin mais ne passe pas inaperçu pour moi. Il s'agit bien d'une obligation vaccinale déguisée.

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      Plus contagieux pas impossible. Plus dangereux non : l'actuel "variant" provoquerait surtout un rhume. /////Insulte mon bon sarkomacronaute on n'est pas à une contradiction près, hein...

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        [supprimé] Il s'agit bien d'une obligation vaccinale déguisée.

        Vous venez d'inventer le fil à couper le beurre.

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          Le déguisement n'est pas très violent, hein. Pour ma part tant pis pour les bons films que je vais rater et pour les bons repas dont je vais me priver. Pour les centres commerciaux je m'en fous car je n'y vais presque jamais. Mais je n'oublierai jamais les humiliations que me font subir LREM et la micronie.

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            Ne pas imposer quelque chose sur le papier tout en l'imposant dans les faits est une technique de manipulation bien connue. Le gouvernement prend les français pour des cons.

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            Le permis de conduire relève de l'apprentissage du code de la route et de la conduite. Il est logique de pouvoir conduire uniquement cet apprentissage validé. Une "discrimination" basée sur l'acquisition d'une compétence est normale, commune et légitime. L'acquisition d'un diplome est à classer dans la même catégorie.
            Une discrimination basée sur le statut sanitaire, ou plutôt la consommation d'un produit dont l'innocuité et l'efficacité n'ont pas été prouvées, est une ignominie, d'autant plus qu'elle vise à empêcher à l'accès à des lieux pratiquement indispensables, tels que les centres commerciaux.

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              [supprimé] Plus contagieux pas impossible. Plus dangereux non

              Jusqu'ici en effet, et c'est heureux, mais les mutations peuvent évidemment provoquer une plus grande dangerosité et nous n'en sommes pas à l'abri :

              Les mutations (...) peuvent avoir un impact par exemple sur la transmissibilité du virus ou sur la gravité de la maladie.
              https://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/cite-de-la-sante/une-question-en-sante/questions-frequentes/mutation-du-virus-de-la-covid-19/

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              ////////////// Vulgarité

              avertissement

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              Monarch Le permis de conduire relève de l'apprentissage du code de la route et de la conduite.

              Le vaccin relève de l'apprentissage également. En deux injections, nous apprenons à notre corps à résister au virus.
              Ceux qui n'ont pas fait cet apprentissage présentent un risque de contamination et de transmission beaucoup plus élevé, il faut donc les écarter de l'espace public comme on empêche les conducteurs sans permis de circuler.
              Discrimination légitime.

                [supprimé] je n'oublierai jamais les humiliations que me font subir LREM et la micronie.

                Une chose est certaine, j'irai voter contre Macron mais aussi contre ceux de droite qui soutiennent Macron dans sa folie autoritariste.

                • [supprimé]

                sangtriste Oui puisqu'ils sont partiellement immunisés (mais pas contre les variants, et pas éternellement), on ne leur injecte qu'une dose à titre de rappel de vaccin.

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                RAMM

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                  RAMM

                  [supprimé] Le vaccin relève de l'apprentissage également. En deux injections, nous apprenons à notre corps à résister au virus.
                  Ceux qui n'ont pas fait cet apprentissage présentent un risque de contamination et de transmission beaucoup plus élevé, il faut donc les écarter de l'espace public comme on empêche les conducteurs sans permis de circuler.
                  Discrimination légitime.

                  Non, il ne s'agit pas d'un apprentissage mais de la consommation d'un produit conçu suivant un procédé nouveau, par une firme privée, dont l'efficacité et l'innocuité n'ont pas été prouvées.
                  Les cas de thromboses, et autres effets secondaires graves, ainsi que la transmission galopante du variant Delta au sein de pays ou presque l'integralité de la population a reçu deux injections, le prouvent.

                  il faut donc les écarter de l'espace public comme on empêche les conducteurs sans permis de circuler.

                  C'est là ou le bas blesse. Ecarter quelqu'un de l'espace public car il n'a pas consommé de vaccin Pfizer, interdire a une personne de conduire car elle n'en a pas les compétences, sont deux mesures n'ayant rien à voir l'une avec l'autre. Conduire une voiture est un bonus. Un privilège. Accéder à l'espace public est un droit.

                  On écarte personne de l'espace public, a part si cet individu est sensé purger une peine de prison, être interné dans un asile psychiatrique ou qu'il est prouvé qu'il est infecté par une maladie hautement contagieuse et dangereuse, comme Ebola, ou la Variole. Ce que le COVID n'est pas.
                  Aujourd'hui, des droits constitutionnels élémentaires sont suspendus à la preuve de consommation d'un vaccin disposant d'une AMM temporaire, alors que même les chiffres de contaminations en France ne le justifient pas.

                  Dans la continuité de cette logique, on pourrait justifier de l'instauration d'un "permis parent", ou il faudra suivre une formation de plusieurs mois avant d'être autorisé à concevoir et d'élever un enfant.
                  Tout enfant conçu et élevé par des parents ne disposant pas de cette autorisation sera estampillé "futur citoyen à problèmes" et devra être retiré à ses parents biologiques pour être soumis à l'adoption auprès de parents disposant du permis, ou confié aux services de la DDASS.

                  Tu vois, c'est facile de proposer des mesures liberticides au nom d'une conception viciée et paranoïaque de l'interêt général.

                    Bonjour,
                    Il n'y a en réalité que peu de discrimination entre vaccinés et non-vaccinés, puisque pour ces derniers la production d'un résultat récent de test négatif leur permet d'accéder aux établissements soumis à cette obligation.
                    Je comprends que ces tests à répétition représentent une contrainte réelle et pesante pour les non-vaccinés et remette en cause la liberté vaccinale toujours de mise.
                    Peut-être était il possible au gouvernement de trouver une solution plus légère et plus acceptable par tous, j'avoue mon incompétence en ce domaine.
                    Je souhaiterai cependant qu'on oublie ces oppositions largement surjouées entre vaccinés et non-vaccinés pour en venir à une évidence un peu (beaucoup?) ignorée du débat.
                    C'est je crois une première dans notre histoire récente que l'accès à des établissements publics divers, nombreux et sur tout le territoire national soit soumis à un contrôle généralisé et qu'un document de santé individuel et présumé confidentiel soit exigé comme viatique.
                    Il n'y pas si longtemps un haut représentant de l'Etat jurait, la main sur le coeur, que jamais le vaccin ne serait obligatoire, ni ne constituerait une différentiation quelconque entre citoyens pour l'accès au domaine public.
                    Comment peut-on juger un gouvernement et un Président qui soit nous ont menti sciemment ou font si peu de cas de leur parole qu'ils en changent au gré de leurs inconséquences?
                    Tout en méprisant un fois de plus le Parlement. Lequel ne sera consulté que pour acquiescement de décisions impactant au moins une de nos libertés fondamentales, excusez du peu.
                    Et au même moment la bureaucratie autoritaire bruxelloise qui n'a rien de mieux à faire, tombe à (petits) bras raccourcis sur la Hongrie pour une loi qui parait-il pourrait troubler la promotion d'orientations sexuelles minoritaires.
                    A chacun ses priorités.