[supprimé] Le vaccin relève de l'apprentissage également. En deux injections, nous apprenons à notre corps à résister au virus.
Ceux qui n'ont pas fait cet apprentissage présentent un risque de contamination et de transmission beaucoup plus élevé, il faut donc les écarter de l'espace public comme on empêche les conducteurs sans permis de circuler.
Discrimination légitime.
Non, il ne s'agit pas d'un apprentissage mais de la consommation d'un produit conçu suivant un procédé nouveau, par une firme privée, dont l'efficacité et l'innocuité n'ont pas été prouvées.
Les cas de thromboses, et autres effets secondaires graves, ainsi que la transmission galopante du variant Delta au sein de pays ou presque l'integralité de la population a reçu deux injections, le prouvent.
il faut donc les écarter de l'espace public comme on empêche les conducteurs sans permis de circuler.
C'est là ou le bas blesse. Ecarter quelqu'un de l'espace public car il n'a pas consommé de vaccin Pfizer, interdire a une personne de conduire car elle n'en a pas les compétences, sont deux mesures n'ayant rien à voir l'une avec l'autre. Conduire une voiture est un bonus. Un privilège. Accéder à l'espace public est un droit.
On écarte personne de l'espace public, a part si cet individu est sensé purger une peine de prison, être interné dans un asile psychiatrique ou qu'il est prouvé qu'il est infecté par une maladie hautement contagieuse et dangereuse, comme Ebola, ou la Variole. Ce que le COVID n'est pas.
Aujourd'hui, des droits constitutionnels élémentaires sont suspendus à la preuve de consommation d'un vaccin disposant d'une AMM temporaire, alors que même les chiffres de contaminations en France ne le justifient pas.
Dans la continuité de cette logique, on pourrait justifier de l'instauration d'un "permis parent", ou il faudra suivre une formation de plusieurs mois avant d'être autorisé à concevoir et d'élever un enfant.
Tout enfant conçu et élevé par des parents ne disposant pas de cette autorisation sera estampillé "futur citoyen à problèmes" et devra être retiré à ses parents biologiques pour être soumis à l'adoption auprès de parents disposant du permis, ou confié aux services de la DDASS.
Tu vois, c'est facile de proposer des mesures liberticides au nom d'une conception viciée et paranoïaque de l'interêt général.