Poufpouf Se poser en victime des ONG est pitoyable. Orban n'est pas une victime, c'est un autocrate qui maltraite son opposition, ou impose ses interdits religieux de collection. Encore un facho qui revendique plus de liberté, enfin, de liberté de nuire, et joue les pleureuses façon Zemmour quand on le remet à sa place. C'est juste lamentable.
Dernier point: En intégrant la CEE, la Hongrie a pris des engagements sur les droits de l'homme. Personne n'obligeait ce pays à signer. L'Europe n'est pas l'URSS. On n'y adhère que si on le désire. Ensuite, il existe des règles à respecter. A défaut, dehors. Ca serait d'ailleurs une bonne chose de rendre leur indépendance à la Hongrie et à la Pologne.
adhésion sur "désir". humm:
- le référundum en Hongrie avait eu 86% de oui sur 46% de participation (cf. mon lien sur Fondation Robert Schumann plus haut). Pas très démocratique
- en Irlande le "non" au changement de constitution requis pour faire passer le traité de Lisbonne avait eté nullifié par la Commission qui exigea une campagne de propagande pour refaire voter avec "oui" cette fois-ci.
Les droits de l'homme se portent très bien en Hongrie. Les lois "sociétales" au sujet du marriage ou encore conception en éprouvettes ne sont pas un signe des droits de l'homme. Démonstration par le contraire: depuis quand le marriage homosexuel existe-il en France? depuis 2012; donc , comme il n'existait pas avant 2012, alors avant 2012 la France était une dictature qui ne respectait pas les droits gnagnagna.
Etc.
c'est la Groß Kommission qui ne veut pas que des pays sortent. Voir le cinéma dingue d'agit-prop pendant quatre ans pour tenter de nullifier le Brexit. Ou encore l'opération sauvage menée contre la Grèce dans la foulée de la crise de 2008. Le pays a été spolié de force pour l'obliger à rester dans l'UE/€.
il y a lobbies/ONG et lobbies/ONG, certains sont des groupes de chantage étranger sous une autre forme, vue que sous forme étatique directe, cela fait trop "ingérence". Supposons un lobby russe à Bruxelles, toute la presse système crierait à l'odieuse ingérence.