Encore un article édifiant relatant des violences urbaines gratuites.
Je ne sais pas d'où ils sortent ces journalistes et autres directeurs d'établissement, mais avec ça on est très mal parti.
dixit le directeur d'établissement "il s'agit de jeune en crise identitaire"
Ben oui monsieur. Ils ne savent pas qui ils sont où ils vont donc ils cassent tout, voilà l'explication à tout ce remue-ménage !dixit le journaliste "les revendications restent floues"
Quel crétin ! Voilà un monde journalistique incapable de faire la différence entre une manif à banderoles, et le cancer rampant du défoulement des jeunes éventuellement communautaires.
Voilà c'était un triste exemple du politiquement correct, c'est à dire des expressions contenues qui doivent s'interdire de stigmatiser et de nommer les choses comme elles doivent l'être.