filochard
Vlaams – Tu écris : - « Oui, nos forces armées ont probablement beaucoup à apprendre de celles de l'Azerbaïdjan et de l'Arménie ».
Filochard – Tu écris : -« Oui, surtout de l'Azerbaidjan version 2020 ».
Nos armées n’auraient pas grand-chose à apprendre de celle de l’Arménie. Dans les combats qui viennent de se passer et qui ont amené Poutine à siffler la fin de la récré pour qu’il reste encore quelques arméniens sur leurs pieds, les soldats arméniens ont pratiquement abandonné le terrain, dans la majorité des cas sans se battre. En abandonnant leur matériel, entier ou écrasé.
Quant à l’armée de l’Azerbaïdjan cela fait des années, au moins cinq ans pour l’essentiel, qu’elle a été reconstituée, réorganisée et est entraînée par Tsahal. Et si Tsahal, du moins sur certains points spécifiques, a des choses à apprendre à nos armées, c’est déjà en cours depuis lurette. La crème de nos forces de l’ordre d’intervention, type GIGN ou Groupes d’Intervention, et depuis au moins dix ans, s’entraînent dans le Neguev dans des fausses agglomérations construites pour cela. Mais ils n’y sont pas les seuls. Ces mêmes deux colonies de vacances au soleil sont fréquentées par tous les sous-officiers et officiers des forces d’intervention urbaines ou semi urbaines occidentales spécialisées dans l’intervention délicate. Nos GIGN bien français, ou tous les SWAP amerloques, comme les anglais, les allemands, ou les australiens, sont tous allés y faire des séjours de perfectionnement. Comme les azéris. Nos armées n’ont pas besoin de l’aide des azéris. Elles traitent directement avec les instructeurs de ces dits-azéris.