wolfy Désolé, je voulais citer ta réponse de la veille mais impossible de la quoter de nouveau.
Tiens, toi aussi tu as ce genre de bug ?
wolfy Il me souvient la campagne présidentielle de 1995 durant laquelle les principaux cadors de droite se mirent en rangs serrés derrière le panache de Balladur, favori des sondages et des médias.
Touts ont abandonné Chirac, notamment le jeune loup Nicolas Sarkozy qui devait tout à son mentor et n'a pas hésité à le trahir pour un autre cheval.
Un seul est resté fidèle à Chirac poignardé dans le dos de toutes parts, ce fut Alain Juppé qui eut cette phrase dont je me souviens encore : "Dans la vie on ne trahit jamais le père".
Alors stp, ne le compare pas à cette ordure de Fillon, l'Homme lui mérite le respect.
Peut-être, mais concède que Juppé est on ne peut plus proche politiquement de Chirac. Aussi, il n'a jamais été loyal qu'à un type qui incarnait ses idées.
Il s'est avéré un peu moins fidèle au père(désigné par l'électorat LR, pas sorti d'un chapeau magique non plus) quand celui-ci se nommait Fillon.
D'autre part, présenter Fillon, accusé, comme un véritable boulet pour ta famille politique, moi je veux bien. Mais je ne vois pas en quoi un condamné aurait été un meilleur choix.
L'accusé a le bénéfice du doute, ce qui n'est pas le cas du condamné.
Par ailleurs, Fillon a perdu, c'est un fait; mais il est fort possible qu'une candidature de Juppé en lieu et place de celle de Fillon aurait reporté une partie de l'électorat Fillon sur MLP, tout en captant il est vrai une partie de l'électorat qui a finalement voté Macron. Alors on est en pleine politique fiction, là, mais considérant le score de Melenchon, il eut été possible que l'affiche du second tour soit Melenchon-Le Pen. Admet que de ton point de vue, ça ne t'aurait pas davantage avancé..
Juppé n'était en rien une garantie de victoire pour LR.