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courtial Bah, j'ai suivi par exemple tes échanges musclés avec Zénon.
Je suis plutôt le genre méfiant, mais je n'avais pas soupçonné qu'en tressant des odes énamourées à la Zentreprise, en exaltant le travail et la réussite individuelle, en fustigeant l'Etat prédateur et destructeur de liberté, il montrait en fait une sympathie pour le national-socialisme. Je n'avais pas perçu l'adoration pour Hitler mais peut-être étais-je mal mis en garde.
Le motif que, dans tout cela (=l'apologie, constante chez lui, du nazisme), il ne souffle jamais un mot contre les Arabes, qu'il minimise, qu'il ignore, peut faire comprendre ta réaction, mais ne la fonde pas.
Mais il sait s'élever contre une jeune fille menacée de mort et ayant, après une salve d'insultes qu'elle a reçues, répondu comme défense contre ses agresseurs avec des mots bien bien sentis, là on voit le Zenon s'effaroucher comme une vierge, il est à deux doigts de s'évanouir devant un tel déballage blasphématoire contre un faux dieu digne d'hitler dont son coran digne de meinkampf en pire est malmené lui aussi par la jeune jeune fille.
En résumé, au lieu de défendre Mila Zenon s'en prend à elle car elle aurait été grossière envers un totalitarisme digne de celui du nazisme mais en pire, sans doute tout tremblant dans son pantalon comme il l'aurait été aussi quand le nazisme avait envahi la France.