[supprimé] Les nouvelles populations donnent aussi les nouveaux profs.
Prof était autrefois un métier de seigneurs respectés, triés sur le volet, et qui apportaient un bagage intellectuel de première qualité aux fils des bourgeois, bagage nécessaire à leur reproduction sociale.
Après 68, l'enseignement des masses a remplacé l'enseignement des élites, et les moyens ont été mis sur le nombre au détriment de la qualité (réformes Haby et cie). L'objectif de l'EN était désormais de pousser vers un bac offert en cadeau 80% à 100% d'une classe d'âge, dans sa majorité composée d'imbéciles et d'illettrés, dépourvus de surcroît des bases d'apprentissage normalement fournies par le milieu familial. La "réussite" de l'institution scolaire se mesurait alors à la satisfaction des parents-consommateurs de voir leur progéniture décrocher sans effort un papier sans valeur, sans encore en mesurer l'inanité.
Plus besoin d'agrégés ni même de certifiés, de simples instit ayant à peine le bac, et maîtrisant de plus en plus mal les rudiments des matières qu'ils étaient censés enseigner, ont été bombardés "professeurs" tandis que le métier se féminisait, traduisant par là même un manque croissant d'attractivité pour les sujets brillants.
Le dernier état, actuel, de la profession est celui de classes composées d'allogènes issus des vagues successives de l'immigration afro-maghrébine, élèves pour la plupart idiots et totalement inaptes aux apprentissages fondamentaux, qui plus est haineux de la France et de ses enseignants. Qui voudrait aujourd'hui devenir prof, embrasser ce métier mal payé, déconsidéré, humilié au quotidien et même dangereux, si ce n'est les plus mauvais éléments d'une classe d'âge désespérés par le marché de l'emploi, ou les gaucho-antiracistes les plus militants ?