[supprimé] Pour les probabilités de grave sinistre (taux de fréquence), oui ... pour les conséquences dues à ce grave sinistre (taux de gravité), non.

Toujours mieux qu'être sous un barrage.

    • [supprimé]

    • Modifié

    dadais Toujours mieux qu'être sous un barrage ... "hydraulique".

    C'est pareil, un mort est un mort, tout comme un chat est un chat

    Des policiers barb...ouillés ?

    Finalement bille de clown maintenant ne sait pas tout quelques jours après ...pourquoi il a ouvert sa gueule juste après pour dire que ça ne craignait pas !
    Quand on est mauvais.? Con ? Stupide ? Le tout à la fois ?

    On fait ministre de l'Intérieur...?

    • [supprimé]

    On ne peut pas passer 4 jours sur la mort de Chirac , trois jours à tirer sur Zemmour , perdre son temps avec la PMA .Les vrais problèmes attendront . Les habitants de Rouen peuvent cracher leurs poumons , Borne à autre chose à penser , et Burne Poisson s'occupe des consignes des bouteilles plastique .
    Ces gens sont en dessous de tout .

    Et comme ,presque toujours en macronie chaque guignol du pouvoir y va de son petit commentaire avise puis est contredit par un autre.. mais bon toit va bien minet et ses compétents maîtrisent.

    La quantité de produits partis en fumée lors de l’incendie à Rouen revue à la hausse

    Publié hier à 20h42, mis à jour à 10h11

    Une grande partie du site d’une entreprise voisine a également brûlé, le 26 septembre. Plus de 4 000 tonnes de produits Lubrizol y étaient stockés.

    le préfet a annoncé que la quantité de produits partis en fumée n’était pas de 5 253 tonnes comme communiqué mardi.

    Ce chiffre ne concerne en fait que ce qui a brûlé sur le site même de Lubrizol, alors qu’une grande partie du site de l’entreprise mitoyenne, Normandie Logistique, non classée Seveso, a également été ravagée par les flammes – ce qui n’était pas apparu jusqu’alors de façon explicite. Un de ses trois entrepôts de stockage a entièrement brûlé, les deux autres partiellement. Ils contenaient, en tout, 9 050 tonnes de marchandises. Or, contrairement à Lubrizol, l’entreprise n’a pas été capable, à ce jour, de dire précisément quels produits avaient brûlé et en quelle quantité.

    « Ce site, créé en 1947, est un peu ce qu’on appelait avant des « magasins généraux » : vous y trouvez aussi bien de la gomme arabique [un émulsifiant] que de la bauxite pour faire de l’aluminium »
    (...) « Ils étaient là de manière déportée, avant d’être rapatriés sur le site de Lubrizol »

    Tous les jours Castaner vous dit un mensonge et Sibête une anerie
    Et tous les médias aux ordres relayent
    Demain est un autre jour et une autre version
    Lundi nouvelle taxe sur les couteaux en céramique
    Hier c'était plus intéressant que certains ont enfin compris que le gouvernement et les services secrets du gouvernement travaillent directement pour les arabes

    L'incendie jumeau de Rouen : le 3 juillet dernier dans les Yvelines

    Un site classé "Seveso 2 seuil haut", un nuage de fumées noire, la ronde des soldats du feu, l'inquiétude des riverains... Nous ne sommes pas à Rouen, mais à 30 km de Paris, le 3 juillet 2019, dans la plaine d'Achères (Yvelines).

    Le bâtiment réduit en cendres assurait une mission essentielle : éliminer les « matières en suspension » (MES) dans les eaux usées à l'aide d'un réactif chimique très toxique, le chlorure ferrique. Ces MES doivent impérativement être supprimées avant le rejet des eaux épurées dans la Seine, évitant ainsi une dégradation brutale de la qualité des milieux aquatiques. C'est ce qui s'est produit tout au long du mois de juillet, avec plus de 10 t de poissons morts dans la Seine.

    Une autre version.
    Alors les produits de Lubrizol chez Lubrizol étaient dangereux, les produits de Lubrizol stockés chez Normandie logistique ne l'étaient pas.
    Ils ont fait le tri donc.

    https://www.francebleu.fr/infos/environnement/incendie-a-rouen-les-produits-stockes-chez-normandie-logistique-n-etaient-pas-dangereux-assure-1570295506

    Normandie Logistique répond très calmement : "Lubrizol est un de nos clients, c'est logique que nous ayons ses produits chez nous. Des produits qui ne sont ni dangereux, ni toxiques, mais inflammables", assure le service de communication de l'entreprise.

    "Ce ne sont que des matières premières que stocke Normandie Logistique", veulent rassurer les deux entreprises. Un point de désaccord avec la préfecture, qui indique que Normandie Logistique stockait également des produits finis.

    Il senblerait que l inxendie vienne de l exterieur du site. Si c est le cas, sui l a provoque et pour queles motifs. On a entendu la pasteque qui est au C.M. de la ville. Il veut que l usine parte. Qu' elle le fasse et s installé dans pays de l est. Les salariés pourront voter pour le parti qui les aura envoyeß au chomdu. Bon, vu ce qui s est passé à paris, nul doute que ce pouvoir mafieux cachera le plus longtemps possible la vérité. Pas d amalgame et pas de désignation d une certaine mouvance.

    Après que les autorités nous ont bien expliqué que tout va bien sur le site, l'ineffable porte-parole du gouvernement en pyjama teletubbies aurait déclaré à Bourdin:

    " Si le président ne s'est pas encore rendu à Rouen, c'est parce que nous attendons les résultats complets des analyses, la sécurité du président doit être assurée "

    Etonnant, non ?

    villeurbanne aussi pas de quoi en faire un sujet
    c'est hallucinant cet effet du rechauffement climatique sur les incendies spontanés de poubelles de voitures d'eglises d'usines

    4 jours plus tard

    TOXICITE Selon la préfecture, 9.505 tonnes de produits ont brûlé, au total, lors de l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen, le 26 septembre

    Publié le 14/10/19 à 17h25 — Mis à jour le 14/10/19 à 19h21

    Lors de l’incendie de l’usine chimique Lubrizol à Rouen (Seine-Maritime), 4.252,047 tonnes de produits ont également brûlé chez Normandie Logistique, l’usine voisine, parmi lesquels 1.691 tonnes de produits Lubrizol, selon un document publié, ce lundi, sur le site de la préfecture.

    A ce tonnage, il faut ajouter les 5.253 tonnes de produits chimiques partis en fumée sur le site de Lubrizol lui-même. Ce qui porte à 9.505 tonnes, la quantité totale de produits brûlés lors du spectaculaire incendie du 26 septembre.

    Passé sous silence total par les merdias comme un simple incendie d'église ; cela va faire comme tout le reste, sous médiatisation progressive, ils ont des ordres ces vendus à l'islam .... de Doha et de Riyad.
    Et ce sera fakenewsement toujours un accident comme notre dame, Rouen, Villeurbanne ...

    vendredi 11 octobre 2019

    Aujourd’hui, c’est un incendie à La Guerche-sur-l’Aubois, à 50 km de Bourges : l’usine de production de produits fabriqués à partir du traitement des déchets des matières plastiques, Traidid, est en feu Avenue de la République depuis 14h30 ce vendredi. 30 sapeurs-pompiers sont sur place pour tenter de maîtriser l’incendie qui ravage les 5000 m² du bâtiment

    Curieux tous ces incendies d'usines dont les merdias ne vont bientot plus parler comme ils le font pour les eglises

      4 jours plus tard

      prosperyouplaboum

      Pareil en Ile-de-France.
      J'avais entendu qu'il y avait eu un "incident" puis passé sous silence. Or l'eau distribuée, en région parisienne, passait par cette station d'épuration.

      Là je viens de lire que c'était un site Seveso. On nous l'avait caché. Pourtant on a eu des problèmes de santé et mon médecin ne savait pas lui non plus pourquoi il y avait autant de malades chez nous.

      Saint-Germain-en-Laye : la sécurité de la station d’épuration du Siaap sera passée au peigne fin

      Après l’incendie du 3 juillet, un examen approfondi des structures de la station d’épuration Seine-Aval débutera en novembre.

      Le 18 octobre 2019 à 12h09, modifié le 18 octobre 2019 à 12h23

      La ministre l'a voulu, le Siaap va le faire. L'audit de sécurité qu'Emmanuelle Wargon, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de la transition écologique et solidaire, avait appelé de ses vœux moins d'une semaine après le grand incendie qui a détruit l'unité de clarifloculation* du site Seine-Aval le 3 juillet, doit démarrer à la mi-novembre.

      C'est ce que confirme Bélaïd Bedreddine, le président du Siaap (Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne). Il assistait, ce jeudi à Saint-Germain-en-Laye, à une réunion d'information organisée par le préfet des Yvelines Jean-Jacques Brot.

      Depuis le sinistre, il s'agissait du quatrième point d'étape tenu par le Siaap et les services de l'Etat afin d'informer les élus des Yvelines et du Val-d'Oise et les représentants de plusieurs associations. Avec cet audit, c'est l'ensemble des installations et des processus de sécurité du site de Saint-Germain-en-Laye, la plus grande station d'épuration d'Europe, qui seront passés au peigne fin.

      Un site classé Seveso
      La remise du rapport du cabinet extérieur qui procédera à l'audit est prévue pour le 30 juin 2020. La question de la sécurité incendie fera l'objet d'un rapport antérieur, dont la présentation aux services de l'Etat, en premier lieu la Driee (Direction régionale et interdépartementale de l'environnement et de l'énergie), particulièrement mobilisée sur le sujet, est pour l'instant fixée au 28 février.

      Outre le sinistre exceptionnel par son ampleur du mois de juillet, le risque incendie est particulièrement surveillé par les autorités et les populations avoisinantes qui observent d'un œil inquiet la série de trois feux survenus en moins de deux ans sur un site classé Seveso seuil haut et sur lequel sont stockés des produits chimiques classés dangereux.


      Saint-Germain-en-Laye, le 3 juillet. L’incendie avait été aperçu à plusieurs kilomètres à la ronde. Odile Tambou

      14 jours plus tard

      C'était pas toxique ?

      Incendie de Lubrizol à Rouen : Des traces d’hydrocarbures retrouvées dans le sang de mamans ou futures mamans

      Publié le 02/11/19 à 10h08 — Mis à jour le 02/11/19 à 10h08

      Éthylbenzène, toluène, xylène : voici ce qu’on a découvert dans le sang de mamans ou de futures mamans rouennaises qui avaient fait faire des prises de sang quelques jours après l’incendie de l’usine Lubrizol. C’est ce que révèle le quotidien régional Ouest-France. Ces produits, toxiques, sont en fait des résidus d’hydrocarbures. Chez les neuf femmes testées, les quantités retrouvées sont « variables », indique l’avocate à l’origine du test, Saliha Blalouz.

        cris C'était pas toxique ?

        attention, visiblement il y a eu beaucoup de manipulation via les réseaux sociaux de cette évènement !

        Défékator, youtubeur explique très bien cela, ainsi que les très nombreuses bourdes de communications de services gouvernementaux ou de la préfecture ...

        • cris a répondu à ça.

          Esscobar

          Là il n'y a rien de tel pour une manipulation. Il y en a même dans le lait maternel.

          Lubrizol. Des analyses montrent des traces d’hydrocarbures dans le lait maternel

          D'autres tests suivront.
          Ce sont, scientifiquement, les résultats des analyses qui ont été donnés par le CHU de Limoges.

          Le 7 octobre, neuf mamans ou futures mères, âgées entre 25 et 35 ans, ont accepté le prélèvement d’échantillons de lait et d’urine en présence d’un huissier de justice au sein du CHU de Rouen.
          Le laboratoire du CHU de Limoges (Haute-Vienne) a révélé ses premières conclusions jeudi 31 octobre 2019. Éthylbenzène, toluène, xylène : « Sur l’ensemble du panel, il y a des molécules d’hydrocarbures en quantité variable », Plusieurs plaintes doivent être déposées.

          Très bien, car on se souvient des fakes de photos d'oiseaux morts et de l'eau noir sortant du robinet ... 😉

          2 mois plus tard

          l'épidémie s'était un peu calmée

          Une importante explosion s'est produite ce mardi en fin après-midi vers 19 heures, dans une usine de pétrochimie de Tarragone en Catalogne. Un mort et des blessés sont à déplorer, au moins huit selon les médias locaux.
          L'origine de l'explosion n'est pas encore connue. Le premier bilan fait état de huit blessés et un mort. Les services d'urgence assurent que les flammes n'ont pas provoqué de nuage toxique

          Tout va bien vous pouvez continuer votre tennis

          Une explosion, suivie d'un incendie, dans une usine chimique à Tarragone (nord-est de l'Espagne) a fait mardi un mort, six blessés et un disparu, ont annoncé les autorités régionales.

          Comme d'habitude il n'y a aucune substance toxique. Ouf ! C'est rassurant...

          Importante explosion suivie d'un incendie dans une usine pétrochimique en Espagne

          Publié le mardi 14 janvier 2020 à 19h37 - Mis à jour le mardi 14 janvier 2020 à 22h24

          Les causes de l'explosion, qui s'est produite dans le complexe d'IQOXE (Industries chimiques d'oxyde d'éthylène), n'étaient pas connues dans l'immédiat. La Protection civile a assuré, de son côté, qu'aucune "substance toxique" n'avait été détectée dans les environs.

          Les pompiers ont indiqué qu'une trentaine d'équipes se trouvaient sur place pour éteindre l'incendie qui s'élevait d'un réservoir d'oxyde d'éthylène, et "refroidir les réservoirs voisins".

          Le responsable régional de l'Intérieur en Catalogne, Miquel Buch, "a confirmé que six personnes avaient été blessées, une morte et une disparue dans l'explosion à La Canonja", commune dans la province de Tarragone, ont tweeté ses services.

          Des vidéos montrant des grandes flammes et des des colonnes de fumée circulaient sur les réseaux sociaux.

          Une personne est morte à l'intérieur d'un bâtiment situé dans une ville proche du parc industriel, qui s'est effondré en raison de l'onde de choc, a précisé le Protection civile.

            cris Une explosion, suivie d'un incendie, dans une usine chimique à Tarragone (nord-est de l'Espagne)

            Le mégot serait rentré d'Australie???

            • cris a répondu à ça.

              Toujours est-il qu'à part le mégot balladeur, on n'a toujours aucun résultat des enquêtes sur ND de Paris et sur Rouen.

              C'est la nouvelle mode des jihadistes, incendier tout ce qui représente l'occident.
              C'est le cas en Australie ou des feux ont été allumé par deux musulmans dont aucun médias n'a parlé
              C'est le cas des nombreuses églises incendiées, dont Notre Dame
              c'est le cas des sites seveso en France et de nos forêts
              combien de temps faudra-t-il pour nettoyer ce politiquement correct qui nous envoie à l'abattoir.

              8 jours plus tard

              A la suite d'une fuite de gaz, une légère explosion et un incendie sont survenus dans une usine Seveso du Rhône. Il n'y a aucun blessé.

              Lyon : Une légère explosion ce jeudi matin dans une usine classée Seveso à Chasse-sur-Rhône

              Publié le 23/01/20 à 11h14 — Mis à jour le 23/01/20 à 17h15

              Plus de peur que de mal. Très tôt ce matin, aux alentours de 4h30 une explosion a eu lieu, dans une usine classée Seveso seuil haut, à Chasse-sur-Rhône, près de Lyon.

              Un incendie s’est déclaré dans l’un des ateliers de la société Finorga, à la suite d’une fuite de Buthyl lithium, un produit combustible au contact de l’air, indique la préfecture de l’Isère dans un communiqué.

              4 mois plus tard

              Huit mois après l'incendie de l'usine Lubrizol dans la nuit du 25 au 26 septembre 2019, un rapport de la commission d'enquête du Sénat publié ce jeudi 4 juin dénonce "des angles morts inacceptables" dans la prévention des risques industriels en France.

              "Angles morts inacceptables", "cacophonie" et "manquements" : le rapport au vitriol de la commission d’enquête sur l’incendie de Lubrizol

              Publié le 04/06/2020 à 15:29

              « Risques industriels : prévenir et prévoir pour ne plus subir », voilà le titre évocateur du rapport publié ce jeudi 4 juin par la commission d’enquête du Sénat. Dans un document cinglant, les sénateurs épinglent l’État et sa gestion de la catastrophe de l’usine Lubrizol à Rouen. Dénonçant notamment une « cacophonie de la parole publique » et « des manquements dans la gestion des conséquences sanitaires de l’accident », le rapport, long de 286 pages, en partie dévoilé par Le Monde et l'AFP, confirme le sentiment d’abandon et de confusion des Rouennais après l’incendie survenu dans la nuit du 25 au 26 septembre 2019.