[supprimé]
Ces financements ne sont pas sous la forme de pots-de-vins mais de rémunérations a priori légitimes mais qui, de par l'importance des dépenses consacrées et la stratégie globale, constituent en réalité une large toile d'influence.
Il invite des personnalités à donner des conférences généreusement rémunérées, il confie de grosses et nombreuses affaires à des avocats en vue qui deviendront bientôt juges (Soros est derrière la majorité des affaires instruites devant la CEDH - sans son appui vous avez peu de chance de voir votre affaire retenue), il crée une université qui bénéficie de prestigieux partenariats avec des universités américaines, ...
Ainsi il promeut ceux qui pensent comme lui, et crée une toile de gens influents et redevables qui l'aident à élargir sa toile.
C'est la même stratégie que celle utilisée par l'industrie pharmaceutique pour mettre la recherche en coupe réglée, avec le succès qu'on connaît.
C'est la même stratégie utilisée par tous les services diplomatiques. On en a d'ailleurs vu une belle illustration au début de la crise du coronavirus : la Chine avait fait nommer quelques personnes (non-chinoises) devenues redevables, qui ont ensuite aidé à recruter d'autres personnes devenues redevables, et quand le virus a surgi la Chine a empêché que l'alerte soit promulguée (maladroitement pour cette fois).
Aux USA Soros a même fait quelque chose de plus pervers : avec deux autres milliardaires il avait poussé une loi qui interdisait les financement des partis par les grandes fortunes. Si bien que les partis ont dû externaliser plusieurs de activités auprès de fondations tierces plus faciles à contrôler. C'est ainsi qu'aujourd'hui l'essentiel des sondages, de la réflexion prospective et du démarchage des démocrates sont réalisés par des fondations tierces financées par Soros, qui orientent le parti dans les directions voulues et soutiennent les candidats désirés.