Sargon Ce n'est pas juste de l’anti communisme l’église catholique a toujours été anti-révolutionnaire en générale et prêt de l'ordre établi et des structures de pouvoir.

A quand bien même la révolution serait l'incarnation de la réalisation complète et cocnrète de tous les principes les plus chrétiens qu'ils soient....

Sargon Mais la légende gaulliste et communiste qui a voulu que toute la France ait été résistante, a faussé la vision que nos concitoyens ont de cette période. Mais l’on a fait tout ce qu’il fallait pour qu’il en soit ainsi.

Faux le peuple Français à a été résistant chez les coco, on maintient que les élites étaient collabos et qu'elle mérite toujours à ce jour une bonne petite purge !

Pour ça que j'ouvre ce topique.

Ce sont les gaullistes qui ont d'une part cèdé aux anglosaxons, et à leur tenttaions anti-communiste il ont récupéré tout le gratin collabo dans leur administration, et après ces crétins sont allé se plaindre d'être infiltré par les ricains... Qui s'entendaient très bien avec les dit collabos. #Schuman #Petit père de l'€urope... Si on est dans cette merde c'est à cause des fachos qui se disent patriotes...

Plus d'info dans le dernier livre d'annie lacroix riz concernant la non épuration.

@bianchi51 Si tu jetais un coup d’œil aux infos qu'on a mit à disposition.

KRLS Hohoho Vous seriez surpris que nous sommes bien plus proche de la philosophie chrétienne que vous le pensez.....

Tu travaillera à la sueur de ton front ça te dis quelque chose? Lis clouscard et vous comprendrez que la pensée chrétienne est au cœur de notre philosophie, au cœur de celle de Rousseau au cœur de celle de Hegel Marx Clouscard...

Marchais a déjà écrit un livre communiste et chrétiens...

Nous avons des chrétiens dans nos rangs comme Bernard Friot.

  • KRLS a répondu à ça.

    Plariste-le-Revanite Tout Chrétien qui franchit la porte du parti communiste est de facto excommunié. Vous ne retenez qu'une vague dimension sociale et altruiste du christianisme, en mettant complètement de côté la transcendance, l'aspect divin ( l'essentiel !!!!! ) en raison de votre matérialisme athée. Aucun lien entre Christianisme et Communisme/Rousseauisme etc AUCUN

      Le christianisme oeuvre pour le bien commun comme le communisme.

      KRLS Tout catholique ! Pas tous chrétien.... Sinon excomuniez les premiers chrétiens qui étaient un anarcho communistes sur les bords.... Excomunniez le Père Gastond Fessard... Qui a justement résisté sous Vichy :

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaston_Fessard

      Le père Fessard fut notamment en novembre 1941 le rédacteur du premier numéro des Cahiers du Témoignage chrétien, intitulé "France, prends garde de perdre ton âme", qui appelait à s'opposer au nazisme au nom des valeurs chrétiennes. Il contesta également l'obligation d'obéir au régime de Vichy en élaborant la théorie du « prince esclave », empruntée à Clausewitz : il convient d'obéir au prince lorsqu'il reste souverain et agit au nom du bien commun, mais la résistance s'impose au prince-esclave dont la souveraineté est limitée et l'action dictée par l'occupant.

      La rigueur de ses analyses, son souci de confrontation au monde contemporain – dans la lumière de sa foi catholique –, lui donnent une clairvoyance exceptionnelle (par ex. temporalité et péché originel), en philosophie politique (échec annoncé du nazisme). L'une de ses caractéristiques est une approche par la voie dialectique : par exemple celle du maître et de l'esclave, inspirée de Hegel2, ou encore celles de l'homme et de la femme, ou du juif et du païen.

      Gaston Fessard fut, au cours du XXe siècle, un analyste remarqué des grands phénomènes politiques mondiaux, à l'égal d'un Raymond Aron, dont il fut l'ami pendant près d'un demi-siècle et dont il baptisa même une des filles. Raymond Aron dit du Père Fessard lors d'une conférence à Rome : « si l'on se souvient de ses prises de positions successives, il est difficile de ne pas admirer sa clairvoyance et son courage »3.

      L'éthique sociale a une grande place dans sa pensée, mais l'axe essentiel serait tout ce qui se rapporte à l'histoire et à l'historicité.

      Il a lu Hegel le père Philosophique de Marx. Il a appliqué le principe de Rousseau du souverain et du prince... Qui est lui même inspiré du christ qui lave les pieds de ses disciples... Le roi est serviteur. Vous ne trouverez pas plus marxiste comme concept désolé...

      KRLS en mettant complètement de côté la transcendance

      Ho que non, le sujet transcendantal est au cœur de notre philosophie, le royaume de dieu n'est pas de ce monde mais cet autre monde est déjà dans celui-ci.

      Le sujet transcendental dépasse de loin la notion païenne de divin, il est suprême il est absolu, non il est total il est complet cohérent, c'est à dire pas comme ce monde.
      Le transcendantal est un néologisme inventé par Kant à la base.

      Rousseau à mis sur papier le concret de la réalisation des valeurs chrétiennes.
      Lisez marx et la question juives concernant les dites valeurs chrétiennes.

      • KRLS a répondu à ça.

        Plariste-le-Revanite .. Sinon excomuniez les premiers chrétiens qui étaient un anarcho communistes sur les bords....

        Ce sont là vos délires fièvreux ! Les premiers Chrétiens étaient Catholiques avec la Foi Catholique de Chrétiens de l'an 400 / 800 / 1200 / 1600 /2000. Le mythe des premiers chrétiens pervertit ensuite par l'Eglise Catholique (sic) qui aurait été un instrument de pouvoir financier et politique, c'est tout le bla bla bla des parpaillots et de la lie qui s'en est suivi.


        Vos balivernes ne convainquent personnes. Le Christianisme n'a strictement rien à voir avec les communistes et leur " transcendance " de carnaval dont vous déblatérez à loisir .


        La transcendance c'est le Salut après la mort.


        Excomunniez le Père Gastond Fessard... Qui a justement résisté sous Vichy :

        En effet, s'opposer à la Restauration Nationale est inadmissible.

          KRLS

          KRLS Ce sont là vos délires fièvreux ! Les premiers Chrétiens étaient Catholiques avec la Foi Catholique de Chrétiens de l'an 400 / 800 / 1200 / 1600 /2000. Le mythe des premiers chrétiens pervertit ensuite par l'Eglise Catholique (sic) qui aurait été un instrument de pouvoir financier et politique, c'est tout le bla bla bla des parpaillots et de la lie qui s'en est suivi.

          Houlà c'est du sacré lavage de cerveau.... le mouvement christique devient massif dès 90 après Jésus christ.... Notamment chez les esclaves qui font le lien avec spartaccus... Dans tout l'empire Romain le judaïsme et christianisme se répandent...

          Se forme des communautés chrétiennes qui vive recules dans leur coin, des hommes qui ne se prosternent que devant dieu, pas même devant l'empereur.... Les romains alors inventent la religion orthodoxes, c'est un syncrétisme entre paganisme gréco-romain et christianisme.. Pour essayer de soumetrte ces communauté à l'empreur....

          Puis vient le schisme et la religion catholique encore plus éloignée de la foie dirigée par un petit roitelet nommé le Pape.. Le catholicisme est un syncrétisme entre arianisme paganisme tout provenance et une petite dose de christianisme..

          KRLS La transcendance c'est le Salut après la mort.

          C'est le seul défaut du christianisme oriental, qui vient de terres désertiques où le seul salut qu'il y a est après la mort.... Mais en s'exportant à l'ouest avant que les romains ne récupèrent le christianisme, il s’est produit quelque chose de miraculeux, le christianisme s'est propagé dans des terres fertiles où il y a de l'espoir...

          M'enfin bref c'est le seul aspect que le catholicisme a gardé de la religion orientale, si vous aviez interroger Yusuf Salman Yusuf
          https://en.wikipedia.org/wiki/Yusuf_Salman_Yusuf

          Martyr chrétien de l’oppression pro musulmane et anti communisme de Sadam quand les U.S le supportait encore.
          Vous seriez le premier vous à le déclarer hérétique et demander l'exconunication.
          Mais il n'en aurait rien branlé car pour lui le pape c'est juste un roitelet qui vit en Italie loin de chez-lui alors que dieu est à ses côté chaque jour.

          C'est malhonnête de dire que le ctaholiscisme ça représente toute la chrétientée le christianisme existait déjà avant Calvin Avant le Pape et l'empire romain d'orient.

          bianchi51 C'est warhammer, ils bénissent les armes des soldats avec de l'escent avant d'aller à la bataille !

          @katou Pailles ton pacifisme... Tu sais Katou si tu refuse de voir la vérité tu va un jour devenir aveugle.

          KRLS En effet, s'opposer à la Restauration Nationale est inadmissible.

          O.K ça clarifie votre position de fachos, vous savez que la stratégie de vos camarades c'est justement de mentir à ce sujet? De ne pas assumer? C'est justement pour ça qu'il aimeraient que vous fermiez votre gueule...

          KRLS Tu sais qu'en disant la vérité tu compromet gravement les nazis et l’église catholique.. Et tu peins l'oncle jo comme un bon petit père des peuples?

            Plariste-le-Revanite Houlà c'est du sacré lavage de cerveau.... le mouvement christique devient massif dès 90 après Jésus christ.... Notamment chez les esclaves qui font le lien avec spartaccus... Dans tout l'empire Romain le judaïsme et christianisme se répandent...

            Se forme des communautés chrétiennes qui vive recules dans leur coin, des hommes qui ne se prosternent que devant dieu, pas même devant l'empereur.... Les romains alors inventent la religion orthodoxes, c'est un syncrétisme entre paganisme gréco-romaine et christianisme.. Pour essayer de soumetrte ces communauté à l'empreur....

            Puis vient le schisme et la religion catholique encore plus éloignée de la foie dirigée par un petit roitelet nommé le Pape.. Le catholicisme est un syncrétisme entre arianisme paganisme tout provenance et une petite dose de christianisme..

            Source ? Stroumsa ? ....

            Il n'y a pas signe d’Église "orthodoxe" avant le concile de Chalcédoine (451), encore moins "inventée" par les romains. Si vous parlez d'orthodoxie au sens littéral, elle ne signifie qu'une conformité aux doctrines de l'Église. Ce qui se heurte à votre "syncrétisme entre paganisme gréco-romaine et christianisme" qui justement est celui des premiers Empereurs "chrétiens" au IVème siècle. Quant à votre "mouvement christique massif dès 90 après JC", il ne représente qu'une minorité dans l'Empire, même à cette époque tardive (IVème siècle). Il n'a rien à voir avec Spartacus sauf dans la piètre littérature marxiste.

            Le premier concile de Nicée (325), bien qu'organisé par l'empereur Constantin Ier, ne va pas du tout confirmer son "syncrétisme entre paganisme gréco-romaine et christianisme" (son trip persistant avec le Sol Invictus) et il condamne l'arianisme. Vous pouvez alors parler "d'orthodoxie" mais pas encore "d’Église orthodoxe".

            Il en ressort principalement ce que l'on nomme aujourd'hui le "symbole de Nicée" ou la première version du credo et 20 canons :

            Symbole de Nicée a écrit

            Nous croyons en un Dieu, Père tout-puissant, créateur de toutes les choses visibles et invisibles; et en un Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, unique engendré du Père, c'est-à-dire de la substance [ousia] du Père, Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non créé, consubstantiel [homoousios] au Père, par qui tout a été fait, ce qui est dans le ciel et ce qui est sur la terre; qui, pour nous, les hommes, et pour notre salut, est descendu, s'est incarné, s'est fait homme, a souffert, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux et viendra juger les vivants et les morts; et en l'Esprit Saint.

            Pour ceux qui disent: " Il fut un temps où il n'était pas " et: " Avant de naître, il n'était pas " et: " Il a été créé du néant ", ou qui déclarent que le Fils de Dieu est d'une autre substance [hypostasis] ou d'une autre essence [ousia], ou qu'il est soumis au changement ou à l'altération, l'Église catholique et apostolique les anathématise.

            Canons a écrit
            1. De ceux qui sont devenus eunuques de leur propre gré ou qui l'ont subi de force.

            Si quelqu'un a été mutilé par les médecins durant une maladie, ou bien par les barbares, qu'il reste dans le clergé; mais si quelqu'un étant en bonne santé s'est mutilé lui-même, qu'on l'exclue du clergé dont il fait partie, et à l'avenir on ne devra pas admettre celui qui aura agi ainsi. Mais comme il est évident que ce qui vient d'être dit ne regarde que ceux qui ont agi avec intention et qui ont eux-mêmes voulu se mutiler; ceux qui l'auront été par les barbares ou par leurs maîtres pourront, conformément à la règle ecclésiastique, être reçus dans la cléricature, s'ils en sont dignes par ailleurs.

            1. De ceux qui entrent dans la cléricature aussitôt après le baptême.

            Comme soit par nécessité, soit que l'on ait été poussé par d'autres motifs, plusieurs choses contraires à la règle ecclésiastique se sont produites: ainsi on a accordé le bain spirituel et aussitôt après le baptême la dignité épiscopale ou sacerdotale à des hommes, qui avaient à peine passé de la vie païenne a la foi, et qui n'avaient été instruits que pendant très peu de temps; il est juste qu'à l'avenir on n'agisse plus ainsi, car il faut un temps d'épreuve au catéchumène, et après le baptême une plus longue épreuve. Elle est claire la parole de l'apôtre disant "que l'évêque ne soit pas néophyte, de peur que par orgueil il ne tombe dans le jugement et dans le piège du démon". Si dans la suite un clerc se rend coupable d'une faute grave, constatée par deux ou trois témoins, il doit cesser d'appartenir au clergé. Celui qui agit contre cette ordonnance, vu qu'il se montre désobéissant à l'égard de ce grand concile, risquera lui-même de perdre sa place dans le clergé.

            1. Des femmes qui cohabitent avec des clercs.

            Le grand concile a défendu absolument aux évêques, aux prêtres et aux diacres, et en un mot à tous les membres du clergé, d'avoir avec eux une soeur-compagne, à moins que ce ne fût une mère, une soeur, une tante, ou enfin les seules personnes qui échappent à tout soupçon.

            1. Par combien d'évêques un évêque est élu.

            L'évêque doit être avant tout choisi par tous ceux de la province; mais si une nécessité urgente ou la longueur de la route s'y opposait, trois évêques absolument doivent se réunir et procéder à l'élection, munis du consentement écrit des absents. La confirmation de ce qui s'est fait revient de droit dans chaque province à l'évêque métropolitain.

            1. Des excommuniés, qu'il ne faut pas que d'autres les reçoivent, et des synodes à réunir deux fois par an.

            Pour ce qui est des excommuniés clercs ou laïcs, la sentence portée par les évêques de chaque province doit avoir force de loi, conformément à la règle prescrivant que celui qui a été excommunié par l'un ne doit pas être admis par les autres. Il faut cependant s'assurer que l'évêque n'a pas porté cette sentence d'excommunication par étroitesse d'esprit, par esprit de contradiction ou par quelque sentiment de haine. Afin qu'un tel examen puisse avoir lieu, il a paru bon d'ordonner que dans chaque province on tint deux fois par an un synode, afin que tous les évêques de la province étant réunis, on fasse toutes les enquêtes nécessaires; ainsi ceux qui de l'avis commun auraient désobéi à leur évêque seront justement considérés par tous comme excommuniés, jusqu'à ce qu'il plaise à l'assemblée des évêques d'adoucir leur sentence. Ces conciles devront se tenir l'un avant le quarantième jour pour que, ayant éloigné tout sentiment pusillanime, l'on puisse présenter à Dieu une offrande pure, et le second pendant l'automne.

            1. De la primauté revenant à certains sièges et de ce qu'il ne faut pas nommer un évêque sans l'avis du métropolitain.

            Que l'ancienne coutume en usage en Égypte, dans la Libye et la Pentapole soit maintenue, c'est-à-dire que l'évêque d'Alexandrie conserve la juridiction sur toutes ces provinces, car il y a le même usage pour l'évêque de Rome. On doit de même conserver aux Églises d'Antioche et des autres diocèses leurs anciens droits.

            Il est bien évident que si quelqu'un est devenu évêque sans l'approbation du métropolitain, le concile décide qu'un tel n'est même pas évêque. D'autre part, l'élection ayant été faite par tous avec discernement et d'une manière conforme aux règles de l'Église, si deux ou trois font de l'opposition par pur esprit de contradiction, la majorité l'emportera.

            1. De l'évêque d'Aelia (Jérusalem).

            Comme la coutume et l'ancienne tradition portent que l'évêque d'Aelia doit être honoré, qu'il obtienne la préséance d'honneur, sans préjudice cependant de l'autorité qui revient à la métropole.

            1. De ceux qui se disent cathares.

            Au sujet des clercs de ceux qui s'appellent eux-mêmes les cathares le grand concile décide, si jamais ils veulent entrer en groupe dans l'Église catholique et apostolique, qu'on leur impose les mains, et qu'ils restent ensuite dans le clergé; mais avant tout ils promettront par écrit de se soumettre aux règles disciplinaires de l'Église catholique et apostolique, et d'y conformer leur conduite, c'est à dire qu'ils devront communier avec ceux qui se sont mariés en secondes noces et avec ceux qui ont failli pendant la persécution, mais font pénitence de leurs fautes; pour lesquels on a justement établi un temps d'épreuve et on en a fixé la modalité, afin qu'ils puissent être admis a toutes les pratiques de l'Église catholique et apostolique. Par conséquent, lorsque dans les villages et dans les villes il ne se trouve que des clercs de leur parti, ceux-ci gardèrent leur rang; mais si un prêtre ou un évêque catholique se trouvait là pour recevoir l'un ou l'autre d'entre eux, il est évident que l'évêque de l'Église catholique conservera la dignité épiscopale, tandis que celui qui a été décoré du titre d'évêque par les cathares n'aura droit qu'aux honneurs réservés aux prêtres, à moins que l'évêque ne trouve bon de le laisser jouir de l'honneur du titre; s'il ne le veut pas, qu'il lui donne une place de chorévêque ou de prêtre, afin qu'il paraisse faire réellement partie du clergé, sans qu'il y ait deux évêques dans une ville.

            1. De ceux qui sont promus au sacerdoce sans enquête.

            Si quelques-uns ont été sans enquête élevés à la prêtrise, ou si au cours de l'enquête ils ont avoué leurs fautes et malgré cet aveu des hommes désobéissant au canon leur ont imposé les mains, le canon n'admet pas de tels sujets dans le clergé; car l'Église catholique exige d'être irrépréhensible.

            1. De ceux qui ont renié leur foi pendant la persécution, puis furent admis à la cléricature.

            Les lapsi qui auront été ordonnés, soit que ceux qui les ont ordonnés aient ignoré leur chute, soit qu'ils l'aient négligée, ne sauraient réclamer d'une prescription en faveur de leur appartenance au clergé; ils seront déposés dés qu'on aura connu leur faute.

            1. De ceux qui ont renié leur foi et sont parmi les laïcs.

            Quant à ceux qui ont failli pendant la tyrannie de Licinius sans y être poussés par la nécessité ou par la confiscation de leurs biens ou par un danger ou rien de pareil, le concile décide qu'on les traitera avec ménagement, quoique, à la vérité, ils ne s'en soient pas montrés dignes. Ceux d'entre eux qui sont véritablement repentants et qui sont déjà baptisés, feront pénitence pendant trois ans parmi les audientes, et sept ans avec. Les substrati; et les deux années suivantes ils participeront avec le peuple fidèle aux prières, sans prendre part à l'offrande.

            1. De ceux qui ont quitté les rangs de l'armée, puis retournèrent dans le siècle.

            Ceux qui appelés par la grâce et obéissant au premier mouvement ont déposé leur ceinturon, mais qui ensuite semblables à des chiens sont revenus à leurs vomissements, au point que certains ont même donné de l'argent et des présents pour être réintégrés dans le service public, ceux-là devront rester trois ans parmi les audientes et dix ans parmi les substrati. Mais pour ces pénitents il faut avoir soin d'étudier leurs sentiments et leur genre de contrition; en effet, ceux d'entre eux qui avec crainte et des larmes accompagnées de soumission à la pénitence et de bonnes oeuvres, montrent ainsi par des faits la sincérité d'un retour réel, après avoir accompli le temps de leur pénitence parmi les audientes, pourront être admis à prier avec les fidèles, et il dépend même de l'évêque de les traiter avec quelque plus d'indulgence. Quant à ceux qui supportent avec indifférence la pénitence imposée et pensent que cette sorte d'admission à l'Église suffit à leur retour, ceux-là seront tenus de faire tout le temps prescrit.

            1. De ceux qui demandent à être reçus dans le sein de l'Église a l'heure de la mort.

            On doit observer à l'égard des mourants l'antique et traditionnelle loi de ne pas priver du dernier et si nécessaire viatique celui qui est près de mourir. Si après avoir été dans un état désespéré et admis à la communion, il revient à la vie, il doit être placé parmi ceux qui ne participent qu'à la prière, jusqu'à l'accomplissement du temps fixé par ce grand concile oecuménique. En règle générale l'évêque doit donner l'eucharistie après enquête à toute personne qui, étant sur le point de mourir, la demande.

            1. Des catéchumènes qui ont failli.

            Le saint et grand concile ordonne que les catéchumènes qui ont failli soient seulement audientes pendant trois ans; ils pourront après cela prier avec les autres catéchumènes.

            1. Du clerc qui passe d'un diocèse à un autre.

            Les troubles et les divisions nous ont fait juger bon d'abolir la coutume qui, contrairement au canon, s'est établie dans certains pays; en sorte qu'il est défendu aux évêques, aux prêtres et aux diacres de passer d'une ville à une autre. Si quelqu'un ose après le présent décret du saint et grand concile faire pareille chose ou s'y emploie, ses machinations seront frappées de nullité et il devra revenir dans l'église pour laquelle il avait été ordonné évêque, prêtre ou diacre.

            1. De ceux qui ne restent pas dans les paroisses pour lesquelles on les avait ordonnés.

            Les prêtres ou les diacres ou en général ceux du clergé qui audacieusement, sans considérer la crainte de Dieu et, ignorant la discipline ecclésiastique, abandonnent leur église, ne doivent en aucune façon être reçus dans une autre église; on doit les forcer de toutes manières à revenir dans leur diocèse, et s'ils s'y refusent, on doit les excommunier. Si quelqu'un ose, pour ainsi dire, voler un sujet qui appartient à un autre évêque, et s'il ose l'ordonner pour sa propre église sans la permission de l'évêque, au clergé duquel ce clerc appartient, l'ordination sera nulle.

            1. Des clercs qui prêtent à l'intérêt.

            Comme plusieurs de ceux qui sont inscrits sur le rôle du clergé, remplis d'avance et d'esprit d'usure, oubliant la parole sacrée, qui dit: "Il n'a pas donné son argent à intérêt", prêtent et exigent des centièmes, le saint et grand concile a jugé juste d'ordonner que si quelqu'un après la publication de ce décret prend des intérêts pour un prêt ou pour n'importe quel motif, ou bien retient la moitié du prêt, ou invente autre chose en vue de réaliser un gain honteux, il sera exclu du clergé et son nom rayé du rôle.

            1. Que les diacres ne doivent pas donner la communion aux prêtres, ni s'asseoir en leur présence.

            Il est venu à la connaissance du saint et grand concile que dans certains endroits et dans certaines villes les diacres distribuent l'eucharistie aux prêtres, ce qui est contraire au canon et à la coutume, de faire donner en communion le corps du Christ à ceux qui l'offrent en sacrifice par ceux qui ne peuvent l'offrir; il a été mandé également que certains diacres se communiaient même avant les évêques. Tout cela doit cesser; les diacres doivent se tenir dans les limites de leurs attributions, se souvenir qu'ils sont les serviteurs des évêques, et inférieurs aux prêtres. Ils ne doivent recevoir la communion qu'après les prêtres, ainsi que l'ordre l'exige, que ce soit un évêque ou un prêtre qui la leur distribue. Les diacres ne doivent pas non plus s'asseoir parmi les prêtres, cela est contre la règle et contre l'ordre. Si quelqu'un refuse d'obéir aux présentes prescriptions, il sera suspendu du diaconat.

            1. De ceux qui reviennent à l'Église de la secte de Paul de Samosate.

            A l'égard des paulianistes qui reviennent à l'Église catholique, une ordonnance fut édictée, portant qu'ils doivent absolument être rebaptisés. Si quelques-uns d'entre eux étaient auparavant membres de leur clergé, ils seront rebaptisés, puis ordonnés par l'évêque de l'Église catholique, à la condition toutefois qu'il aient eu une vie sans tache et irréprochable; mais si l'enquête montre qu'ils sont indignes, on doit les exclure du clergé. On agira de même à l'égard des diaconesses, et en général la même règle sera observée pour tous ceux qui sont inscrits sur les rôles du clergé. Nous mentionnâmes celles, qui chez les paulianistes sont inscrites comme diaconesses, parce qu'elles n'ont pas reçu d'imposition des mains et qu'elles doivent absolument être comptées parmi les laïcs.

            1. Qu'il ne faut pas plier le genou aux jours de dimanche et au temps de la pentecôte.

            Comme quelques-uns plient le genou le dimanche et aux jours du temps de la pentecôte, le saint concile a décidé que, pour observer une règle uniforme dans tous les diocèses, tous adresseront leur prières à Dieu en restant debout.

              Plariste-le-Revanite Lis les encadrés à droite. Carrefour entre l'actuel Hongrie Ukraine et Pologne.

              Tu as oublié, tête de noeud, que ce bled complètement paumé au milieu de tout est censé impliqué "l'Eglise catholique"..

              Tu as également oublié, insondable pignouf, que les habitants de ce patelin perdu ont subi les sévices de tes amis soviets avant de subir ceux de tes autres amis nazis.

              Bref, pour occulter le rôle de collabos actifs de l'union sovietique, tu as été chercher 30 mecs paumés dans les steppes.

              maîtrise d'histoire lol

                KRLS Hé oui il y avait des aumoniers dans les divisions SS (n'en déplaise à Cembaba) mais jamais dans les tranchées de l'oncle Jo

                la ferme l'apostat

                et écris : "Et il faut le reconnaître, notre crime à nous dans ce cas est plus grand que celui des Juifs. Car eux, au témoignage de l’Apôtre (Cor., 2, 8.), s’ils avaient connu le Roi de gloire, ils ne L’auraient jamais crucifié. Nous, au contraire, nous faisons profession de Le connaître. Et lorsque nous Le renions par nos actes, nous portons en quelque sorte sur Lui nos mains déicides"

                tu vas encore en prendre plein la gueule, le we approche ;-))

                  c'est plutôt l'Eglise Catholique et Pétain et le Nazisme et le Bolchevisme et le projet sioniste et le capitalisme bourgeois ( je dois en oublier).
                  on peut décomplexifier l'analyse d'une situation en supprimant des intervenants mais que vaut cette analyse dans ce cas ? presque que dalle à mon avis.