knulp Un gars qui m'a toujours dégoûté, sa méchanceté malsaine était palpable.
Rien à voir avec Zemmour et Naulleau qui savaient être méchants également mais qui savaient s'arrêter.
Moix et Angot, ça n'était plus "on n'est pas couché" mais "on est couché sur le canapé pour un moment".
Deux psychopathes qui m'ont écœuré de l'émission que je ne regarde plus depuis.
Oui, on peut dire que ce sont deux psychopathes, rien à voir avec Zemmour et Naulleau qui sont évidemment dans la normalité. Moix et Angot ont aussi une sexualité faite de fantasmes, ils ne sont pas crédibles.
Pourquoi le frère, Alexandre, n'est pas intervenu plus tôt pour dire la vérité ? il l'explique dans sa lettre.
"Malgré tout cela, je lui pardonnais quand même. Naïveté d'un cadet qui lève des yeux d'admiration sur son grand frère ou syndrome de Stockholm ? Il y a quelques mois encore, je me suis surpris à un élan de tendresse fraternelle. Je le voyais comme un Petit Prince malheureux sur sa planète, un Petit Prince abîmé par les corrections qu'il écopait de mon père, mais qui, pourtant, faisaient suite aux sévices, eux bien réels, qu'il m'infligeait. Tiraillé entre le supplice qu'il me faisait subir et ses pleurs lorsqu'il se faisait corriger, je me sentais coupable.
Aujourd'hui, je ne peux plus le plaindre, le couvrir ni me taire. Il sacrifie la réalité sur l'autel de ses ambitions littéraires. C'en est trop.
Face à l'ampleur des immondices qu'il déverse dans son roman et dans les interviews qu'il donne, j'avais préféré imaginer un instant que mon frère avait pu y croire lui-même, qu'il s'était laissé abuser par une psychothérapie déviante, de celles qui font s'approprier des faux souvenirs, de celles qui font dénoncer des crimes qui n'ont pas été commis. De celles qui prônent la libération de la parole, quelle qu'elle soit, même fantasmée. Or j'ai appris que Yann se vantait en privé d'avoir tout exagéré, à l'excès, à dessein."