James

Les gens préféreraient le méchant capitalisme ?

    cemab
    Oui, mais c'est leur coté obscur.

    Les gens n'ont pas compris l'idéal communiste, c'est pour cela qu'il faut les enfermer tant qu'ils ne comprennent pas.
    Et s'ils ne comprennent toujours pas, pour leur bien, et celui de la communauté, tu les exécutes.

    Mais c'est pour leur bien !!!
    Et puis, de toute façon, tu n'as rien à dire parce qu'en France, ce n'est pas mieux.

    Le communisme c'est simple.
    Si le peuple n'est pas d'accord avec le communisme, il faut éliminer le peuple.

      wolfy Bah vous n'êtes pas mieux si le peuple est rouge et socialo faut le ré-immigrer dans le tiers monde même si c’est un français de souche avec un grande père communiste et résistant déporté dans les camps durant la seconde !

      Dans ce contexte politique, ça devient c'est eux ou nous.

        Plariste-le-Revanite si le peuple est rouge et socialo

        Mais le peuple n'est jamais rouge et socialo, ou en tout cas, il ne le reste pas longtemps dès qu'il voit les dégâts
        C"est juste la classe dirigeante qui l'est, et qui rapidement opprime le peuple.

        Et je reviens vers l'argument minable que tu nous sors tout le temps, ce n'est pas parce que d'autres ne sont pas mieux à tes yeux que ça justifie quoi que ce soit pour ton idéologie criminelle.

          James Mais le peuple n'est jamais rouge et socialo

          Ha bah à la libération.....

          James Mais le peuple n'est jamais rouge et socialo, ou en tout cas, il ne le reste pas longtemps dès qu'il voit les dégâts
          C"est juste la classe dirigeante qui l'est, et qui rapidement opprime le peuple.

          Pouvoir d'holliwood.

          Lisez des livres restez pas con....

          James C"est juste la classe dirigeante qui l'est, et qui rapidement opprime le peuple.

          Alors qu'elle opprime le peuple oui... Qu'elle soit socialo........ Ho mon dieu, putain qu'est-ce qu'il en faut pas lire..... Vous atteigne des niveau de conneries qui sont cosmiques...
          Manquerait plus que Gattaz soit socialiste...
          J'aimerai vous prendre au sérieux pour l'effort et vous demander de me donnez votre définition du socialisme, mais je vais plutôt vous demandez c'est quoi la drogue que vous prenez ça à l'air juste méga puissant...
          Vous faîtes des tours en Colombie????? Non mais sérieusement sérieusement sérieusement je veux savoir? Allez-vous vous ravitailler en Colombie ou dans le triangle d'or?

            Plariste-le-Revanite
            Je ne prends aucune drogue, mais vu ce que tu nous ponds, tu dois être sévèrement chargé.
            Tu n'as pas l'impression de divaguer totalement ?

            Je te parle de ton idéologie criminelle, tu me ponds un graphique sur ce que pensent les gens sur la défaite de l'Allemagne ?
            Et tu crois que c'est moi qui fume ?

            Toujours les mêmes refrains, toujours tout à l'envers, c'est le propre du socialisme.
            La vocation de la liberté, en mettant les gens en prison pour leurs idées ...

            Oui, je sais, d'autres idéologies le font aussi, donc, c'est pas grave ...

              James T'as littéralement un shadock en avatar... Mais sérieusement réponds à cette question : est-ce que el MEDEF est socialiste? est-ce que Margaret Thacher est socialiste? Est-ce que Parisot est socialiste? Est-ce que Gattaz est socialiste? Est-ce que Ernest Antoine sellière est socialiste?
              Est-ce que denis Kessler est socialiste?

              Adieu 1945, raccrochons notre pays au monde !

              Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s'y emploie.

              Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme...

              A y regarder de plus près, on constate qu'il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C'est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s'agit aujourd'hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance !

              A l'époque se forge un pacte politique entre les gaullistes et les communistes. Ce programme est un compromis qui a permis aux premiers que la France ne devienne pas une démocratie populaire, et aux seconds d'obtenir des avancées - toujours qualifiées d’«historiques» - et de cristalliser dans des codes ou des statuts des positions politiques acquises.

              Ce compromis, forgé à une période très chaude et particulière de notre histoire contemporaine (où les chars russes étaient à deux étapes du Tour de France, comme aurait dit le Général), se traduit par la création des caisses de Sécurité sociale, le statut de la fonction publique, l’importance du secteur public productif et la consécration des grandes entreprises françaises qui viennent d’être nationalisées, le conventionnement du marché du travail, la représentativité syndicale, les régimes complémentaires de retraite, etc.

              Cette «architecture» singulière a tenu tant bien que mal pendant plus d'un demi-siècle. Elle a même été renforcée en 1981, à contresens de l’histoire, par le programme commun. Pourtant, elle est à l’évidence complètement dépassée, inefficace, datée. Elle ne permet plus à notre pays de s’adapter aux nouvelles exigences économiques, sociales, internationales. Elle se traduit par un décrochage de notre nation par rapport à pratiquement tous ses partenaires.

              Le problème de notre pays est qu'il sanctifie ses institutions, qu’il leur donne une vocation éternelle, qu’il les «tabouise» en quelque sorte. Si bien que lorsqu’elles existent, quiconque essaie de les réformer apparaît comme animé d’une intention diabolique. Et nombreux sont ceux qui s’érigent en gardien des temples sacrés, qui en tirent leur légitimité et leur position économique, sociale et politique. Et ceux qui s’attaquent à ces institutions d’après guerre apparaissent sacrilèges.

              Il aura fallu attendre la chute du mur de Berlin, la quasi-disparition du parti communiste, la relégation de la CGT dans quelques places fortes, l’essoufflement asthmatique du Parti socialiste comme conditions nécessaires pour que l’on puisse envisager l’aggiornamento qui s’annonce. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi que le débat interne au sein du monde gaulliste soit tranché, et que ceux qui croyaient pouvoir continuer à rafistoler sans cesse un modèle usé, devenu inadapté, laissent place à une nouvelle génération d’entrepreneurs politiques et sociaux. Désavouer les pères fondateurs n’est pas un problème qu’en psychanalyse.

              Denis Kessler

              (Fin de citation)

              Est-ce que ça c'est un discourt socialiste?

              Dernière divagation hors sujet ; est ce que le MEDEF est socialiste.
              Une plaie de discuter avec ce type ...

                James Non, c'est un détour vital pour pouvoir poursuivre la conversation, impossible de débattre si on ne parle pas la même langue !

                James est ce que le MEDEF est socialiste.

                Ha moi je suis comme Socrate je ne sais rien vous savez tout.

                  Plariste-le-Revanite Ha moi je suis comme Socrate je ne sais rien vous savez tout.

                  aux dernières news , c'est "je sais une chose : que je ne sais rien."
                  ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα
                  (sous réserve vu que je ne suis pas philosophe) mais c'est fondamentalement différent

                    cemab Quand Socrate dit je ne sais rien c'est pour laisser parler son interlocuteur.

                    "Ha moi je ne sais rien, c'est vous l'astrologue, dîtes-moi ce que vous appelez le soleil je vous dirais si ça existe;"

                      Plariste-le-Revanite "Ha moi je ne sais rien, c'est vous l'astrologue, dîtes-moi ce que vous appelez le soleil je vous dirais si ça existe;"

                      Quand je l’eus quitté, je raisonnai ainsi en moi-même : je suis plus sage que cet homme. Il peut bien se faire que ni lui ni moi ne sachions rien de fort merveilleux ; mais il y a cette différence que lui, il croit savoir, quoiqu’il ne sache rien ; et que moi, si je ne sais rien, je ne crois pas non plus savoir. Il me semble donc qu’en cela du moins je suis un peu plus sage, que je ne crois pas savoir ce que je ne sais point.
                      Apologie de Socrate, Platon

                      car si je fais naître des doutes dans l'esprit des autres, ce n'est pas que j'en sache plus qu'eux : je doute au contraire plus que personne, et c'est ainsi que je fais douter les autres. Maintenant, quant à la vertu, je ne sais point du tout ce que c'est
                      Ménon, Platon

                        cemab On a fait des progrès philosophiques entre temps on en a fini avec le scepticisme de l'extrême.

                        Moi j'ai envie d'en finir avec ce détour pas de le rallonger djeimsie le sophiste nous fait divaguer très loin du sujet de base.
                        Une fois la définition de socialiste clarifié on pourra reparler du système cubain pour le moment personne n'a osé émettre ne serait-ce qu'une critique constructive de la mécanique politique cubaine, ni des constituantes ni des CDRs etc etc etc etc...

                          Plariste-le-Revanite On a fait des progrès philosophiques entre temps on en a fini avec le scepticisme de l'extrême.

                          m'est avis qu'on traduit encore Platon de la même manière qu'il y a 30 ans

                            cemab Je dis juste que la méthode socratique c'est bien mais c’est un peu vieillo c'est juste un outil parmis d'autres. Là je m'en sert juste pour remettre les choses au clair !

                            Pouvez-vous répondre à la place de Djeimise?

                            Mais sérieusement réponds à cette question : est-ce que el MEDEF est socialiste? est-ce que Margaret Thacher est socialiste? Est-ce que Parisot est socialiste? Est-ce que Gattaz est socialiste? Est-ce que Ernest Antoine sellière est socialiste?
                            Est-ce que denis Kessler est socialiste?

                            Adieu 1945, raccrochons notre pays au monde !

                            Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s'y emploie.

                            Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme...

                            A y regarder de plus près, on constate qu'il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C'est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s'agit aujourd'hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance !

                            A l'époque se forge un pacte politique entre les gaullistes et les communistes. Ce programme est un compromis qui a permis aux premiers que la France ne devienne pas une démocratie populaire, et aux seconds d'obtenir des avancées - toujours qualifiées d’«historiques» - et de cristalliser dans des codes ou des statuts des positions politiques acquises.

                            Ce compromis, forgé à une période très chaude et particulière de notre histoire contemporaine (où les chars russes étaient à deux étapes du Tour de France, comme aurait dit le Général), se traduit par la création des caisses de Sécurité sociale, le statut de la fonction publique, l’importance du secteur public productif et la consécration des grandes entreprises françaises qui viennent d’être nationalisées, le conventionnement du marché du travail, la représentativité syndicale, les régimes complémentaires de retraite, etc.

                            Cette «architecture» singulière a tenu tant bien que mal pendant plus d'un demi-siècle. Elle a même été renforcée en 1981, à contresens de l’histoire, par le programme commun. Pourtant, elle est à l’évidence complètement dépassée, inefficace, datée. Elle ne permet plus à notre pays de s’adapter aux nouvelles exigences économiques, sociales, internationales. Elle se traduit par un décrochage de notre nation par rapport à pratiquement tous ses partenaires.

                            Le problème de notre pays est qu'il sanctifie ses institutions, qu’il leur donne une vocation éternelle, qu’il les «tabouise» en quelque sorte. Si bien que lorsqu’elles existent, quiconque essaie de les réformer apparaît comme animé d’une intention diabolique. Et nombreux sont ceux qui s’érigent en gardien des temples sacrés, qui en tirent leur légitimité et leur position économique, sociale et politique. Et ceux qui s’attaquent à ces institutions d’après guerre apparaissent sacrilèges.

                            Il aura fallu attendre la chute du mur de Berlin, la quasi-disparition du parti communiste, la relégation de la CGT dans quelques places fortes, l’essoufflement asthmatique du Parti socialiste comme conditions nécessaires pour que l’on puisse envisager l’aggiornamento qui s’annonce. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi que le débat interne au sein du monde gaulliste soit tranché, et que ceux qui croyaient pouvoir continuer à rafistoler sans cesse un modèle usé, devenu inadapté, laissent place à une nouvelle génération d’entrepreneurs politiques et sociaux. Désavouer les pères fondateurs n’est pas un problème qu’en psychanalyse.

                            Denis Kessler

                            (Fin de citation)

                            Est-ce que ça c'est un discourt socialiste?

                            C'est ptête un peu vieillot mais c'est pas une raison pour faire dire à Platon ce qu'il n'a pas écrit

                            Non, Djeimse est assez grand pour gérer ses réponses comme il l'entend.

                            d'autant que j'attends toujours une réponse moi-même de ta part sur la liquéfaction démographique dans les pays communistes.

                            Tu serais peut-être bien inspiré de ne pas réclamer des autres ce que tu ne fais pas toi-même

                              cemab Oui mais il fait le sophiste du cancer. Ça m'épargnerait une tumeur que tu accélère le débat.

                              Cependant je vous recommande de lire le gorgias de Platon pouvoir comment Socrate utilise la méthode socratique.

                                Plariste-le-Revanite Oui mais il fait le sophiste du cancer. Ça m'épargnerait une tumeur que tu accélère le débat.

                                Cependant je vous recommande de lire le gorgias de Platon pouvoir comment Socrate utilise la méthode socratique.

                                tu viens d'avoir des extraits du ménon, l'apologie, 4 mots de grec et ta réaction c'est "vas lire le Gorgias"

                                je vais te dire un truc, t'es très loin d'avoir une tumeur à cause de la philo.

                                Il n'y a aucun débat de mon côté, juste la maxime tirée des deux extraits qui ne fait pas dire à Platon (et les textes confirment) ce que tu lui fais dire.

                                j'ai traduit ces conneries pendant 15 ans hein...

                                  cemab C'est bien beau les éloges et les odes, mais rien ne vaut l'analyse de la pratique, et la critique de la pratique socratique nous indique que Socrate n'est pas un ignare intelligent.