James

il ne faut jamais désespérer, même des abrutis -)

cemab Aztec surtout, les mayas quand les espagnole sont arrivés il était plus assez nombreux pour les sacrifices...

Plariste-le-Revanite

le système politique est un dérivée de l'organisation de la production.

A ce compte-là l'URSS a prouvé que le communisme engendre la dictature et l'oligarchie puisque tous les systèmes communistes ont toujours été des dictatures.

Mais votre croyance est bien trop simpliste : il existe des capitalismes dictatoriaux (Chine), libéraux (USA) et démocratiques (Suisse).

Car s'il existe indubitablement des contraintes matérielles entre technique, politique et économique est indéniable, mais pas dans un sens univalent comme le pensent certains auteurs marxistes.

Par exemple le proto-capitalisme a certes favorisé l'essor de la petite bourgeoisie et donc la révolution, mais pas autant que la hausse de la productivité qui a créé l'essentiel des masses éduquées. Et en retour cette petite bourgeoisie a ensuite transformé le système économique. Et enfin cela pourrait bien aboutir prochainement à une révolution populaire aux dépens d'une certaine forme de capitalisme.

En revanche le communisme est indissocable de la dictature car il ne peut exister sans elle. D'abord parce que le communisme se propose de centraliser toutes les décisions. Ensuite car il faut bien user de la force pour mater les foules en colère face à l'incompétence des nouveaux maîtres, incapables de tout gérer.

    france2100 A ce compte-là l'URSS a prouvé que le communisme engendre la dictature et l'oligarchie puisque tous les systèmes communistes ont toujours été des dictatures.

    Vous saviez qu'à cuba on élit qui on veut? personne ne se présente? Compte tenue des pressions extérieures qu'on subit les pays socialistes...

    france2100 démocratiques (Suisse).

    Pas d’illusion à ce sujet.

    france2100 Par exemple le proto-capitalisme a certes favorisé l'essor de la petite bourgeoisie et donc la révolution, mais pas autant que la hausse de la productivité qui a créé l'essentiel des masses éduquées. Et en retour cette petite bourgeoisie a ensuite transformé le système économique. Et enfin cela pourrait bien aboutir prochainement à une révolution populaire aux dépens d'une certaine forme de capitalisme.

    Vous voulez qu'on parle de la contre révolution soixante-huitarde? Et de la métamorphose de la lutte des classes?

    france2100 En revanche le communisme est indissocable de la dictature car il ne peut exister sans elle. D'abord parce que le communisme se propose de centraliser toutes les décisions.

    Alors..... Oui et non, dans communisme il y a commune. La centralisation n'est pas motivée idéologiquement mais pragmatiquement.

    france2100 Ensuite car il faut bien user de la force pour mater les foules en colère face à l'incompétence des nouveaux maîtres, incapables de tout gérer.

    Là c'est plus lié au processus révolutionnaire.....
    Et puis parlant d'incompétence des nouveau maître la révolution d’octobre n'aurait pas eu lieu sans l'incompétence des soviets modérés...

    Quand Lénine dit TOUT LE POUVOIR AU SOVIET !!!!!!!! Ça veut dire "démerdez-vous les gas on vous regarde."

    Il écrira pour se moquer : "Finalement pas besoin d'avantgarde et toutiquanti pour faire une révolution, suffit juste d'un gouvernement d'incompétent.."

      James Bah oui personne ne se présente.. Si t'as envie d'élire le fils de Jhonny et qu'il a la nationalité tu peux vote pour lui.
      Ya pas de programme politique ducoup..... Mais ça évite les campagnes électorales...

      Sous-titres en français.

      Ha merde...... Pas de sous titre en français mais pas le droit à l'ignorance !

      J'écrirais de sous-titres s'il le faut !

        Plariste-le-Revanite

        • La Suisse est bel et bien une démocratie. Ou du moins elle l'était encore il y a peu, avant qu'elle ne renonce volontairement à sa liberté pour le pognon en signant les traités européens.

          Les Suisses demeurent toutefois bien plus satisfaits que nous de leur système politique et de leur sort que nous. Ils sont un demi-modèle.

        • Si vous avez quelque chose à dire, dîtes-le. Je ne lis pas dans votre esprit.

        • Peu importe les raisons de la concentration des pouvoirs, elle aboutit inévitablement à la dictature et à l'inefficacité. Et donc à encore plus de dictature.

        • Le besoin de violence n'est pas lié au processus révolutionnaire mais au fait que la concentration des décisions engendre l'inefficacité et donc la misère, ce qui engendre l'instabilité politique.

          Pour l'efficacité il faut laisser les acteurs de terrain prendre les décisions, mais c'est incompatible avec le communisme et vous vous retrouvez alors avec des acteurs en concurrence.

          Donc le communisme est forcément inefficace, forcément misérable et forcément dictatorial. Sauf peut-être demain avec des IA générales faisant office d'esclaves robotiques.

          france2100 Peu importe les raisons de la concentration des pouvoirs, elle aboutit inévitablement à la dictature et à l'inefficacité. Et donc à encore plus de dictature.

          Même si les raison sont extérieures? Besoin d’auto défense par exemple?

          france2100 Le besoin de violence n'est pas lié au processus révolutionnaire mais au fait que la concentration des décisions engendre l'inefficacité et donc la misère, ce qui engendre l'instabilité politique.

          Bah non une révolution c'est pas toujours silencieux.... Regardez la France, faut étudier les révolution avant de dire n'importe quoi.

            bianchi51 Je vous trouve meilleur dans le sport. Ici, visiblement vous ne tapez pas dans le mille hormis pour faire hurler la foule. Celui qui a lu le nouveau testament sait qu'il n'y'a rien d'antisémite là dedans ni la moindre once de haine qui justifierait des actes odieux commis en son nom.

              Quand à la soi disant misogynie que contiendrait ce livre, il faut replacer les choses dans leur contexte et savoir que le rôle de la femme à cette époque était d'être soumise à son mari. Il a permis au contraire de la faire évoluer et d'être davantage respectée. D'ailleurs les femmes y occupent une place importante et Jésus les traitent avec égard même celles qui ont fautés.

                jack127 De la haine contre les pharisiens qui sont assimilables à certains prêtre catholiques Imams et autres..

                jack127 D'ailleurs les femmes y occupent une place importante et Jésus les traitent avec égard même celles qui ont fautés.

                Après il y a les ajouts romain à la bibles épître corithiens..... Qui stipulent que la femme doit se voiler.

                  Plariste-le-Revanite Oui, les pharisiens ne représentaient qu'un mouvement sectaire juif et n'inclue donc pas l'ensemble de la communauté.
                  Aussi certains ont essayé d'assimiler les actes odieux d'Hitler à la Bible. Il faut savoir qu'il détestait ce livre et encore plus le Christ qui pour lui représentait un être faible car refusant d'utiliser la violence pour parvenir à ses fins.

                    La charité est la vertu théologale par laquelle nous aimons Dieu par-dessus toute chose pour Lui-même, et notre prochain comme nous-mêmes pour l’amour de Dieu.

                    1823 Jésus fait de la charité le commandement nouveau (cf. Jn 13, 34). En aimant les siens " jusqu’à la fin " (Jn 13, 1), il manifeste l’amour du Père qu’il reçoit. En s’aimant les uns les autres, les disciples imitent l’amour de Jésus qu’ils reçoivent aussi en eux. C’est pourquoi Jésus dit : " Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez en mon amour " (Jn 15, 9). Et encore : " Voici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés " (Jn 15, 12).

                    1824 Fruit de l’Esprit et plénitude de la loi, la charité garde les commandements de Dieu et de son Christ : " Demeurez en mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez en mon amour " (Jn 15, 9-10 ; cf. Mt 22, 40 ; Rm 13, 8-10).

                    1825 Le Christ est mort par amour pour nous alors que nous étions encore " ennemis " (Rm 5, 10). Le Seigneur nous demande d’aimer comme Lui jusqu’à nos ennemis (Mt 5, 44), de nous faire le prochain du plus lointain (cf. Lc 10, 27-37), d’aimer les enfants (cf. Mc 9, 37) et les pauvres comme Lui-même (cf. Mt 25, 40. 45).

                    L’apôtre saint Paul a donné un incomparable tableau de la charité : " La charité prend patience, la charité rend service, elle ne jalouse pas, elle ne plastronne pas, elle ne s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de laid, elle ne cherche pas son intérêt, elle ne s’irrite pas, elle n’entretient pas de rancune, elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle trouve sa joie dans la vérité. Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle endure tout " (1 Co 13, 4-7).

                    1826 " Sans la charité, dit encore l’Apôtre, je ne suis rien ... ". Et tout ce qui est privilège, service, vertu même ... " sans la charité, cela ne me sert de rien " (1 Co 13, 1-4). La charité est supérieure à toutes les vertus. Elle est la première des vertus théologales : " Les trois demeurent : la foi, l’espérance et la charité. Mais la charité est la plus grande " (1 Co 13, 13).

                    1827 L’exercice de toutes les vertus est animé et inspiré par la charité. Celle-ci est le " lien de la perfection " (Col 3, 14) ; elle est la forme des vertus ; elle les articule et les ordonne entre elles ; elle est source et terme de leur pratique chrétienne. La charité assure et purifie notre puissance humaine d’aimer. Elle l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin.

                    1828 La pratique de la vie morale animée par la charité donne au chrétien la liberté spirituelle des enfants de Dieu. Il ne se tient plus devant Dieu comme un esclave, dans la crainte servile, ni comme le mercenaire en quête de salaire, mais comme un fils qui répond à l’amour de " celui qui nous a aimés le premier " (1 Jn 4, 19) :

                    Ou bien nous nous détournons du mal par crainte du châtiment, et nous sommes dans la disposition de l’esclave. Ou bien nous poursuivons l’appât de la récompense et nous ressemblons aux mercenaires. Ou enfin c’est pour le bien lui-même et l’amour de celui qui commande que nous obéissons ... et nous sommes alors dans la disposition des enfants (S. Basile, reg. fus. prol. 3 : PG 31, 896B).

                    1829 La charité a pour fruits la joie, la paix et la miséricorde ; elle exige la bienfaisance et la correction fraternelle ; elle est bienveillance ; elle suscite la réciprocité, demeure désintéressée et libérale ; elle est amitié et communion :

                    L’achèvement de toutes nos œuvres, c’est la dilection. Là est la fin ; c’est pour l’obtenir que nous courons, c’est vers elle que nous courons ; une fois arrivés, c’est en elle que nous nous reposerons (S. Augustin, ep. Jo. 10, 4).
                    http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P60.HTM

                      katou Après on peut parler de ce qu'ont fait les catholiques en amérique Latine HEHEHEHEHEHHEHEHEHE

                      Et je ne parle pas des théologiens de la libération....

                      Vous verrez vaut mieux affirmer que les cathos ne sont pas chrétiens. Enfin que le catholicisme n'est pas un christianisme on peut être catho et partiellement chrétien.

                        Plariste-le-Revanite Après on peut parler de ce qu'ont fait les catholiques en amérique Latin

                        Si des cathos n'agissent pas dans la Charité, ils agissent contre leur Dieu.
                        Si des musulmans terrorisent et tuent, ont des esclaves, etc. ils font comme leur parfait prophète mahomet et obéissent à leur dieu coranique.

                        Plariste-le-Revanite Après on peut parler de ce qu'ont fait les catholiques en amérique Latine

                        tiens, bonne idée, commence.

                        pas de vidéos débiles et un français clair et intelligible stp

                        Plariste-le-Revanite

                        • La concentration sera toujours dictature, quelles qu'en soient les motivations.

                        • Même sans agresseurs le communisme ne peut exister que par la dictature : si les acteurs économiques avaient le pouvoir de décider, alors ce ne serait plus du communisme puisque ces acteurs seraient en concurrence les uns avec les autres et reproduiraient tous les maux du capitalisme.

                        • Qui a parlé de révolution silencieuse ?