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M. Johnson qui ne "compte pas démissionner" selon un porte-parole de Downing Street, a sans surprise reçu le soutien de son allié le président américain Donald Trump. "Il sait comment gagner. Ne vous inquiétez pas, ça va aller", a déclaré mercredi soir M. Trump depuis le bureau ovale.
Il reste que "BoJo" est en mauvaise posture, attaqué sur le terrain politique comme judiciaire.
Une audience contre la suspension du Parlement est prévue jeudi à la Haute Cour de justice à Londres.
L'ex-Premier ministre conservateur John Major, opposant au retrait de l'UE, s'est joint à cette action en justice intentée par la militante anti-Brexit Gina Miller.
Mme Miller avait déjà gagné en 2017 une bataille judiciaire pour forcer le gouvernement, alors dirigé par Theresa May, à consulter le Parlement sur le processus de retrait.
Mercredi, une autre action en justice contre cette suspension, intentée par 75 parlementaires pro-européens, a été rejetée par la plus haute instance civile d'Ecosse.
Boris Johnson se dit toujours confiant d'obtenir un accord avec l'UE d'ici fin octobre bien que la Commission européenne juge que le risque de sortie sans accord s'est accru.
C'est un Premier ministre affaibli qui recevra jeudi à Londres son homologue israélien Benjamin Netanyahu, à quelques jours d'élections en Israël, et le vice-président américain Mike Pence.
ENCORE UN MOMENT DE TRANSCENDANCE AVEC LES AMERLOCS ET PUIS BUITEN DEHORS FUORA FUERA THE WAY OUT WITH TRUMP
Le chef du gouvernement sera ensuite sur le terrain mercredi après-midi, dans le Yorkshire (nord de l'Angleterre) pour lancer une campagne nationale visant au recrutement de 20.000 policiers supplémentaires.
pax tibi europa mea
USA DOWN WITH TRUMP